mercredi 31 mars 2010

Le Free Cloud IaaS PaaS SaaS entre dans la danse

A lire sur le MagIT Free Cloud Alliance : un coup de projecteur sur un cloud 100 % libre Le 31 mars 2010 (09:27) - par Cyrille Chausson

La Free Cloud Alliance vise à attirer l’attention sur l’existence d’une pile logicielle, composée de briques technologiques libres, couvrant les concepts du Iaas, Paas et Saas. Une opération qui a pour but de se faire entendre des entreprises et des pouvoirs publics. Mais pourquoi donc pousser les entreprises vers des éditeurs comme Salesforce, alors qu’en Europe, il existe des PME innovantes, spécialisées dans le Cloud, qui font aussi bien et, qui plus, en Open Source ? C’est un des messages qu’adresse la Free Cloud Alliance, dont le lancement est officiel depuis hier lundi 29 mars. A la clé, un référentiel de briques technologiques, toutes entièrement libres, qui vise à offre une alternative Open Source dans le marché naissant des cloud privés. Un référentiel à partir duquel bâtir des solutions de Iaas (Infrastructure as a service), Paas (Platform as as a service) et autre Saas (Software as a service).

Regroupée autour de 4 éditeurs français, Ielo, Mandriva, Nexedi et TioLive, la Free Cloud Alliance donne un coup de projecteur sur NiftyName Virtual Datacenter (NVD), Block Storage Server (BS2), Xtreem Storage Server (XS2), Neo Storage Server (NS2), SLAP Cloud Engine (SCE) et TioLive OEM Platform (TOP). Et sur leur capacité à faire mieux, affirme l'organisation, qu’un Saas propriétaire, comme Salesforce ou Amazon.

NiftyName Virtual Datacenter (NVD) cache la couche Iaas conçue pour les hautes peformances, la haute disponibilité et la tolérance aux pannes. “NVD repose soit sur une infrastructure éprouvée de SAN (Storage Area Network) soit sur le serveur BS2 (Block Storage Server) équivalent libre d'un SAN,”, explique Ielo dans un communiqué. De son côté, Xtreem Storage Server offre un système de fichiers répartis. NEO Storage Server, quant à lui, permet “de stocker des données non pas sous forme de fichiers ou de blocs, mais sous forme d'objet et ce, en répliquant les données”, explique ce même communiqué. SLAP Cloud Engine permet, de son côté, la “coordination et l'optimisation des ressources sur le cloud”. Enfin, Tiolive constitue la brique Paas et dote l’ensemble d’outils comme l'ERP, le CRM, le KM et l'e-business.
L'efficacité économique de Salesforce, le contrôle du code source en plus

Si aujourd’hui la réduction des coûts arrive en tête des préoccupations des DSI, peu d’initiatives sont créées autour du contrôle des données. C’est le sentiment de Jean-Paul Smets, Pdg de Nexedi, éditeur du progiciel Open Source ERP 5, qui explique que la Free Cloud Alliance "vise à couvrir tous les domaines du cloud, en ayant la même efficacité économique que Salesforce et tout en gardant le contrôle des données et du code source”. Un véritable Cloud libre, “synonyme de liberté (d’où le terme Free de la Free Cloud Alliance - et non pas Open Source) et de contrôle”, comme il se plaît à le dire.

Surtout, comme l’explique Jean-Paul Smets, l'initiative vise à faire savoir aux entreprises européennes et hexagonales que le logiciel libre propose les mêmes briques technologiques que les ténors du Cloud, avec la même instantanéité d’exécution. Et pour des coûts moindres. “Car aujourd’hui, les entreprises ne le savent pas”, estime Jean-Paul Smets. Bref, une réponse marketing au rouleau compresseur - lui aussi marketing - des grands noms du cloud.

Indirectement, cette alliance vise également à tenter d’orienter les investissements du secteur public dans le cloud, alors que les millions du Grand Emprunt pointent le bout de leur nez. Et éviter que cet argent soit dépensé dans l’achat de technologies américaines, alors qu’il existe des équivalents français et européens, moins chers. “On a une bonne R&D en France et un bon tissu de PME. Il serait triste que l’emploi parte ailleurs”, souligne Jean-Paul Smets.

Telex : Solaris gratuit, c'est fini.

Gros ménage de printemps au sein du groupe Oracle. Dans le cadre de ses opérations de remise en ordre au sein de Sun et à la veille de la fin du partenariat pour le stockage HDS, Oracle met aussi un terme à la gratuité de Solaris. A présent, au-delà de 3 mois d'utilisation il faudra souscrire le support ad-hoc. OpenSolaris, continuera son chemin son chemin en parallèle. A qui le tour ?

lundi 29 mars 2010

Telex : Accord de l'UE pour le rapprochement entre Cisco et Tandberg

Bonne nouvelle ! A l'image du rapprochement de Sun avec Oracle, voici encore une saga jouée auprès de la Commission Européenne qui se termine bien. En rachetant le Norvégien Tandberg pour 3,4M$, Cisco continue d'investir le monde de la visioconférence L'une des conditions imposée pour permettre la concurrence a été la cession des droits sur le protocole TIP -Téléprésence Interoperability Protocol- à un tiers.

Premières vidéos du vmug.fr chez EMC

... Je sais, je suis un peu en retard, mais ça vient.

Présentation du Cloud Computing vu par VMware. Cette présentation de Philippe Michel (VMware France) s'est déroulée lors du meeting du VMUG.fr le 25-03-10 chez EMC France.

http://www.youtube.com/watch?v=R6326IepqFE
http://www.youtube.com/watch?v=C3AReIJRZo8
http://www.youtube.com/watch?v=cGijBtTkoVc

Elysee.fr nouveau est arrivé

Comme tout un chacun, j'ai entendu ce matin sur France Info que le nouveau portail de la Présidence de la République avait été mis en ligne cette nuit. Sans faire de chauvinisme, quelque part, il nous représente nous français, je m'y suis donc connecté ...


Sur la forme, de suite, on note que l'aspect est à la fois sobre et classieux, cependant dommage de voir le drapeau français un peu trop disparaître derrière la page d'accueil, serait-ce un bug d'affichage de mon navigateur ?



A l'image de ce que j'ai simulé ci dessus, un menu contextuel permettrait d'aller directement au sujet concerné sans passer par le rechargement complet de la page et la ré-exécution complète des scripts prenant plusieurs secondes, une éternité pour un djeunze ....

Il aurait été sympa d'avoir un peu plus d'intéractivité, bien que celà nécessite de la logisitique en terme de vérification, en permettant aux internautes de publier leurs propres photos ou vidéos dans l'espace multimédia.

Sur le fond, je trouve ce portail pertinent et relativement complet, voir ludique à l'image de la mappemonde en 3D que l'on fait tourner pour choisir un thème sur la politique extérieure. C'est toujours intéressant ne serait-ce que pour expliquer un sujet d'actualité à ses enfants.

En tout cas, nous n'avons pas à rougir par rapport à celui de la Maison Blanche.

samedi 27 mars 2010

Séance culture 20 : La voix du Prophet ... 5

Nous sommes en janvier 1978, une révolution est en marche portée par une toute jeune entreprise californienne appelée Sequential Circuit. A la tête de celle-ci, on compte un certain Dave Smith et son copain John Bowen. Ils se sont déjà fait connaître en diffusant une carte permettant de rendre le Minimoog programmable. Mais cet outil plébiscité n'est que du pipi de chat à côté de leur dernière réalisation : le premier synthétiseur polyphonique entièrement programmable de l'histoire rien de moins ! La machine s'appuie sur des processeurs SSM d'origine E-MU, le créateur de l'échantillonneur EMulator ou du chip de la carte Sound Blaster Creative Labs. Pour l'anecdote,il se dit que le firmware initial sera compilé chez E-MU qui mettra à la disposition de Dave son matériel informatique, rare et cher à l'époque ; plutôt cool de leur part ...

La machine est classieuse avec son tableau de commande noir, ses flancs en bois et son afficheur LEDs. La polyphonie est de 5 notes et l'engin permet de mémoriser 40 sons différents dans ses premières versions, un must ! Le son est produit à partir de deux oscillateurs générant du signal dent de scie et du carré variable agrémenté de sinusoïdale sur le second uniquement, jusque'là ça reste classique. Par contre, il est possible de générer toutes les formes d'ondes simultanément pour produire du très très gros son. Un LFO, un générateur de bruit blanc, un filtre VCA et deux enveloppes ADSR complètent le tout. A celà s'ajoute la possibilité de moduler le premier oscillateur par le second, par l'enveloppe du filtre ou par le LFO. La machine dispose aussi d'un glide polyphonique (portamento) permettant de lier les notes entre elles lorsque l'on joue. En 1983, à partir de la Revision 3 de la machine, on gagne de nouveaux oscillateurs Curtis (comme le SH-101) plus stables, une interface MIDI et surtour 120 emplacements mémoires au lieu des 40 initiaux.Personnellement, la première fois que j'ai vu la machine, elle était pilotée en même temps qu'un DX-7 depuis un séquenceur sur un ordinateur Comodore-64 via MIDI. C'était du Bach et je m'en souviens encore ...

Façon Monsieur Plus, Sequential Circuit produira aussi une version double clavier, double Polyphonie nommée Prophet-10.
Alors qui l'a utilisé ???? A peu près tous les gens qui ont navigué dans la funk ont joué sur cette machine tellement elle était révolutionnaire ... même les autres. Personnellement, je vous recommande le solo de synthétiseur mythique du grand George Duke sur le morceau ' Reach Out!' Oui, c'est magique encore aujourd'hui. Au moins vous savez à présent sur quoi il s'est énervé :).

La côte des rares occasions atteint toujours des sommets. Personnellement, j'ai opté pour la fidèle reproduction financièrement très abordable PRO-12 de chez Creamware. Elle est pourvu en plus de 12 voix de polyphonie. Il existe aussi une émulation VSTi nommée PRO-53 chez Arturia.

Pour les accros au hardware pur et dur sans concessions, Dave Smith Instruments -créé dix années après feu séquential Circuit qui rendra l'âme en 1989 en se faisant racheter par Korg - produit aujourd'hui une version 8 voix du Prophet 5 appelée Prophet-8 que l'on peut acquérir pour 1700,00 de nos euros.

vendredi 26 mars 2010

Hier, se déroulait le meeting du VMUG.fr chez EMC France.


Nous avons été finalement une quinzaine de courageux sur la trentaine d'inscrits du groupe utilisateur VMware à affronter la pluie et les travaux du tramway pour rejoindre le siège de EMC France à Bezons où se déroulait cette rencontre du VMug. C'est vraiment dommage car l'environnement dans lequel nous avons été reçu était vraiment exceptionnel. J'en profite pour remercier une nouvelle fois Jean-Yves Pronier Directeur Marketing de EMC France et toutes ses équipes qui se sont mobilisées pour que cette journée se déroule dans les meilleures conidtions.

La journée fût riche en enseignements et informations, vous publiérai ultérieurement quelques vidéos et images de cette journée.

J'ai pu personnellement découvrir et apprécier le côté éditeur majeur de EMC pour intégrer, gérer et protéger la donnée tout au long de son cycle de vie dans le système d'information.

- Julien et moi-même avons présenté notre retour d'expérience SETAO vs AGRICA autour des technologies vSPhere, Nexus, physiques et virtuels et de Site Recovery Manager répondant à des problématiques d'entreprises totalement différentes. Je me suis astreint (c'était dur) à ne pas parler réseau et à me focaliser sur la virtualisation de stockage et Site Recovery Manager, screenshots à l'appui.


- Sylvain Siou, directeur technique de VMware France, nous a donné quelques éléments concernant l'outil de développement SpringSource, Zimbra et les réflexions autour des opportunités de diffusion de l'hyperviseur embarqué Trengo.

- Philippe Michel de VMware France nous a rappelé les enjeux auquels doivent répondre la création d'un Cloud Interne en vue de sa compatibilité avec le Cloud Externe

- Stephan Hilby en charge des relations stratégiques chez INTEL nous a présenté les nouveautés concernant les fonctionnalités des produits INTEL dans le monde VMware avec une annonce en avant-première d'une nouvelle génération de processeurs pour serveurs. Stephan nous a aussi révélé une partie de la roadmap pour les futurs développements du fondeur.

- Jean-Yves Pronier, Directeur Marketing EMC France, a introduit la seconde partie de la session plus orientée sur les produits et logiciels EMC dans l'éco-système VMware.

- Bernard Montiel de RSA nous a rappelé les enjeux de la sécurité et de la protection des données dans le système d'information, notamment avec VDI. RSA propose une gamme d'outils complète capable de couvrir la sécurité de la donnée tout au long de sa vie dans le système d'information.

- Miguel Dos Santos -vSpecialist- nous rappelé les atouts de la déduplication des sauvegardes, la pertinence et la complémentarité des outils Avamar en tant qu'outil de déplication à la source et Datadomain pour la déduplication à la cible.

- Philippe Rolland -vSpecialist- nous a fait bref un rappel sur l'ensemble de la gamme EMC et un focus sur les outils de l'éco-système : SRDF, Recover Point, PowerPath, FAST, MirrorView, Virtual Provisionning (http://france.emc.com/products/family/clariion-family.htm ... )

PS : Philou, j'espère que tu es bien arrivé à Vaison la Romaine


- Cyrille D'Achon nous a présenté les services que propose EMC pour accompagner les clients dans leurs projets. TerraMark a été cité en tant qu'illustration.

mardi 23 mars 2010

Cheops inaugure son Datacenter près de Bordeaux

Data Center : l'hébergement Tier 3 à la sauce Cheops

Vu le 22-03-10 sur Silicon.fr Par Jean-Claude Streicher



L'intégrateur-infogéreur d'infrastructures Cheops Technology ouvre près de Bordeaux son propre data centre et lance Icod, une offre de capacités à la demande.

Nicolas Leroy-Fleuriot, le pdg fondateur de Cheops Technology, est manifestement né sous une bonne étoile. En 2008, il a pu racheter le pôle mise en oeuvre d'infrastructures du groupe Ares, qu'il avait lui-même contribué à créer dans les années 90. Il a ainsi acquis un réseau de dix agences, couvrant l'ensemble du territoire et fait de Cheops Technology un acteur national de 360 personnes.

Installé dans la banlieue bordelaise depuis 2004, Cheops Technology se trouve d'autre part sur le parcours du nouveau réseau fibre optique de la communauté urbaine. La jeune pousse, spécialisée dans l'ingénierie et l'exploitation à distance d'infrastructures HP, Microsoft, IBM, Oracle, EMC, VMware et Citrix pour moyennes entreprises, disposait donc de tous les atouts pour passer à la vitesse supérieure: opérer son propre data centre Tier 3 et ses propres services de capacités à la demande, sans quitter sa cible de prédilection, les entreprises moyennes.

Cheops Technology vient ainsi d'inaugurer à Canéjan une première salle de 150 m², capable de fournir 10 kWatt/m² dans une allée froide haute densité InRow RC Cooling System d'APC. Vingt-deux racks peuvent y prendre place, dont quatre ont déjà été réservés pour le groupe Cecaf, les magasins Cultura et Altaris (ex-Seita). Ces trois premiers clients seront d'ailleurs des utilisateurs de la nouvelle offre Icod (Infrastructure Cheops On Demand) du prestataire.

Bâtie sur des serveurs lames HP sous Unix, Windows ou Linux, un stockage EMC ou HP (bientôt aussi NetApp) ainsi que sur la virtualisation du stockage HP SVP, Icod pourra répondre aux pics de charge en ne facturant que les capacités réellement consommées. Cheops Technology prévoit également d'introduire deux offres d'ERP en mode SaaS: SAP R3 et Sage X3, avec Delaware Consulting et T-Systems comme partenaires intégrateurs respectifs.

Sont également planifiées deux autres offres Icod : Icod PC (virtualisation du poste de travail fixe et mobile sous Citrix XenDesktop) et Icod PRA (continuité d'activité). Pour cette dernière, Kheops rapatriera à Canéjan la centaine de serveurs qu'il exploite dans le data centre de SFR (ex-Neuf-Cegetel) de Bordeaux-Lac. Il y gardera 150 m² pour le secours et la réplication synchrone des infrastructures opérées à Canéjan. Mais pas de crainte que Canéjan manque de place : deux autres salles de 160 m² chacune pourront y être viabilisées rapidement, le site disposant en outre d'une réserve foncière de plusieurs milliers de m².

dimanche 21 mars 2010

Séance culture 19 : Le Polyvoks made in USSR

Nous sommes en 1982, en pleine guerre froide. A l’image de Berlin et depuis la fin de la seconde guerre mondiale, l’Europe est coupée en deux : d’un côté le bloc occidental coaché par les Etats-Unis, de l’autre le bloc dit communiste piloté par l’Union Soviétique. La rivalité est permanente dans tous les domaines, y compris dans celui du monde des instruments de musique électronique. Il ne saurait être question pour le ministère de la culture soviétique d’autoriser l’importation d’une de ces sataniques machines capitaliste pour permettre aux camarades musiciens d’explorer ses nouveaux horizons de création : niet, запрещаются (interdit) !

La mission est donc confiée au camarade ingénieur électronicien et accessoirement musicien Vladimir Kuzmin de créer un synthétiseur 100% prolétaire et soviétique capable d’en remontrer aux japonaiseries et autres machines provenant du territoire US. Pour concevoir la machine, les seules sources d’inspiration possibles sont la lecture des brevets mondialement déposés, les disques de ces diaboliques occidentaux et l’imagination. Ici, point de reverse engineering, les solutions élaborées pour créer les différents filtres sont donc originale doublées d’une fiabilité quasi-militaires digne d'un char T-65, mais faisant aussi l’impasse sur la fonction bender (la roue pour faire moduler le son) faute d’ingénieur compétent en la matière !

Il en sortira cette machine analogique duophonique avec clavier à 39 touches à la fois rustique et fiable -hormis le clavier provenant des orgues déjà produits par l’industrie russe d’alors - : la légende veut que l’on puisse l’utiliser au beau milieu de la taïga en plein hiver c’est dire …

J'ai écrit duophonique (deux notes à la fois), alors que la machine se nomme Polyvoks ??? Faux ami que ce terme puisqu’il signifie plusieurs timbres (sons) en russe et pas plusieurs voix :)


La façade est noire et les inscriptions uniquement en cyrillique

La stabilité des VCOs posera quelques problèmes jusqu’en 1985, date ou le contrôle qualité se fera plus rigoureux sur les composants. Au final, la machine abritera 2 VCOs avec générateur de bruit blanc, 2 générateurs d’enveloppe, 1 filtre passe-bas, 1 VCA, 1 LFO. Aussi étonnant que cela puisse paraître, la seule fois où j’ai pu la manipuler, j'en ai trouvé le son rapeux à souhait, à l'image d'un Roland SH-101 ou d'un Oberheim OB-1 (qui donnera son nom à OBI One Kenobi dans la guerre de étoiles, comme vous le savez déjà ...).



Cette machine qui se verra bassement qualifiée par les igniardes forces non progressistes de 'Mini-Moog Russe' sera produite à 25 000 exemplaires par an jusqu’en 1990 pour un prix d'accession qui avoisinera les 900 roubles soit à peu près 1000,00 de nos Euros d’aujourd’hui. Malgré tout, ce synthétiseur n’est pas facile à trouver en occasion à part de temps en temps sur e-bay.

En revanche, il est possible de se faire une idée de l'engin en en téléchargeant une émulation sous forme de plug-in VSTi gratuit de surcroît à l’adresse : http://y0u-file.narod.ru/PolyvoksStation.zip

On peut aussi l'écouter sur youtube : http://www.youtube.com/watch?v=pJtPopDf3CQ

vendredi 19 mars 2010

Telex 2 : Falconstor met du SSD dans IPSTOR

Décidément, Speedfire est sur la brêche. A lire sur Stockagenews. Je pense que mon cher ami Pascal Bony a dû jouer l'accordeur de choc sur ce coup-là :)

Telex : Offensive conjointe Microsoft/Citrix sur VDI

A lire sur Virtuanews par Kareen Frascaria.

Macoonews

Quelques nouvelles de nos Maine Coons


Je réfléchis

grrrrr .....

On se détend les pattes

Qu'est-ce que c'est que ce truc ?

Notre gros lion Eliot a aujourd'hui 8 mois et pèse 6Kg, quand au petit bout d'Eclipse, si elle pèse moitié moins, elle vaut son pesant de calins

jeudi 18 mars 2010

Mise à jour de Ciscoworks LMS en r3.2

Après ce petit break en Arizona dans le monde du stockage, le quotidien reprend le dessus, spécialement le réseau. Pendant longtemps, j'ai utilisé une vieille version de l'outil de management Ciscoworks qui commençait à montrer ses limites, notamment pour le support des commutateurs récents, le téléchargement des nouveaux firmware et les remontées d'alarmes sur la déficience de liens -genre un tractopel qui se permettrait de vous couper un câble 32 brins optiques, mais ça ça n'arrive jamais comme vous le savez-. Je me donc suis imposé de le mettre à jour dans sa version actuelle 3.2.

Le produit a considérablement évolué (en bien) et ne nécessite plus d'installation partielle en dur : tout se passe à présent dans une interface web que je trouve logiquement agencée même si je cherche encore parfois quelques repères. Pour l'instant au chapître des petites améliorations, j'aimerais pouvoir éviter de devoir déployer spécifiquement un Windows Server version US, le programme d'installation vous le fais savoir très rapidement : US et JP only local settings y compris. Sinon, si les Nexus 5010 sont bien pris en compte, le Nexus 1000v est encore aux abonnés absents : dommage, ça pourrait être sympa d'voir une vision cohérente du physique et du virtuel ; mais je suis sûr que ce n'est que pour une courte durée.

mardi 16 mars 2010

Intel lance ses Xeon 5600

Intel vient d'annoncer ses processeurs Xeon 5600 Gravés sur des gauffres euh pardon wafle avec une finesse de 32 nm. Ces quad-core et hexa-core sont destinés aux serveurs avec une fréquence s'échelonnant de 1,86 GHz pour le Xeon L5609 à 3,46 GHz pour le Xeon X5677.

En plus du désormais traditionnel Hyperthreading, d'un cache de niveau 3 de 12 Mo, on y trouve désormais du AES-NI et du TXT. Quézako ?

Et bien Intel AES-NI (Advanced Encryption Standard New Instructions) et Intel TXT (Trusted Execution Technology) permettent le chiffrement et le déchiffrement AES matériel des données bien pratique pour encrypter les données dans le cloud ou alors pour gérer du vpn matériel dans des virtuals appliances.

Si les performances ont encore fait un bon en avant par rapport aux processeurs Xeon 5500 précédents, l'amélioration de la consommation électrique n'est pas en reste.

Stéphane Hilby nous en dira plus la semaine prochaine lors du prochain meeting du VMware User Group France.

RAPPEL : Meeting de printemps du User Group VMware le 25 mars prochain chez EMC France

Encore quelques places disponibles pour la prochaine rencontre du VMUG.fr. pour vous inscrire : http://campaign.vmware.com/usergroup/ug-signup.php?session=France&code=1

En première page du magazine SNS Europe

J'ai été interviewé il y a quelques temps par Carol Sliwa au sujet des bénéfices engendrés par l'utilisation de disques SSD sur nos SANs Pillar et par l'utilisation de la virtualisation de stockage dans notre environnement de production ... Mais je ne m'attendais pas à faire la page de couverture du magazine. Je l'ai appris alors que j'étais aux Etats-Unis par une avalanche de mails.

samedi 13 mars 2010

On a joué les geeks de base dans le Microsoft Store du Mall de Scottsdale


Vous admirerez le toucher de Julien sur la table Suface lié à son entrainement quotidien sur l'IPhone :)

Résumé du Pillar Summit par un journaliste américain

Pillar juices flash drive box - By Chris Mellor • Posted in Storage, 9th March 2010 21:18 GMT

Pillar Data Axiom storage arrays can go a whole lot faster, use less energy and be more reliable, thanks to a range of new features from flash drive enclosures to pre-emptive copies.

A Pillar Axiom array is composed of storage enclosures or Bricks, I/O controllers called Slammers, and a Pilot management component. The company is building a 2.6TB solid state drive (SSD) Brick, using thirteen STEC 200GB Mach8IOPS drives, said to offer 500,000 IOPS in total. The drives are laid out in a 12 + 1 configuration. A failed SSD can have its data rebuilt, with rebuild time possibly being less than 80 minutes. Applications can be expected to run up to twenty times faster on the SSD Bricks than on a SATA disk Brick.

Pillar says its "Roadrunner", an Axiom with the SDD Brick, differs from Oracle's Exadata 2 database machine because it is not just an SQL accelerator, providing very fast block I/O acceleration for any application, not just Oracle clients. Exadata 2 also relies on InfiniBand, whereas Roadrunner uses Fibre Channel. Exadata 2 is more scalable, though, ranging from 250,000 to one million IOPS.

Earlier this week, 3PAR introduced support for Mach8IOPS SSDs, and Pillar echoes the view that these are much more cost-effective than the ZeusIOPS drives used in EMC and many other vendors' storage arrays.

Pillar had previously adopted Intel SSDs. Product management director Gokul Sathiacama said that there was not much difference price-wise between Intel's X25-M and the Mach8IOPS product, but STEC had a faster time to market and so won the SSD Brick deal.

Pillar also announced a third-generation Slammer with support for 10GbitE and 8Gbit/s Fibre Channel. It has said that Fibre Channel over Ethernet (FCoE) is coming later this year.

It is announcing preemptive copy, in which the system tracks individual hard drive performance and detects potentially failing drives. The data on such a drive is then copied to other drives and the sysadmin alerted that a drive may be about to fail. Even if the drive fails before the copy completes, the RAID re-build will take less time. Preemptive copy is scheduled for an April delivery.

The company is introducing its own Axiom-to-Axiom replication feature that works alongside the existing heterogeneous replication, which is based on FalconStor and InMage products. It has been developed in-house, works asynchronously, and will be available in April. Application-consistent recovery will be added in a later release.

A federation concept is being added to the Axiom software suite. Today, an application could have several LUNs (logical units) each with their own Quality of Service, specifying things like performance and protection levels. These LUNs will be able to be federated and the whole set copied (replicated) between Axioms in April. "No one else has that granularity," marketing SVP Bob Maness said.

Pillar is also making migration inside an Axiom much easier through the idea of storage domains. This is a way of migrating data within an Axiom from older bricks to newer ones without disruption. Application data can be mapped to specific physical Bricks, specifying such things as Virtual Tape Library (VTL) deduplicating bricks, the SSD brick for high-performance data, and so forth.

What customers can then do is update their Axiom with new Bricks, ones using, for example, the SSD Brick in tandem with a 2TB SATA drive Brick instead of older 500GB drives. They then create a new storage domain, assign the new Bricks to it, then move the data in a few clicks from the old domain to the new one on the newer Bricks. Finally, they retire the old bricks. Storage domains will come towards the end of this year.

They are needed for the use of the coming sleepy or power-down hard drives, scheduled for an early 2011 arrival. In the Axiom, data is striped across drives in a Brick. Sathiacama said you need to be able to create a sleepy drive storage domain for backup or VTL use. You power that brick up (and all the drives within it), run the backup, and then send it back to sleep again.

Pillar is also intending to add a global Axiom management capability and reporting facilities to provide graphic trends analysis so that, for example, hot spots can be located and dealt with. Both will arrive in the second half of this year.

The SSD storage brick costs $135,000 list. Sathiacama said that using ZeusIOPS SSDs would have meant a price more than double that.

Pillar says it has around 515 customers with 1,250 Axiom arrays in production use. Apparently, when it was first founded and looking for a name, J Walter Thompson came up the name "TransFabrix", referring to the company offering both SAN and NAS storage. Pillar backer Larry Ellison contacted CEO Mike Workman and said he didn't like it, pointing out that TransFabrix sounded like a bunch of cross-dressers. Pillar employees were asked for alternatives and a wider focus group settled on one of their choices: Pillar Data. Thank you, Larry. ®

Panoramiques Piscines au Phoenician Resort Scottsdale (AZ)



La "petite piscine" avec vue sur le Camelback (dos de chameau), la montagne à l'arrière plan.

vendredi 12 mars 2010

L'avis de Mike Workman sur l'adoption des disques SSD

Pour rappel, Mike Workman est le CEO de Pillar Data Systems, il est un vétéran dans le domaine du stockage ou il a officié à la tête de la division chez IBM durant 20 ans avec Nancy Holleran (ici à sa droite). Il a à son actif plusieurs dizaines de brevets et est notamment l'un des co-inventeurs du disque dur Winchester et des microdrives.

Photos insolites au Phoenician à Scottsdale


Les oiseaux volent jusqu'aux tables où ils dérobent les sachets de condiments pour les manger à l'écart. Ici, il est en train de picorer sa prise

Les carpes Koi ne sont pas farouches

Les lapins nains se balladent partout en liberté

L'histoire de Pillar Data Systems en clip vidéo


Ce clip a été présenté à l'issue du Pillar Summit 2010.
Il retrace les grandes étapes de l'aventure Pillar Data Systems

jeudi 11 mars 2010

Telex : Confessions d'un ex-pdg de la Silicon Valley

Encore merci à la dynamique équipe du MagIT de nous relayer l'info à lire sur : http://jonathanischwartz.wordpress.com/

Pillar Summit Day 2 : Update

Cela aurait presque pu passer inaperçu dans l'ensemble des slides que nous a présenté Ned Hayes, cependant en les relisant ce matin, l'un d'entre eux m'a particulièrement attiré l'attention :

Devrions-nous comprendre que HP pourrait utiliser les AXIOMs en OEM pour remplacer la vieillissante gamme EVA voir XP ???? Si tel était le cas, en plus de l'intégration dans la gamme de stockage Sun -il se murmure que la dev du storage Sun aurait déjà intégré Pillar, ce qui expliquerait les accélérations dans le développement du produit -, Pillar Data Systems deviendrait réellement un acteur incontournable ....

mercredi 10 mars 2010

Pillar Summit, Day 2 : on nous avait promis du lourd ...

... et on l'a eu !!


Ned Hayes nous a fait un point sur la santé de l'entreprise : T V B

Mike nous a parlé de la roadmap de l'Axiom. Etant sous NDA, je ne peux rien dévoiler, mais c'est du très très très lourd : V-MAX, accroches-toi si tu peux :) Je suis fier du choix que j'ai fait il y a deux ans. La vidéo de ce qui est public ci-dessous.


Un petit point sur le support par Annelies Habermacher & Bob Carepezzi. Il devient largement multi-lingue et recrute partout notamment en Europe.


Nancy nous a expliqué ô combien la satisfaction client est importante

Le board exécutif au complet à répondu aux questions sans tabous !!!

Toujours prêt à mettre mon grain de sel, j'ai posé la question qui tue : Pillar a-t-il ou non officiellement accès aux APIs VMware vStorage ?