Le Japon a un incroyable talent : Claude, ours vivant en captivité dans un zoo d'Hiroshima, occupe ses journées à s'entrainer au kung fu avec ses bâtons.
dimanche 30 mai 2010
Insolite : Les ours se mettent aux arts martiaux ...
Séance culture 24 : L'Oberheim OB-Xa
Cette machine à synthèse soustractive intégre par rapport à l'OB-X des toutes nouvelles puces Curtis CEM3320 plus stables, proposant du coup (enfin) des filtres 24db/octave et autorisant 4, 6 ou 8 voix de polyphonie (plus que les 5 du Prophet 5) en fonction du nombre de cartes oscillateurs présentes. Les oscillateurs hjustement sont au nombre de deux par voix, proposant deux formes d'ondes : dent de scie et pulse complétés par 3 LFOs. Ils sont autotunables (accordage automatique) après appui sur une touche ad-hoc. Un portamento polyphonique complète le tout. Le son est très proche de celui du Prophet 5, cependant il est à la fois plus punchy et surtout beaucoup plus "gras". Au passage, il est possible de splitter le clavier pour jouer deux sons différents pour la main gauche et la main droite, d'emplier deux sons sur l'ensemble du clavier, voir les 8 voix sur une seule touche pour en faire un super monophonique. Bref, c'est de la balle ! Par contre, nous sommes dans la période pré-MIDI, donc pas de prises DIN pour se connecter à vos machine récentes, ormi onéreuse midification réalisée à postériori. Alors sur quels morceaux connus peut-on entendre la bête ?
Evidemment sur l'album concerts en Chine de notre dieu des synthés Jean-Michel Jarre, l'inoubliable solo dans JUMP! de Van Halen, sur le très planant Midnight Summer Dream des Stranglers, le chorus de Don't go de Yazoo c'est encore lui et puis plus près de nous dans Last Train to Trenscentral de KLF.
vendredi 28 mai 2010
TELEX : L'Ipad débarque en France
Telex : Soirée Oenologique en présence de Julien et moi-même
mercredi 26 mai 2010
Que pensent nos clients ?
Le « tram-boulot-dodo » des usagers de la SETAO
Chacun ses habitudes dans le tram. Le plus souvent on lit ou on écoute de la musique.Étudiants, actifs, retraités ou chômeurs, ils ne peuvent s'en passer. Tous les jours, près de 100.000 personnes fréquentent le réseau de transports en commun de l'AgglO. Mais qui sont-ils réellement ?
Il est 7 heures. Orléans s'éveille. Les derniers fêtards vont se coucher et les éboueurs ont terminé leur boulot.
C'est juste l'heure où l'usager commence sa journée. À l'arrêt de bus ou à la station de tram, les visages fleurent bon le réveil en fanfare et les réveils difficiles. Qu'importe. Pour tous, il s'agit de se rendre d'un point A à un point B, si possible dans les temps et dans la quiétude de se laisser transporter.
Rue du Nécotin, dans le quartier de l'Argonne, Fatou et Karima montent dans le bus, ligne 3, direction Benjam', « notre bahut ». Le Eastpak dans le dos, le portable dans une main et un bouquin dans l'autre, elles révisent, au taquet, leur texte de français. Le bus, c'est leur moyen de transport. Pas assez âgées pour passer le permis et manquant de moyen pour se payer le dernier scooter à la mode, elles ont pris leurs petites habitudes. « On essaie toujours de s'asseoir à la même place, on bosse un peu, mais surtout on papote. »
À peine dix minutes se sont écoulées que le bus est déjà quasiment bondé. Le stress des travailleurs commence à se faire ressentir tandis que les lycéens mettent l'ambiance. Un peu trop selon Gervaise, la cinquantaine, agacée par la musique à tue-tête. « Ils connaissent pas les casques. S'ils passaient du Mozart encore. Mais entre le rap et Fun Radio, on est servi ! » Patrick ronchonne, mais pas pour ça. Les yeux scrutés sur sa montre à quartz, il peste contre les retards récurrents « à cause des travaux du tram ».
Et il n'est pas le seul dans ce cas-là. Malgré les réels efforts entrepris par la SETAO pour contrecarrer les contraintes d'un tel chantier, les trajets se sont considérablement rallongés.
Arrivé à la gare d'Orléans, un saut dans le tram permet d'appréhender une autre catégorie d'usagers.
Les vrais urbains, fatigués de prendre leur voiture ou trop paresseux pour sortir leur vélo, sont rapidement reconnaissables. Pressés, costards cravates pour les hommes, le maquillage rutilant pour les femmes, les écouteurs dans les oreilles, ils « trament » quotidiennement, pour cinq à six stations en moyenne, et ne semblent pas s'en lasser. Croix-Saint-Marceau, Jean-Pierre monte dans la rame, direction centre-ville. Ce quadra s'est abonné il y a trois ans et ne regrette pas son investissement. « Avant, j'avais l'habitude de prendre ma voiture. Mais, au bout de deux ans, j'ai déchanté. Entre les bouchons, l'essence et l'entretien du véhicule, je me suis rendu compte que c'était un gouffre. Alors je me suis dit, “pourquoi ne pas prendre le tram ?” Quand nous étions à Paris, toute la famille prenait le métro. Eh bien maintenant, nous prenons le tram ! »
À l'autre bout de la rame, casquette vissée sur la tête, le regard dans le vide, Gaëtan « attend que ça se passe ». Lycéen à Pothier, il a également opté pour le tram, influencé, il est vrai, par ses parents. « Depuis tout petit, j'utilisais mon vélo. Mais, mes parents ont peur maintenant puisque j'ai quand même trois kilomètres à faire. C'est vrai qu'au début je n'étais pas très chaud pour le tram ou le bus. Y'a des horaires et moi j'aime pas les contraintes. Pourtant, maintenant, j'ai un peu changé d'avis, surtout quand il pleut. Et à Orléans, il pleut souvent. » Sur le campus de La Source, le tram fait partie du paysage. On ne le voit même plus, tellement son usage est inscrit dans les us et coutumes des étudiants. « On dit souvent qu'on met deux plombes pour rejoindre le centre-ville. C'est vrai qu'une demi-heure c'est un peu long, mais c'est mieux que rien », réagit Muriel après l'invective de Samuel, un de ses camarades de promo.
Karim, Lætitia et Marine vont dans le même sens de la marche. « Avant, on comprend que les étudiants de La Source se sentaient un peu au bout du monde. En bus, ça devait être trop la galère. Maintenant, tu montes dans le tram et basta ! » En soirée, alors que les derniers bus ont fait le plein d'usagers avant de rentrer au dépôt à Saint-Jean-de-Braye, le tram continue de circuler. Tandis que les Sourciens rentrent chez eux après un petit tour en ville, les « navettaires », c'est-à-dire ceux effectuant tous les jours le trajet entre Orléans et Paris terminent leur périple quotidien. « Plus que trois stations, 50 mètres à pied, et je rentre chez moi », conclut Jean-Michel qui, malgré les derniers incidents et les violences se dit « parfaitement en sécurité ». À l'instar de la plupart des usagers rencontrés durant ce reportage. Pas des personnels roulants, souvent, eux, sur le qui-vive.
Repères
Fréquentation
Environ 100.000 personnes fréquentent tous les jours le réseau de la SETAO (30 lignes de bus et une ligne de tram). Un chiffre en constante augmentation depuis dix ans.
La SETAO en chiffres
Le réseau de transports urbains de l'agglomération orléanaise dessert les 22 communes de l'AgglO. Le parc de matériel roulant est de 220 bus et de 22 rames de tram. Au total, 25.000 personnes sont abonnées (soit à l'année, soit au mois). La ligne de tram, d'une longueur de 18 kilomètres, comporte 24 stations entre Fleury-les-Aubrais, au nord, et La Source au sud. Le tram circule de 5 h 30 à 0 h 30.
.... j'ajouterai que l'entreprise fonctionne 24/24h 364 jours sur 365, le seul jour non travaillé étant le 1er mai :)
L'homme qui valait 3 milliards, c'est pour bientôt ...
... vous savez cette série mythique dans laquelle un astronaute victime d'un grave accident lors d'une mission avait été réparé à l'aide d'éléments électroniques pour devenir bionique, et bien la science travaille pour donner corps à la fiction. J'espère qu'on ira pas jusqu'à nous implanter un hyperviseur dans la tête : vous avec réglé la license pour la VM de pilotage des bras ?
Pentagon enlists universities to collaborate on brain implants to repair brain injury By Andrew Nusca May 7, 2010
DARPA, the U.S. Department of Defense’s research arm, has announced $14.9 million in funding for major research institutions to collaborate on brain implants that can help repair traumatic brain injury. The Pentagon project, called RePAIR (”Reorganization and Plasticity to Accelerate Injury Recovery“), aims to find a way to better analyze brain activity to develop more advanced models of how it operates. The effort is comprised of 10 professors and their research teams, culled from fields such as neurobiology, psychiatry and network engineering.
The researchers hail from Stanford and Brown universities, the University of California-San Francisco and University College London. Brain injury is not an uncommon injury. It affects vehicular accident victims, stroke patients and military veterans alike, totaling 1.7 million Americans each year.
The problem? Scientists know very little about it.
Currently, scientists can create conceptual models of brain activity and can record electrical pulses emitted by individual neurons in the brain. But they can’t yet manipulate those pulses to reprogram the brain. Enter optogenetics. The new technique involves emitting pulses of light to pinpoint and trigger a single neuron.
The scientists involved in the project seek to develop brain implants made of electrodes or optical fibers that can read electrical signals from neurons and deliver light pulses to stimulate other brain regions in response — in effect, filling the gaps or “gray areas” where the brain has been too damaged to function properly.
Here’s an excerpt from the DARPA solicitation:
Through understanding the principles that allow networks in different anatomic regions to coordinate and communicate in order to perform a task, we seek to understand the means through which the brain enables improved performance over time. Further, by evaluating brain activity at several scales simultaneously (EEG, local field potential, single neuron, neurotransmitter, and corresponding scales for other transmission means), investigators may be able to determine which properties generated at the single neuron level can be correlated and predicted in a meaningful manner at grosser levels of measurement, such as EEG.
The program is divided into two phases with three primary goals:
- Create a bio-computationally accurate model of a primate performing a complex dexterous task;
- Demonstrate the ability to stimulate relevant regions of the brain to evoke a response in the primate similar to that evoked through natural interaction with their surrounding environment;
Naturally, the researchers must first understand how the brain functions before they try to emulate it. If all goes as planned, testing in lab animals could commence in as little as four years
Annonce de l'intéropérabilité Google / VMware
Grâce à VMware, Google privatise App Engine et concrétise le Cloud portable
Le Paas (Platform-as-a-service) Google passe le premier sas des entreprises. A l’occasion de sa conférence développeurs Google I/O, la firme de Mountain a décidé de monter d’un cran son arsenal Cloud pour mieux coller aux attentes des entreprises. Et le groupe a trouvé en la matière un allié de poids. C’est avec VMware et sa filiale SpringSource (fruit d'un rachat à l'été 2009) que Mountain View a pactisé pour attirer les entreprises vers son nuage App Engine (le Paas du groupe). Objectifs : fournir une preuve concrète de portabilité d’applications entre Cloud et amener App Engine sur le segment du Cloud dit privé. Là où Google était largement devancé par son concurrent Amazon, et son Virtual Private Cloud.
Dans le détail, ce mariage entre les deux ténors du Cloud et de la virtualisation vise à permettre aux développeurs et aux entreprises de déployer leurs applications vers App Engine, d’une part, mais également de les porter vers tous les autres nuages, d’abord publics comme Amazon EC2, mais aussi privés. Techniquement - et c’est là l’intérêt du partenariat -, Spring, le framework Java n°1 auprès des entreprises, ainsi que son éco-système d’outils de développement deviennent le modèle de programmation préféré pour le Paas de Google, comme l’indique Rod Johnson, le directeur général de SpringSource. A ce titre, l’outil de RAD (Rapid Application Development), Roo, s’intégrera étroitement avec GWT (Google Web Toolkit), tout comme les outils de monitoring du nuage des deux partenaires (Spring Insight et Google Speed Tracer).
Faire sauter le verrou du vendeur
En clair, le spécialiste du développement racheté par VMware en 2009 devient la passerelle de programmation transversale de choix entre tous les Cloud. Une réponse à la portabilité des applications inter-nuages, généralement considérée par les entreprises comme l’un des premiers freins à l’adoption du Cloud Computing. Pour Maxime Gaillard, Pdg de la société StarX, spécialisée dans l’intégration Amazon, cet accord s’inscrit dans une tendance visant à “faire sauter le verrou du verrouillage par un fournisseur”, qui rend une entreprise dépendante d'un unique éditeur. Selon lui, il s'agit là d'un des facteurs clés conditionnant l'évolution du Cloud.
Pour Julien Dubois, ex-responsable France de SpringSource et actuel dirigeant de Responcia, qui commercialise une offre de service autour de Spring, cet accord constitue bien un grand pas en avant dans la portabilité des applications entre Cloud, mais débouche également sur un gain énorme en matière de compétence en développement. “Spring reste le pilier central des développements. Il est donc plus facile de monter des sites, car les compétences sont les mêmes”, explique-t-il. En clair, plus besoin de recruter des développeurs spécialisés 100% Cloud.
Google se résout au Cloud privé
Mais cet accord a également un autre impact : il dote App Engine d’un pendant privé (comme les infrastructures reposant sur vSphere rendues interopérables via ce partenariat), la configuration de Cloud la plus encline à capturer l’attention des entreprises aujourd’hui. Une mini-révolution pour Google, qui jusqu'alors restait attaché à des infrastructures publiques plus conformes à son histoire et à sa culture.
Un bon point donc surtout que Google a également décidé de revoir son offre App Engine pour le segment pro en annonçant App Engine for Business - toujours dans le cadre de Google I/O. Une offre de Paas taillée sur mesure pour les entreprises qui comprend notamment des possibilités d’administration centralisées, un SLA (Service Level Agreement) de 99,9 % inclus dans une offre de support Premium, un prix fixe de 8 $ par utilisateur (plafonné à 1000 $) pour chaque application et, à venir, le support de SSL et celui de bases SQL. Ce dernier constitue un passage obligé pour Google qui doit se doter d’une base de données relationnelle pour compléter son offre vers les professionnels. Aujourd’hui, Google ne propose que BigTable, une base non-relationnelle.
Quel intérêt pour VMware ?
Reste toutefois une véritable question. Quelles sont les motivations de VMware de se rapprocher du Paas de Google ? Rappelons que le n°1 de la virtualisation a déjà scellé un accord cadre avec Salesforce, autour de VMForce.com. “Pourquoi VMware chercherait-il à se rapprocher d’un concurrent direct de Salesforce ?, s’interroge Julien Dubois. Surtout quand on sait que Google reste imbattable sur les prix”.
Réponse de VMware formulée par Dave Wright, vice-président EMEA en charge de la technologie chez l’éditeur, dans un email envoyé à la rédaction : “notre collaboration avec Google, conjuguée à notre alliance stratégique avec Salesforce et les acquisitions de GemStone Systems [éditeur d’une solution de gestionnaire de cache de bases de données distribuées, NDLR] et de Rabbit Technologies [éditeur d’une solution de gestion des messages entre applications Cloud, NDLR] viennent tous étayer notre stratégie clairement définie visant à porter les applications tant pour le Cloud privé que pour le Cloud public. Notre relation avec Google est une collaboration technique et tout y est question de portabilité dans le Cloud. Nous ne souhaitons pas que les clients soient enfermés dans une technologie particulière, chez un fournisseur de Cloud. Nous ne souhaitons pas davantage qu'une application développée pour une plate-forme spécifique ou pour un type d’appareil ne puisse pas être porté sur le Web ou pour un autre terminal. Ensemble avec Google, nous fournissons les outils et l’infrastructure pour résoudre ce problème. Cette collaboration nous permet de créer une intégration de premier ordre entre Spring d'un côté, la plate-forme et les technologies Google de l'autre, donnant aux développeurs la flexibilité et le choix dont ils ont besoin pour construire et déployer des applications professionnelles dans le Cloud”.
lundi 24 mai 2010
dimanche 23 mai 2010
Nous changeons de nid, notre maison recherche toujours son futur propriétaire
Proximité de la gare Des Aubrais, à titre indicatif depuis la maison : 1h30 de la Défense en train+métro, 55 minutes des quartiers Paris Austerlitz / Gare de Lyon
De particulier à particulier. Maison (non mitoyenne) de 150 m2 de surface habitable comprenant 5 chambres + 1 bureau. Sous-sol complet pouvant garer 2 voitures. Une véranda donnant sur un terrain clos et arboré de 924 m2. Le secteur est calme et les commodités commerces -Centres commerciaux Carrefour et Leclerc à 3 min-, gare SNCF-50min de Paris Austerlitz, péage Autoroute A10 ...) sont proches.
Visite Extérieure, la ville à la campagne.
samedi 22 mai 2010
Report du prochain meeting du VMUG.fr
Généralement Julien et moi-même, avec l'assistance de VMware, organisons un meeting du VMware User Group une fois par trimestre.
Malheureusement le prochain meeting initialement prévu en juin n'aura pas lieu.
Il y a de multiples raisons à cette annulation :
• Nous avions prévus un sujet sur le licensing avec la virtualisation, en présence d'un grand éditeur de système à fenêtre et d'un autre grand éditeur de solutions (OS, SGBD, CRM, Serveurs, stockage, ...) mais qui ont finalement décliné l'invitation.
• Suite à ce désistement Julien et moi-même, accaparés par un aganda professionnel très chargé, n'avons pas le temps de relancer d'autres éditeurs ou constructeurs sur un autre thème
• Coté VMware, peu ou pas d'annonces
Mais rassurez vous nous vous préparons une surprise pour la prochaine session avec pour thèmes VDI et Continuité de service.
En effet réservez dès à présent votre 21 octobre 2010 pour un VMUG différent :
Le Groupe Agrica accueillera dans ses locaux de Paris 8e le meeting, les présentations techniques auxquelles vous pourrez assister seront réalisées en environnement de production réel.
L'agenda non finalisé à ce jour, devrait contenir les sujets suivants :
•La virtualisation des postes de travail
•La supervision de la virtualisation
•La virtualisation du stockage
Nous vous rappelons que le VMUG est réservé aux clients finaux VMware.
En espérant vous retrouver nombreux lors de ce prochain meeting, nous restons bien entendu à votre disposition.
Olivier et Julien, animateurs du VMware User Group France
Ce modeste blog serait-il une exception orléanaise ?
La berge Nord d'Orléans que j'ai photographiée
depuis le pont Georges V il ya qq années ..
Jean-Paul, animateur du Chat de Gouttière, fait figure d’exception, tant il est prolixe. Il a ouvert un compte Facebook pour «pouvoir communiquer avec ceux qui n’ont pas de blogs», mais dit se sentir mal à l’aise face aux réseaux sociaux: «Quand je vois la juxtaposition sur Facebook, ça m’effraie. On trouve les photos des bambins, des vidéos de vacances, des textes sur tout et n’importe quoi...». Réserves encore plus nettes pour Circé: «J’ai ouvert un compte Facebook que j’ai fermé suite aux nouvelles règles de fonctionnement».
Ces deux derniers exemples mis à part, les billets des blogueurs locaux ont une fâcheuse tendance à la stagnation. Certaines contributions datent même de mars dernier, comme on peut l’observer sur le portail BlogOrléans.fr.
Cette désaffection intervient alors que plusieurs blogueurs ont décidé de lancer une association de défense locale, voire de protection si l'espèce venait à disparaître. Ceci, en écho à l’affaire Fansolo, un blogueur attaqué par le maire d’Orléans. À l’époque, il est vrai, où les blogs orléanais respiraient encore.
Mourad Guichard
vendredi 21 mai 2010
VMware Cloud sur tout ce qui bouge
Près d'un mois après avoir conclu un partenariat d'intégration avec Salesforce.com pour étoffer l'éventail fonctionnel de la plate-forme Force.com, VMware poursuit sa stratégie tous azimuts dans le cloud. Cette fois, c'est avec Google qu'il s'est mis d'accord pour travailler sur plusieurs projets communs visant à faciliter la portabilité et le développement d'applications cloud. Parmi eux, on retiendra celui combinant la boîte à outil Open Source de développement Spring Roo au Google Webt Toolkit (GWT).
mardi 18 mai 2010
Petit passage express à Troyes
dimanche 16 mai 2010
Choisir son stockage unifié pour le Cloud
1. NetAPP
2. EMC Celerra
3. L'alternative originale Pillar Data
L'originalité ici réside dans le fait que les deux éléments fournissant les fonctions SAN et NAS ne dépendent pas l'une de l'autre mais s'appuient sur un pool de stockage unique, la priorité d'accès étant fixée au niveau disque avec le fameux principe de QOS Pillar. Les performances peuvent être ou non équilibrées en fonction de ses besoins et prises en compte directement par les tiroirs disques embarquant des contrôleurs RAID matériels (à l'inverse des solutions précédentes). A l'instar de NetAPP, l'interface d'administration intègre de manière homogène les deux mondes. Un petit plus aussi : les performances sont prédictives .... Et puis une petite poire pour la soif : le load balancing de volumes NAS est possible en mode actif/actif.
Donc oui, tout le monde sait faire du stockage unifié, par contre quid du TCO et de la performance ?
jeudi 13 mai 2010
Telex : SAP s'offre Sybase
mercredi 12 mai 2010
Ma réflexion sur l'annonce vPlex
Si je compte l'implémenter et si j'en ai besoin aujuord'hui ? Pas vraiment puisque mes salles interconnectées à 19Km l'une de l'autre en fibres m'autorisent déjà depuis quelques années le vMotion. Le SAN étendu s'appuie sur un miroir synchrone à base de produits Falconstor et intègre à la fois du brocade pour l'interconnexion -option buffers credits avec SFP Long Wave pour éviter l'implémentation du très onéreux xWDM -et des Nexus 5000 en top of the rack pour limiter la prolifération des câbles à l'arrière des serveurs tout en ouvrant le tuyau de la bande passante. Le rôle du Nexus 1000v ici est de conserverles statistiques sachant que mes VLANs sont visibles des deux côtés. ... Il est vrai aussi que lorsque l'on raconte ça avec mon ami Julien, on a parfois l'impression de passer pour des extra-terrestres :)
A présent, dans un contexte moins favorable, sur du xDSL par exemple, imaginez la souplesse que va offrir le blade Cisco UCS avec la définition complète de la machine virtuelle associée à son environnement hardware : on pourra faire un vMotion longue distance entre serveurs pour récupérer l'exact copie au firmware près de la source le tout sans arrêt de service. Le Nexus 1000v lui permet déjà de s'affranchir des pénibles problèmes de reconfiguration d"adresses IP et d'environnement réseau.
Avec ces technologies dont vPlex fait parti, l'IT s'ouvre au monde et on peut parler d'urbanisation externe du SI ...
mardi 11 mai 2010
EMC annonce vPlex : la téléportation de VM
Pat Gelsinger et Brian Gallagher, responsables EMC Storage Technology, décrivent cette technologie innovante..
Vu sur stockagenews
Une annonce faite par Shad Sakac lors de l'EMC World qui se déroule actuellement à Boston, le vMotion Long Distance couplé à la migration de la VM en quelques minutes. Il ya fort à parier que l'on s'appuie ici sur un système d'écriture en "Y" s'appuyant sur de la dédup.
"Les deux premières versions - Local et Metro - d’EMC Vplex procurent une réplication synchrone entre des sites distants de 100 kilomètres au plus. Les prochaines versions, disponibles en 2011, étendront ces fonctions à l’échelle d’un ou de plusieurs continents, en asynchrone cette fois. "
dimanche 9 mai 2010
Séance culture 23 : Ma copine la Linn ...
Alors sur quels morceaux avez-vous pu entendre l'engin (liste non exhaustive) ?
a-ha — "The Sun Always Shines On TV"
Billy Idol — "Eyes Without A Face"
Bonnie Tyler "holding out for a hero" (BO Footloose)
Bronsky Beat ""Hit That Perfect Beat"
F.R. David — "Words"
Giorgio Moroder et Phil Oakey( human League) "Together in Electric Dreams" (BO du film éponyme)
Hall & Oates — "Maneater"
Human League — "Don't You Want Me"
Miquel Brown — "So Many Men, So Little Time"
Michael Jackson — "Thriller"
Michael Sembello — "Maniac" (BO Flashdance)
Pat Benatar — "Love Is A Battlefield"
Queen — "Radio Ga-Ga"
Roxy Music — "Avalon"
Secret Service — "Flash In The Night"
Stevie Wonder — "Part Time Lover"
Wham! — "Last Christmas"
... Oui, cette machine a particpé à la révolution musicale des eighties !
Un petit plug-in VSTi à télécharger pour jouer de la Linn sur son PC : http://rs439.rapidshare.com/files/220145594/Junn_JM-1_VST.rar
vendredi 7 mai 2010
Petit résumé du Salon Solutions Datacenter
Le premier visage connu a été celui de Wilfried Train de Exceliance qui m'a brieffé tout en mettant en place son stand sur les nouveautés produits. Si vous recherchez un load balancer performant et redondant à un prix ultra compétitif, n'hésitez pas !
Je me suis arrêté sur le stand Raritan pour me renseigner sur les PDUs 42u, bien pratiques pour fournir l'alimntation à l'arrière de nos baies serveurs toujours trop encombrées. Un petit détour par le stand Isilon, stockage orienté vidéo broadcast, pour poursuivre jusqu'au stand d'AntemetA afin de parler avec Fred Lhrault, ingénieur chez 3Par, des nouveautés des magnifiques baies INSERV. Mon ami Julien me rejoint à ce moment après avoir affronté les embouteillages parisiens (il faut bien qu'il y ait quelques inconvénients à vivre sur la capitale, non mais ?)
Ensuite, interception successivement par Philippe Incherman de Vizioncore puis Carole Loux de Wyse. Passage sur le stand de Google pour discuter veille techno et offres autour du métier de mon entreprise.
Bref passage à la fin d'une conférence animée par Kareen où l'on compte notamment Jean-Yves Pronier, directeur marketing de EMC France et Lionel Cavallière responsable marketing EMEA chez VMware. Olivier Bernard et Gilles Le Scao d'Optigreen se joignent à nous pour discuter et refaire le Cloud ..... Déjeuner en compagnie de Lionel Cavallière durant lequel nous en profitons avec Julien pour proposer les prochaines thèmes des futurs meetings du VMUG.fr (nous y reviendrons sur http://www.vmug.fr/).
En début d'après-midi, je suis convié à participer à la conférence ayant pour thème le stockage dans le Cloud en compagnie de Sebastien Verger de EMC, Rachid Boularas de NetAPP et de Philippe Nicolas bloggeur et agitateur bien connu dans le monde du stockage. Nous cernerons le fait qu'il faut une standardisation des APIs, un File System Cloud, une écriture synchrone 1 pour n dans les nuages ... Philippe m'accompagnera ensuite une bonne partie de l'après-midi pour échanger nos points de vue sur le monde du stockage et de l'IT. J'ai beaucoup apprécié ce moment. Ensuite, passage éclair sur quelques stands puis métro et train de retour.
jeudi 6 mai 2010
Quelques images du salon "Solutions Datacenter & CloudComputing"
La famille des boitiers load-balancers Exceliance. En rouge, la version SOHO au centre la version rededondante HA. Les prix sont très attractifs.
Extrait d'une conférence animée par Kareen Frascaria.
Lionel Cavallière répond à une question.
mercredi 5 mai 2010
Telex : Où seront Julien & Olivier demain ?
A propos de la migration dynamique de blocs de données en tier 1
Oui, ce n'est pas neuf, Compellent fait celà depuis bien longtemps, ce concept portant le nom de "data progression" mais avec un granularité allant au bloc de données. EMC a repris récemment le concept à son compte sous le nom FAST avec une finesse n'allant pas au-delà du LUN comme 3Par. Si celà part d'un bon sentiment, la tâche devient extrêment consommatrice en ressources CPU et fait inutilement travailler les disques de la baie (pas green du tout au passage) ce que l'on peut concevoir sur un DMX du fait de la présence d'un grand nombre de processeurs dédiés, mais moins sur un Clariion avec ses deux contrôleurs déjà bien occupés.
De passage chez un revendeur Compellent, j'ai pu en compagnie d'un de leur technicien mettre à l'épreuve du bench leur baie de démo équipée entre autre de 8 disques FC 10K (2500 IOps au moins). Le résultat a été disons surprenant : la machine semble incapable de cracher plus que ce que ferait le seul disque du PC que vous utilisez pour me lire ! J'ai l'impression - qui reste à confirmer - que le bloc de données intensivement utilisé ici n'est lu et écrit que sur un seul disque !!!!! Voilà les limites de l'exercice. Donc, autant je conçois parfaitement d'utiliser ce type de technologie pour remplacer ma librairie de sauvegarde en l'associant à de la déduplication et du spin down de disques, autant je ne me vois pas la mettre en production pour mes applications critiques.
Compte tenu de la puissance relative de nos baies actuelles, de la vitesse de nos disques mécaniques qui ont encore de beaux jours devant eux du fait de leur capacité grandissante pour un prix convenable, le placement manuel des données a encore un sens pour assurer la garantie de performance.
Économie informatique et confidentialité des données
Un sujet bien d'actualité en ces temps de "cloudisation massive". Le cabinet Mazars organise un petit Déjeuner pour débattre de ce thème en partenariat avec Microsoft.
Selon une enquête de l’IDC, acteur majeur de la Recherche, du Conseil et de l’Évènementiel sur les marchés des Technologies de l’Information, des Télécommunications et des Technologies Grand Public, le « Cloud Computing » est le secteur des services informatiques qui devrait connaître la plus forte croissance dans les prochaines années, passant de 971 M€ en 2008 à 6 000 M€ en 2013.
Cette nouvelle forme d’informatique répartie consiste à externaliser certaines applications et données des entreprises sur un "nuage" de serveurs opéré par un tiers plutôt que par l’entreprise. L’objectif de cette approche est à la fois de mieux utiliser la ressource informatique mais également d’être plus flexible.
Considéré par les pouvoirs publics dans le cadre du Grand Emprunt dédié au numérique ainsi que par l’Association française des éditeurs de logiciels comme un « enjeu national », cette nouvelle technologie pose un certain nombre de questions parmi lesquelles la mesure des gains et risques du système, la protection des données, les aspects réglementaires, etc…
C’est pourquoi Mazars a choisi de s’associer à Microsoft et d’organiser une conférence sur le thème du « Cloud Computing » le Mercredi 16 juin 2010, Tour Exaltis Paris La Défense à partir de 8h30. Pour vous inscrire, cliquez ici
mardi 4 mai 2010
lundi 3 mai 2010
HP Superdome 2
En annonçant hier la disponibilité de ses nouveaux serveurs Unix d’entrée de gamme à base d’Itanium 2 quadri-socket «Tukwila», HP a aussi levé le voile sur son prochain serveur haut de gamme, le Superdome 2. La principale nouveauté de cette dernière incarnation du fleuron de la gamme Unix d’HP est qu’elle s’appuie sur un nouveau grand châssis à base de serveur lames reprenant une large partie des caractéristiques du BladeSystem c7000, avec toutefois une sauce spéciale : la mise en oeuvre d’un système d’interconnexion Numa à très hautes performances entre lames leur permettant de fonctionner comme un système unique. Comme tout cela demande de la place et qu’HP entendait aussi maximiser la capacité mémoire de son nouveau haut de gamme, le châssis du Superdome 2 occupe 18U en hauteur et les lames sont considérablement plus hautes. Reste que le système de connectique avec le fond de panier est similaire à celui du c7000, à tel point que le nouveau châssis, baptisé c9000, peut aussi accueillir des serveurs lames conçus pour le c7000 (même si cela ne présente pas grand intérêt, ces lames étant incapable d'utiliser le système de fédération du chassis c9000).
Pour le Superdome 2, HP a encore une fois fait évoluer son architecture de crossbar NUMA en développant le chipset sx3000.L e sx3000 est à la fois un contrôleur d’entrées/sorties (il remplace à cet égard le chipset Intel 7500 des lames BL8xx), un contrôleur de noeud et un crossbar NUMA. C’est la présence du chipset sx3000 sur les lames du Superdome 2 qui permet à HP d’assembler plus de 8 processeurs et donc de faire la différence avec les lames Itanium de la série BL860c i2 qui donnent naissance aux nouveaux serveurs Integrity d’entrée de gamme. Le bus QuickPath est en effet limité à un maximum de 8 processeurs dans un même système et il faut un bus système de plus haut niveau pour aller au delà de cette limitation.
Le sx3000 fournit ce bus en mettant en oeuvre un protocole d’encapsulation des messages Quickpath à base d’annuaire qui assure la communication entre les différentes lames insérées dans le châssis Superdome 2. Pour des raisons de redondance et de performance, chaque lame embarque deux puces sx3000 reliées aux processeurs de la lame. Ces puces communiquent entre elles d’une lame à l’autre au travers de modules crossbar redondants situès à l’arrière du châssis lame. Les modules redondants fonctionnent en mode actif/actif et les chipsets présents sur chacune des lames suivent toutes les transactions sur le bus jusqu’à leur bonne exécution. En cas de défaillance, le chipset est capable de détecter l’erreur et de basculer, si nécessaire, la transaction sur le second crossbar, le tout sans aucun impact sur l’intégrité des applications s’exécutant sur la machine. Il est à noter que le c9000 étant dérivé du c7000, ce nouveau châssis haut de gamme partage les mêmes composants (ventilateurs, alimentations...) ce qui devrait singulièrement réduire le coût des pièces détachées mais aussi assurer une disponibilité optimale de ces pièces.
dimanche 2 mai 2010
Une Ferrari 308 GTS
La même que Magnum : V8 3l itres Quatre soupapes par cylindre, 240ch, vitesse de pointe 250km/h, 0 à 100 en 6,5s ... en 1981 !
Les performances sont encore largement d'actualité.
samedi 1 mai 2010
Soirée Adirc sur 29 avril 2010 : Les outils du web
Miguel Texeira , bloggueur notoire sur Orléans, nous fait un rapide résumé des outils utilisés sur le web aujourd'hui. Cette présentation a été réalisée dans le cadre de la soirée organisée par L'association de Décideurs Informatique de la Région Centre (ADIRC), l'Association des DRHs (ANDRH) en partenariat avec l'APEC. Cette soirée a été un succès avec plus de 70 personnes présentent et riche en échanges mettant en évidence les liens étroits qui unissent aujourd'hui DRH, DSI et MarCom.