jeudi 30 août 2012

Quand le Cloud embrouille la tête


Vu sur le journal du Net par Dominique FILIPPONE - Publié le 30 août 2012, 17h26

Quand le Cloud Computing sème confusion et zizanie au bureau

Selon une étude commanditée par Citrix, 22% des américains affirment savoir ce qu'est le Cloud Computing et comment il fonctionne. Pire : plus de la moitié pensent qu'il a quelque chose à avoir avec les orages...

Les résultats d'étude sont parfois surprenants. C'est le cas pour ceux relatifs à une enquête menée auprès d'un échantillon représentatif de 1 006 américains par le cabinet Wakefield Research pour le compte de Citrix. Ainsi, on est quelque peu surpris d'apprendre que 51% des répondants pensent qu'une tempête peut avoir une incidence sur le fonctionnement du Cloud Computing, et 29% que le Cloud a quelque chose à voir avec la météo. Seulement 16% l'associe à un réseau d'ordinateurs permettant de stocker, d'accéder à des applications et de partager des données via Internet. Certains l'associent (heureusement rarement) à de la fumée, l'hyperespace ou un lieu de rencontre.

Si près du tiers des personnes interrogées (32%) percoivent le Cloud Computing comme appartenant au futur, il ne va pas sans créer quelques belles confusions voire ouvrir la porte à de beaux mensonges. Ainsi, 54% des américains indiquent n'avoir jamais recouru au Cloud. Cependant, 95% de ceux qui pensent ne pas l'utiliser le font en réalité dans différents domaines : banque en ligne (65%), e-commerce (63%), réseau social (58%), jeux en ligne (45%), partage de photos (29%), stockage de musiques et de vidéos (22%) ou de fichiers (19%). 

Si le fait de ne pas savoir ce qu'est le Cloud est une chose, faire croire qu'on le sait au bureau et dans des conversions professionnelles en est une autre, et certains poussent le bouchon un peu loin. Ils sont ainsi 22% à avoir admis prétendre connaître le Cloud et la façon dont il fonctionne sans en connaître pourtant la moindre chose. Parmi cette population, 33% l'ont fait au bureau et 14% au cours d'un entretien professionnel. Plus on est jeune, plus on fait preuve d'aplomb pour assumer son mensonge : 36% chez les 18-29 ans et 18% chez les plus de 30 ans. "A l'heure actuelle, il existe un fossé entre les perceptions et la réalité de ce que recouvre le Cloud Computing", explique Kim DeCarlis, vice président du marketing chez Citrix. On veut bien le croire sur parole. 

dimanche 26 août 2012

Nos petits coons ont 7 semaines

Nos petits amours ont bien grandis, sont de plus  plus joueurs et câlins. Ils adorent le crapouillage de bidou et c'est un vrai plaisir de les voir systématiquement nous monter dessus pour chercher des caresses Deux ont déjà trouvé leur futur maître, si  vous craquez, rendez-vous ICI.





 J'ai craqué avec le noir et blanc façon old-school pour cette image
... et puis pour celle-là aussi.

La Saint Fiacre sous le signe de Django Reinhardt

Un grand moment samedi soir en l'église St Marceau au son du jazz de Django Reinhardt brillamment interprété par Swing de Loire composé de Mathilde Febrer au violon, Pascal Vautrot et Romain Brizemur à la guitare, Jean-Claude Laudat à l'accordéon et André Bonnin à la contrebasse.











Photos réalisées au Nikon D800 + Sigma 24-70 f/2.8 sans flash

jeudi 23 août 2012

Préparation de la St Fiacre à Orléans

Saint Fiacre, c'est le saint patron des horticulteurs. Evènement localement aussi connu que les fêtes de Jeanne d'Arc, tous les ans, un certain nombre d'entre eux décorent bénévolement l'église St Marceau située sur la rive sud de la Loire. Toutes les compositions sont réalisées en vraies fleurs naturelles. Petite nouveauté cette année : la station tramway située à proximité a été aussi décorée.



Après la moto électrique roulante, voici venir la moto volante

Y'a pas intérêt à tomber en panne de batterie ...

mardi 21 août 2012

Tous les acteurs du stockage à présent rattrapés par la crise


Vu sur le MagIT ,le 21 août 2012 (17:06) - par Christophe Bardy : NetApp à la peine, dans un marché du stockage déprimé 
   
Après 18 mois de folle croissance, NetApp vient de connaitre un trimestre difficile avec un recul de 1% de son CA et surtout une baisse de 7% de ses ventes de systèmes de stockage. Une contre-performance qui intervient sur un marché du stockage déprimé comme en témoignent les résultats des autres grands acteurs du secteur. Avec une question en filigrane : est-ce la fin de la période de vaches grasses pour les constructeurs de stockage ?

Sale temps pour les géants du stockage. Après les résultats mitigés d’EMC au cours des deux premiers trimestre 2012 (+2,97% et +3,3% de croissance des ventes de systèmes de stockage aux premier et deuxième trimestre) et après les performances décevantes d’IBM (-3% et -4% pour l’activité stockage au cours de la même période), NetApp vient d’annoncer une chute de son activité au second trimestre, tout en faisant mieux qu’initialement prévu. Le CA trimestriel s’établi ainsi à 1,44 Md$ (-1%), tandis que le bénéfice s’effondre de 54 % à 64 M$.

La fin d'une exception

Jusqu’alors, NetApp était un peu une exception dans le monde du stockage. Depuis le premier trimestre 2010, le constructeur avait toujours affiché une croissance supérieure à 20% pour ses ventes de systèmes de stockage (hors licences logicielles et maintenance), avec des pointes régulières au dessus de 30% et même des pics à 50% (sur deux trimestres en 2010). Cette belle performance a connu une fin brutale au cours du trimestre écoulé : les ventes de baie de stockage de NetApp ont ainsi reculé de 7,01% au cours du dernier trimestre fiscal du constructeur, pour chuter à 898 M$, soit un niveau inconnu depuis le 4e trimestre calendaire 2010. Par rapport à la même période de l’an passé, c’est un recul de 77 M$, mais surtout un recul de 267 M$ par rapport au premier trimestre calendaire 2012.

Finalement, seule la hausse des revenus de licences et de maintenance ainsi que celle des services (+10 et +11% respectivement) a permis au constructeur de limiter la casse. Le CA de NetApp s’inscrit ainsi en retrait de 1%, alors que celui d’EMC (stockage + services associés) progresse de près de 7%. Hitachi, de son côté, voit ses revenus stockage progresser de 3,56% tandis qu’HP renoue avec une légère croissance de 1,02% et qu’IBM continue à décevoir avec un recul de 4% de son activité stockage.

Le plus inquiétant pour NetApp est qu’il semble que les ventes de systèmes e-series (les gammes acquises lors du rachat d’Engenio l’an passé) soient globalement restée stables sur un an, ce qui veut dire que c’est la gamme phare du constructeur, les FAS qui a subi le plus fort recul. NetApp ne fournit pas de détail (tout en indiquant réfléchir à une séparation dans ses comptes des activités E-Series et FAS), mais précise que la capacité livrée au cours du trimestre n’a progressé que de 4% sur un an. On est donc loin des 40 à 50% de croissance en capacité évoqués sur un rythme annuel par les analystes. Les clients ont donc clairement ralenti leurs achats et sans doute également appliqué un tour de vis tarifaire sur leurs fournisseurs. Et cela semble avoir été particulièrement vrai dans le cas des clients de NetApp.

Une morosité durable pour les acteurs du stockage ?

La vraie question est désormais de savoir si cette morosité du marché du stockage sera durable. Depuis plusieurs années, les constructeurs de stockage ont fait fortune en vendant très cher des systèmes qui, au fond, ne sont que des serveurs x86 banals bourrés de disques. Jusqu’alors leurs prix se justifiaient par l’intelligence du logiciel fourni avec leurs baies. Mais les fonctions les plus courantes des baies de stockage sont en voie rapide de banalisation. Cette banalisation est en partie illustrée par l’arrivée de multiples nouveaux acteurs sur le marché, et notamment d’acteurs du stockage Flash, qui proposent des rapports prix/performances très supérieurs à ceux des géants du secteur. Pire, à l’heure où les serveurs sont virtualisés et où les réseaux sont en voie de l’être (via la banalisation des architectures de type SDN), le stockage pourrait lui aussi finir par subir la même transformation, avec des contrôleurs de virtualisation intelligents connectés à des multitudes de systèmes de stockage plus ou moins « low-cost » en fonction des besoins de performance.

Si cette évolution se confirmait, il n’est pas sûr que les spécialistes du stockage parviennent à maintenir les marges et les taux de croissance insolents des dernières années. Pire, une telle approche pourrait favoriser le retour en grâce des « généralistes », dans le cadre d’approches d’informatique convergente. Pour l’instant, NetApp continue à mettre l’accent sur son architecture FAS et tente de palier les attaques de nouveaux venus dans le monde du stockage avec des innovations autour de la Flash (avec une approche largement concentrée sur le cache). Mais si cette approche venait à faillir, le constructeur pourrait devenir une proie pour un généraliste désireux de bâtir une offre intégrée. On pense notamment à Cisco avec lequel NetApp dispose déjà d’un solide partenariat. NetApp pourrait en effet être un complément de choix pour le n°1 mondial des réseaux, d’autant qu’EMC lui a récemment fait quelques infidélités (avec notamment la signature d’un accord avec Lenovo et le rachat par VMware de Nicira, dont la technologie de réseaux programmables - Software Defined Networking - est de nature à menacer à long terme le rôle de Cisco dans les réseaux d’entreprise).

dimanche 19 août 2012

Nikon D800 vs D7000, pour remettre les choses à leur juste place

Il n'est pas un magazine paru cet été où l'on ne puisse pas lire que le Nikon D800 est le must have. Tous les tests et différents essais mettent en avant la supériorité du boitier. Cependant dans la mesure où vous n'auriez pas le budget conséquent pour acquérir le précieux, existe-t-il une alternative crédible si vous faites partie des moins fortunés d'entre nous ?

Il me semblait intéressant de challenger à la maison la référence des boîtiers pro avec celle des amateurs éclairés du point de vue qualité de l'image en gros plan : le Nikon D800 vs son petit frère le D7000. Le seul point sur lequel je n'ai pas transigé, c'est la qualité de l'optique : le SIGMA 24-70 f/2.8 me semble un bon "compromis".

Concernant les paramètres, j'ai utilisé le réglage de base du D800 puis avec une accentuation poussée à +3 qui le rapproche de très très près du D800E du point de vue résultat.. J'ai ensuite positionné l'accentuation a +3 sur le D7000. La sensibilité est réglée à 100 ISO, l'objectif fermé à f/8. La seule différence majeure concerne le fait que d'un côté le capteur est un Sony Full Frame 36 Mpixels équivalent au 24x36 et de l'autre il s'agit d'un Sony 16 MPixels au format APS-C plus petit mais grossissant le sujet par un facteur x1.5 avec accessoirement une plus grande profondeur de champs. 


En agrandissant l'image, vous constaterez que notre petit D7000 ne démérite pas du point de vue piqué de l'image et vaut bien ses 800 euros.
Bonus : une petite macro réalisée aujourd'hui avec le D800, à vous de jouer !

jeudi 16 août 2012

Fishing cette fois sauce EDF

Et bien aujourd'hui, nouvelle cochonnerie dans la boite mail, la tentative de fishing avec un pseudo mail provenant d'EDF

Notre expéditeur :
Comme chacun sait, EDF est hébergé en Italie

Qui nous écrit que nous aurions un impayé !


Nous sommes invité à nous rendre sur cette page de collecte afin de donner tous les renseignements qui permettraient de nous faire extorquer

www.ra-sa.es/EDF/System-edf-erreur-2011-update-informationSystem-edf-erreur-2011-update-informationSystem-edf-erreur-2011-update-information/index1.php

Donc, à poubelliser d'urgence comme d'hab.

Photos de nuit sur le bord de Loire à Orléans


Nikon D800 + Sigma 24-70 f/2.8