Nous voici donc face à une démonstration par l'exemple aux conséquences à priori limitées d'un service en nuage qui perd les pédales. Donc ce week-end pour 0,8% soit 150 000 comptes google mail : plus de données, plus de contacts, le trou noir. Comme quoi, même dans les nuages le backup local reste une valeur sûre et que la mise en place de services critiques en nuage est à proscrire: à méditer !
lundi 28 février 2011
dimanche 27 février 2011
2011 sera une année Pillar ...
Vu sur le blog Filestorage de Philippe Nicolas - Le 09 février 2011 : Un spot pour PillarPillar Data Systems (www.pillardata.com), une des très prometteuses entreprises Californienne de stockage en ces temps de fusion-acquisition, semble avoir trouvée son segment de prédilection avec le Hosting et le Cloud. Cet axe est soutenu par des fonctionnalités pertinentes pour des environnements intensifs, critiques et bien sûr multi-tenants comme on dit. Parmi celles-ci, citons les Storage Domains, extensions de la fameuse QoS maison, qui permet de segmenter les espaces de stockage, garantir une parfaite étanchéité, heureusement, et d'offrir un mécanisme de migration des données entre les partitions. Pillar Data aime aussi les acronymes et MAX pour Multi-Axiom Storage Manager propose la centralisation de l'administration de plusieurs Axiom avec la prise en compte d'une qualité de service (QoS) globale. Et puis une nouvelle génération de réplication avec AxiomONE SAN Replication R2, très complète enfin, avec le support hétérogène, un mode 1-N ou N-1 et cascade, CDP local et distant, Consistent Group fondamental pour garantir l'intégrité applicative, le contrôle de la bande passante, le chiffrement et la compression. L'année 2011 s'annonce intéressante pour Pillar Data que nous suivrons, on verra si les plans d'IPO se concrétise et si le revenu bondit, 2010 a vu notamment 2 mariages avec 3Par acquis par HP et Compellent par Dell et ce n'est toujours qu'une question de prix. Pensez-y, seul le prix compte et tout a un prix...
PS : ... oui, mais toutes les entreprises dans le stockage n'ont pas pour principal actionnaire le richissime et visionnaire Larry Ellison qui sait investir quand il y a besoin sans attendre une rentabilité à court terme.
samedi 26 février 2011
Sortie de VMware VIEW 4.6
Ah les lâches !!! J'ai à peine le dos tourné 5 minutes pour finir notre migration de messagerie que notre cher VMware nous sort une mise à jour View (build 366101) avec le tant attendu PCoIP pour les accès distants et le support expérimental du SP1 de Windows 7 sorti lui il y a quelques jours. Bon ben ça sent l'upgrade ....
vendredi 25 février 2011
Les pré-enregistrements du VMworld 2011 sont ouverts
Rendez-vous à l'adresse : http://www.vmworld.com
jeudi 24 février 2011
mercredi 23 février 2011
Comment utiliser la QOS Pillar avec VMware View ?
View 4.5, c'est la solutionVDI proposée par VMware. En soit le concept consiste à subsituer au traditionnel poste lourd une machine virtuelle accessible au travers de divers terminaux tels que PC, client léger tel que Wyse, iPad, iPhone ...
L'architecture s'articule autour du serveur mandataire (le broker) qui va faire la jonction entre les différents composants. Les serveurs vSphere supportent les machines virtuelles stockées sur une baie mutualisée. Il faudra être très vigilant quand à son dimmensionnement de cette dernière puisque c'est le point clé du succès pour le déploiement d'un tel projet. En cas de mauvais sizing, vos utilisateurs vous le feront rapidement savoir ...
Voici un abaque élaboré à partir de ma propre expérience dans la vraie vie sur ce que consomment des machines virtuelles View 4.5.
Voici la traduction pour le dimensionnement d'une baie Pillar Data AXIOM 600 qui a l'avantage d'être réellement prédictible. Les valeurs données ici sont conservatives car elles ne mentionnent que les I/Os bruts des disques sans tenir compte du cache ..
Voici un bench mené aujourd'hui devant témoins dans une VM Windows 2008 sur un Axiom 600 et trois briques SATA. Avec des blocs de 8k, on obtient 14350 I/Os.
Pour rappel, un slammer SAN, le contrôleur d'entrée /sortie vers les serveurs, supporte 250 000 IOPs : une baie peut en intégrer jusqu'à 4 ce qui autorise le support de plusieurs dizaines de milliers de machines virtuelles. Pour accélérer le déploiement de VMs, je me suis permis d'ajouter une brique SSD optionnelle afin d'accroîtrer encore un peu la performance. Ceci n'a rien d'obligatoire, c'est juste mon point de view :)
Enfin, voici une proposition de configuration de la QOS des différents LUNs de la baie. Bien entendu, grâce à ce mécanisme, vous pouvez y faire fonctionner simultanément d'autres applications sans à avoir à investir dans une nouvelle machine dédiée. Pillar Data a enfin exaucé le voeux de Cadbury : il en donne toujours plus.
Quelques liens pour en savoir plus :
http://ds45.blogspot.com/2010/10/qos-pillar-utilisation-du-cache.html
http://ds45.blogspot.com/2010/12/repartition-des-luns-dans-une-baie.html
http://ds45.blogspot.com/2009/12/comment-beneficier-de-la-qos-pillar-en.html
http://ds45.blogspot.com/2011/01/stockage-de-nouveaux-concepts-qui.html
lundi 21 février 2011
Petit séjour à Strasbourg ...
Quelques photos prises ce soir
La cathédrale évidemment
La place Keller (de l'homme de fer)
Comme à la maison : un tramway transdev
dimanche 20 février 2011
Chat-pardeur ou l'Arsène Lupin à pattes de velours
Des centaines d'objets dérobés près de San francisco par un Klepto-Chat ...
jeudi 17 février 2011
Prochain meeting du VMUG.fr le 10 mars à la porte de Versailles
Le vmug se déroulera sous une forme réduite à une demi-journée dans le cadre du salon InThe Business qui se tiendra les 8, 9 et 10 prochains à la porte de Versailles. Vous êtes invité à vous pré-enregistrer sur le site du salon (cliquez sur l'image) et en parallèle sur le lien que nuos allons mettre en place sur le site du vmug.fr
Nous aborderons vShield, vSafe avec Trend Micro, et le Plug-in vCloud director pour vSphere.
Nous aborderons vShield, vSafe avec Trend Micro, et le Plug-in vCloud director pour vSphere.
mardi 15 février 2011
Falconstor Recovertrac : le couteau suisse du PRA
Vous pouvez faire du P2V/V2V/V2P dans tous les sens. Un vrai plus pour la plateforme NSS. Sans dénoncer, c'est mon ami Pascal B qui en parle le mieux :)
Vu sur Virtuanews : RecoverTrac automatise la reprise d’activité
FalconStor, spécialiste du marché de la protection des données basées sur disques, annonce la disponibilité de RecoverTrac. Cet outil automatisé de restauration en cas de sinistre est désormais intégré en standard à FalconStor Continuous Data Protector (CDP), la plate-forme de protection des données orientées services de FalconStor. RecoverTrac est la première résolution automatisée de restauration après sinistre orienté services pour les infrastructures de serveurs aussi bien physiques que virtuelles. Cet outil automatise les opérations complexes, longues et sujettes à erreurs de basculement et de rétablissement des systèmes, applications et services voire de centres de données entiers.Pour la plupart, les solutions de reprise d’activité se focalisent sur la réplication des données vers un site distant en vue de leur restauration dans l’éventualité d’un sinistre, imposant au personnel informatique la tâche complexe de reconstituer les serveurs, applications, configurations réseau et données répliquées dans le cadre d’un ensemble fonctionnel de services de centre de données afin d’assurer la continuité de l’activité. RecoverTrac organise en plus la restauration de services complets, favorisant ainsi la protection des données orientées services (SODP, Service-Oriented Data Protection) en automatisant entièrement la reprise des serveurs, unité de stockage, réseau et applications selon un processus prédéfini et coordonné. Compatible avec la totalité des systèmes d’exploitation, machines virtuelles et réseau, cette solution autorise des restaurations d’un environnement physique à physique, physique à virtuel ou virtuel à virtuel.
« La fonction RecoverTrac de FalconStor nous a permis de réduire nettement le temps nécessaire à l’activation ou au test de notre site de restauration en cas de sinistre », témoigne Jeff Hutchinson, DSI de l’assureur new-yorkais Mendes & Mount, LLP. « Grâce à la facilité de créer, mémoriser et réexécuter des tâches RecoverTrac, le nombre d’interventions manuelles se trouve considérablement restreint. Auparavant, il nous fallait mettre en oeuvre une procédure manuelle longue et lourde pour une reprise d’activité pas à pas, mais l’arrivée de l’outil RecoverTrac a ramené celle-ci à une simple page».
En dehors de la restauration, la technologie RecoverTrac offre également un mode test et une fonction de clonage. Le mode test permet d’exécuter chaque étape du processus de restauration sans impact sur les systèmes de production. La fonction de clonage sert quant à elle réaliser une copie de données applicatives pour d’autres usages au sein de l’entreprise.
« Le grand avantage de la solution RecoverTrac réside dans la facilité qu’elle apporte pour un basculement en douceur des services vers le site de reprise d’activité puis un retour au centre de données primaire, un processus extrêmement difficile à gérer manuellement », souligne Shawn Mears, ingénieur réseau chez GDL Consulting, prestataire de services managés FalconStor. « En outre, le mode test de RecoverTrac nous permet de tester régulièrement des tâches de restauration pour les clients qui le demandent, ce qui vient enrichir notre offre de services ».
FalconStor, spécialiste du marché de la protection des données basées sur disques, annonce la disponibilité de RecoverTrac. Cet outil automatisé de restauration en cas de sinistre est désormais intégré en standard à FalconStor Continuous Data Protector (CDP), la plate-forme de protection des données orientées services de FalconStor. RecoverTrac est la première résolution automatisée de restauration après sinistre orienté services pour les infrastructures de serveurs aussi bien physiques que virtuelles. Cet outil automatise les opérations complexes, longues et sujettes à erreurs de basculement et de rétablissement des systèmes, applications et services voire de centres de données entiers.Pour la plupart, les solutions de reprise d’activité se focalisent sur la réplication des données vers un site distant en vue de leur restauration dans l’éventualité d’un sinistre, imposant au personnel informatique la tâche complexe de reconstituer les serveurs, applications, configurations réseau et données répliquées dans le cadre d’un ensemble fonctionnel de services de centre de données afin d’assurer la continuité de l’activité. RecoverTrac organise en plus la restauration de services complets, favorisant ainsi la protection des données orientées services (SODP, Service-Oriented Data Protection) en automatisant entièrement la reprise des serveurs, unité de stockage, réseau et applications selon un processus prédéfini et coordonné. Compatible avec la totalité des systèmes d’exploitation, machines virtuelles et réseau, cette solution autorise des restaurations d’un environnement physique à physique, physique à virtuel ou virtuel à virtuel.
« La fonction RecoverTrac de FalconStor nous a permis de réduire nettement le temps nécessaire à l’activation ou au test de notre site de restauration en cas de sinistre », témoigne Jeff Hutchinson, DSI de l’assureur new-yorkais Mendes & Mount, LLP. « Grâce à la facilité de créer, mémoriser et réexécuter des tâches RecoverTrac, le nombre d’interventions manuelles se trouve considérablement restreint. Auparavant, il nous fallait mettre en oeuvre une procédure manuelle longue et lourde pour une reprise d’activité pas à pas, mais l’arrivée de l’outil RecoverTrac a ramené celle-ci à une simple page».
En dehors de la restauration, la technologie RecoverTrac offre également un mode test et une fonction de clonage. Le mode test permet d’exécuter chaque étape du processus de restauration sans impact sur les systèmes de production. La fonction de clonage sert quant à elle réaliser une copie de données applicatives pour d’autres usages au sein de l’entreprise.
« Le grand avantage de la solution RecoverTrac réside dans la facilité qu’elle apporte pour un basculement en douceur des services vers le site de reprise d’activité puis un retour au centre de données primaire, un processus extrêmement difficile à gérer manuellement », souligne Shawn Mears, ingénieur réseau chez GDL Consulting, prestataire de services managés FalconStor. « En outre, le mode test de RecoverTrac nous permet de tester régulièrement des tâches de restauration pour les clients qui le demandent, ce qui vient enrichir notre offre de services ».
dimanche 13 février 2011
Campagne de pub Microsoft :J'ADORE !
Exchange online
Sharepoint online
Communicator online
Et puis une petite de sun pour la route ....
vendredi 11 février 2011
Plus d'infos sur le futur vSphere 5
Vu sur Virtuanews :
Un excellent article du confrère américain searchserverVirtualization sorti aujourd’hui lève le voile sur quelques fonctionnalités de la prochaine version de VMware vSphere, la version 5, qui devrait être disponible au deuxième semestre 2011. La roadmap aurait en effet été présentée lors de la conférence Partner Exchange qui a lieu cette semaine à Orlando (US). Selon l’auteur de l’article Colin Steele, vSphere 5 devrait être annoncée avant le prochain VMworld. Probable, si VMware se cale sur le même modèle de sortie que pour la version 4.1, qui avait été annoncée en Juillet dernier.
Storage Distributed Resource Scheduler
vSphere 5 devrait inclure Storage Distributed Resource Scheduler, (l’équivalent de DRS pour stockage), apparemment réclamé par les clients, qui s’appuie sur Storage vMotion pour effectuer un équilibrage de charge automatique si l’un des disques est surchargé. Storage DRS devrait en outre permettre de définir des «pods» de stockage (groupes de disques), avec équilibrage de charge automatique du stockage, notion assez nouvelle, en fonction des besoins en capacité. Objectif : améliorer l’utilisation du stockage, et optimiser les machines virtuelles en fonction des besoins. Selon l’article, les spécialistes voient en cette fonctionnalité un plus pour les infrastructures virtuelles.
Réplication asynchrone “host based” en natif
Une autre fonctionnalité annoncée est HBR, «host based replication» (réplication de serveur à serveur) pour SRM (Site Recovery Manager). Elle vise les entreprises qui n’utiliseraient pas de réplication à base de baies, ou utiliseraient des systèmes de stockage hétérogènes sur des sites différents. Il s’agit de réplication asynchrone. Cette fonctionnalité devrait plaire aux petites structures, qui ne peuvent pas mettre en place de plan de reprise d’activité coûteux avec des baies de stockage. Clairement, VMware vient encore avec cette fonctionnalité empiéter sur les platebandes de certains de ses partenaires, comme Double-Take, Falconstor , Datacore ou Quest (notamment avec le rachat de Bakbone)
En fait, l’intégration de HBR était déjà connue depuis septembre, lors du dernier VMworld. David Shyu, architecte solutions chez Falconstor, avait même, dans un billet, salué l’initiative de VMware d’avoir dans son produit sa propre solution de réplication sur le WAN. «C’est une très bonne nouvelle, car cela démocratise SRM pour tous. SRM ne sera plus un produit de luxe». Selon lui, HBR devrait permettre une restauration d’une machine virtuelle avec un RPO de 15 minutes. Cette possibilité de déplacer une machine virtuelle de n’importe quel stockage vers un autre devrait aussi avoir un effet positif sur le message Cloud.
Contrôle des i/o réseau
Dernière fonctionnalité annoncée : le contrôle des entrées/sorties réseau pour les machines virtuelles, qui permettra d’ajouter de la qualité de services aux workloads, en fonction de leur criticité. Cette fonctionnalité devrait être utile dans le cas d’infrastructures virtuelles de bonne taille.
Selon Colin, VMware aurait déjà donné quelques clés pour la version suivante, prévue en 2012, comme l’intégration de SLAs (incontournables pour la mise en place de solution de Cloud Computing), et l’intégration de la fonctionnalité vMotion sur longue distance (long distance vMotion), une fonctionnalité qui a déjà été démontrée lors d’un VMworld, en partenariat avec Cisco. Ces derniers avaient en effet fait une démonstration sur quelques dizaines de kilomètres.
Il y a fort à parier que vSphere 5 n’en restera pas là et que d’autres multiples fonctionnalités devraient y être intégrées. Le suspens restera intense encore quelques mois…
Lors de ce Partner Exchange, VMware a également annoncé une nouvelle fonctionnalité, vCloud Connector, qui devrait enrichir vCloud Director, en apportant la possibilité de déplacer des machines virtuelles entre Clouds privés et Publics. vCloud Director est un élément clé dans l’implémentation de Clouds à base VMware. Mais certains “earlys adopters” attendraient avec impatience la sortie d’une version 2, plus aboutie, qui leur permettrait de réellement bâtir des Clouds hybrides efficaces. Cependant, BlueLock, Verizon et Colt sont déjà utilisateurs.
Storage Distributed Resource Scheduler
vSphere 5 devrait inclure Storage Distributed Resource Scheduler, (l’équivalent de DRS pour stockage), apparemment réclamé par les clients, qui s’appuie sur Storage vMotion pour effectuer un équilibrage de charge automatique si l’un des disques est surchargé. Storage DRS devrait en outre permettre de définir des «pods» de stockage (groupes de disques), avec équilibrage de charge automatique du stockage, notion assez nouvelle, en fonction des besoins en capacité. Objectif : améliorer l’utilisation du stockage, et optimiser les machines virtuelles en fonction des besoins. Selon l’article, les spécialistes voient en cette fonctionnalité un plus pour les infrastructures virtuelles.
Réplication asynchrone “host based” en natif
Une autre fonctionnalité annoncée est HBR, «host based replication» (réplication de serveur à serveur) pour SRM (Site Recovery Manager). Elle vise les entreprises qui n’utiliseraient pas de réplication à base de baies, ou utiliseraient des systèmes de stockage hétérogènes sur des sites différents. Il s’agit de réplication asynchrone. Cette fonctionnalité devrait plaire aux petites structures, qui ne peuvent pas mettre en place de plan de reprise d’activité coûteux avec des baies de stockage. Clairement, VMware vient encore avec cette fonctionnalité empiéter sur les platebandes de certains de ses partenaires, comme Double-Take, Falconstor , Datacore ou Quest (notamment avec le rachat de Bakbone)
En fait, l’intégration de HBR était déjà connue depuis septembre, lors du dernier VMworld. David Shyu, architecte solutions chez Falconstor, avait même, dans un billet, salué l’initiative de VMware d’avoir dans son produit sa propre solution de réplication sur le WAN. «C’est une très bonne nouvelle, car cela démocratise SRM pour tous. SRM ne sera plus un produit de luxe». Selon lui, HBR devrait permettre une restauration d’une machine virtuelle avec un RPO de 15 minutes. Cette possibilité de déplacer une machine virtuelle de n’importe quel stockage vers un autre devrait aussi avoir un effet positif sur le message Cloud.
Contrôle des i/o réseau
Dernière fonctionnalité annoncée : le contrôle des entrées/sorties réseau pour les machines virtuelles, qui permettra d’ajouter de la qualité de services aux workloads, en fonction de leur criticité. Cette fonctionnalité devrait être utile dans le cas d’infrastructures virtuelles de bonne taille.
Selon Colin, VMware aurait déjà donné quelques clés pour la version suivante, prévue en 2012, comme l’intégration de SLAs (incontournables pour la mise en place de solution de Cloud Computing), et l’intégration de la fonctionnalité vMotion sur longue distance (long distance vMotion), une fonctionnalité qui a déjà été démontrée lors d’un VMworld, en partenariat avec Cisco. Ces derniers avaient en effet fait une démonstration sur quelques dizaines de kilomètres.
Il y a fort à parier que vSphere 5 n’en restera pas là et que d’autres multiples fonctionnalités devraient y être intégrées. Le suspens restera intense encore quelques mois…
Lors de ce Partner Exchange, VMware a également annoncé une nouvelle fonctionnalité, vCloud Connector, qui devrait enrichir vCloud Director, en apportant la possibilité de déplacer des machines virtuelles entre Clouds privés et Publics. vCloud Director est un élément clé dans l’implémentation de Clouds à base VMware. Mais certains “earlys adopters” attendraient avec impatience la sortie d’une version 2, plus aboutie, qui leur permettrait de réellement bâtir des Clouds hybrides efficaces. Cependant, BlueLock, Verizon et Colt sont déjà utilisateurs.
Le réseau SFR merdoie joyeusement à l'est d'Orléans
Vous allez me dire "De temps en temps ça arrive", sauf que là ça fait une quinzaine de jours que l'on observe ces phénomènes : coupure en plein milieu d'une conversation, accès Internet qui plante depuis le mobile, le réseau qui joue au yoyo vous faisant passer par rien/GSM/GPRS/3G comme si un serveur passait son temps à rebooter.
Ce que j'adore chez eux, c'est la transparence : nous avons ouvert plusieurs tickets laissés sans réponse. Ma flotte d'utilisateurs apprécie et moi aussi. Après les plantages Internet et DNS, ça continue. Je sens que le commercial va se prendre une envolée lyrique !
jeudi 10 février 2011
vSphere prêt pour la mise en Cloud
Vu sur le MagIT par Valery Marchive : VMware ouvre la porte aux clouds hybrides avec vSphere. Le 10 février 2011 (08:33)
VMware d’annoncer officiellement vCloud Connector, un plug-in gratuit pour vSphere qui doit simplifier la mise en oeuvre de clouds hybrides.
vCloud Connector permet aux utilisateurs d’infrastructures vSphere de migrer de manière transparente leurs machines virtuelles entre nuages publics et privés. Un module qui vient compléter vCloud Director : celui-ci, anciennement connu sous le nom de code «projet Redwood» permet d’assurer le provisionning et la gestion de clouds privés et publics. Sylvain Sioux, directeur technique de VMware France, nous expliquait, lors du lancement de vCloud Director, que cette solution permet de créer des pools de ressources virtuelles - machines virtuelles, réseau (avec plan d’adressage IPv4 interne), et stockage - comme autant de mini centres de calcul virtuels avec, chacun, ses stratégies d’administration, son niveau de service et sa tarification. Mieux, au sein d’un même groupe, il est possible de créer des vApp, un ensemble de plusieurs machines virtuelles dédié, par exemple, à la production d’un service précis. Avec, là encore, un plan d’adressage IP interne spécifique et une exposition, à l’extérieur, des seuls ports TCP/UDP utiles à l’exploitation du service produit, avec, en prime, une couche de translation d’adresses IP.
Une couche d'abstraction
De son côté, vCloud Connector doit offrir une vision de plus haut niveau, regroupant l’ensemble des machines virtuelles sans distinguer celles qui fonctionnent dans le cloud privé de celles qui s’exécutent sur une infrastructure en nuage publique. Bref, on parle là d’un niveau d’abstraction supplémentaire. Et pour VMware, c’est bien là tout l’intérêt : «en tant qu’administrateur vSphere, votre boulot consiste à vous assurer que le service est fourni par votre Cloud, peu importe qu’il le soit grâce à des ressources internes ou externes», explique l’éditeur. Pour autant, vCloud Connector permet bien de transférer automatiquement des machines virtuelles d’un nuage privé à un nuage publique et vice-versa. Enfin presque.
Car, comme le précise VMware, «il ne s’agit pas de vMotion à longue distance», à savoir transférer des machines virtuelles en activité : il s’agit de commutation entre copies de machines virtuelles dans le nuage privé et dans le nuage public.
VMware d’annoncer officiellement vCloud Connector, un plug-in gratuit pour vSphere qui doit simplifier la mise en oeuvre de clouds hybrides.
vCloud Connector permet aux utilisateurs d’infrastructures vSphere de migrer de manière transparente leurs machines virtuelles entre nuages publics et privés. Un module qui vient compléter vCloud Director : celui-ci, anciennement connu sous le nom de code «projet Redwood» permet d’assurer le provisionning et la gestion de clouds privés et publics. Sylvain Sioux, directeur technique de VMware France, nous expliquait, lors du lancement de vCloud Director, que cette solution permet de créer des pools de ressources virtuelles - machines virtuelles, réseau (avec plan d’adressage IPv4 interne), et stockage - comme autant de mini centres de calcul virtuels avec, chacun, ses stratégies d’administration, son niveau de service et sa tarification. Mieux, au sein d’un même groupe, il est possible de créer des vApp, un ensemble de plusieurs machines virtuelles dédié, par exemple, à la production d’un service précis. Avec, là encore, un plan d’adressage IP interne spécifique et une exposition, à l’extérieur, des seuls ports TCP/UDP utiles à l’exploitation du service produit, avec, en prime, une couche de translation d’adresses IP.
Une couche d'abstraction
De son côté, vCloud Connector doit offrir une vision de plus haut niveau, regroupant l’ensemble des machines virtuelles sans distinguer celles qui fonctionnent dans le cloud privé de celles qui s’exécutent sur une infrastructure en nuage publique. Bref, on parle là d’un niveau d’abstraction supplémentaire. Et pour VMware, c’est bien là tout l’intérêt : «en tant qu’administrateur vSphere, votre boulot consiste à vous assurer que le service est fourni par votre Cloud, peu importe qu’il le soit grâce à des ressources internes ou externes», explique l’éditeur. Pour autant, vCloud Connector permet bien de transférer automatiquement des machines virtuelles d’un nuage privé à un nuage publique et vice-versa. Enfin presque.
Car, comme le précise VMware, «il ne s’agit pas de vMotion à longue distance», à savoir transférer des machines virtuelles en activité : il s’agit de commutation entre copies de machines virtuelles dans le nuage privé et dans le nuage public.
mercredi 9 février 2011
Résiliation d'abonnement : Sainte TVA, priez pour nous ...
Vu sur PC Impact par par Sébastien Gavois
Il y a quelques jours l'UFC-Que choisir avait dressé un premier bilan sur le comportement des différents opérateurs face à la hausse de la TVA. Ils avaient pour cela mis en place un observatoire afin de recueillir les témoignages des utilisateurs. Au-delà des données statistiques, ils ont également publié un petit florilège des meilleures (ou des pires c'est selon) excuses des opérateurs.
Parmi tous les témoignages reçus par nos confrères, nous en avons sélectionné quelques-uns, mais vous pouvez retrouver l'intégralité des messages sur cette page. N'hésitez pas à nous faire part de vos expériences dans ce domaine à travers les commentaires...
Portabilité du numéro et déblocage du téléphone : une dernière facture pour la route ?
Le sujet qui semble revenir régulièrement c'est la facturation de frais sur la portabilité du numéro ou pour débloquer votre téléphone. Pourtant, ceci devrait être fait gratuitement par les différents opérateurs.
•« J’ai résilié ma ligne mobile SFR suite à la hausse tarifaire, et cette résiliation sera effective le 1er février 2011. J’ai demandé suite à cette résiliation le désimlockage de mon téléphone portable. La dame que j’ai eue au téléphone m’a bien dit que c’était gratuit. Aujourd’hui, SFR me facture ce débloquage 64,99 euros. » Pierre, Nord.
•« D’après Orange, en résiliant mon forfait, “le numéro va avec”. Les mots de mon interlocutrice au téléphone : “Si vous partez avant le 21 novembre 2011, c’est sans votre numéro, ou alors vous payez les frais de résiliation anticipée malgré la TVA”. » Bernadette, Seine-et-Marne.
•« Orange m’accorde une résiliation gratuite, mais veut m’obliger à payer 800 euros pour effectuer la portabilité vers un autre opérateur... » Alric, Lyon.
Votre numéro est concerné ? Pas suffisamment pour résilier
Il semblerait aussi qu'il règne comme un petit vent de mauvaise foi du côté des opérateurs. Oui, le forfait augmente, mais comme vous n'avez pas de TV sur votre mobile et bien vous ne pouvez pas résilier, logique non ?
•« Dans un point accueil SFR d’un centre commercial, il m’a été répondu que mon mari ne pouvait pas résilier son abonnement, touché par l’augmentation de la TVA, du fait qu’il n’avait pas la télévision. La même réponse a été faite à son ami. » Jacqueline, Hauts-de-Seine.
•« J’ai reçu le courrier Orange me signifiant une augmentation du prix de mon forfait due à la hausse de TVA, j’ai téléphoné au serveur Orange et on me dit que mon numéro n’est soi-disant pas concerné par la hausse. Alors qu’il l’est ! » Patrick, Loir-et-Cher.
Tout va bien on s'occupe de tout... Reste à voir quand ?
Parfois, les différents services ne semblent pas tout à fait d'accord entre eux chez les opérateurs. Lorsqu'ils vous annoncent que tout va bien et que tout est réglé... la surprise arrive en même temps que votre facture...
•« J’ai tenté de résilier mon abonnement SFR suite à la réception d’un courrier de leur part début janvier stipulant la future augmentation de mon forfait Illimythics ; une personne charmante m’a indiqué que tout était réglé et que j’allais recevoir un texto de confirmation de résiliation sans frais. Mais le lendemain, j’ai reçu un SMS qui m’indiquait la résiliation avec la notification de facturation de 5 mois contractuels restants ! J’ai alors annulé cette demande par téléphone. Mon interlocuteur m’a indiqué que c’était parce que j’avais fait la demande avant le 1er février et que je n’en avais pas le droit. » Antoine, Lyon.
Tu bluffes Martoni ! Nous retrouvons également le classique coup de bluff consistant à effrayer le client : « vous n'êtes pas content, nous avons de bons avocats, voyez ça avec eux ». Dans d'autres cas, c'est la menace d'être fiché (à la banque de France ou chez les opérateurs) qui semble être brandie.
•« Après plusieurs appels au service clients infructueux, une conseillère du service résiliation s’est permis de proférer des menaces. Je cite : “SFR a de très bons avocats, vous pouvez toujours contester la non-exonération de frais lors de la résiliation auprès de la Répression des fraudes et de l’UFC.” » Nour, Marseille.
•« Pour empêcher ma fille de les quitter, Orange lui a fait croire qu’elle était fichée à la Banque de France… » Maité, Yvelines.
•« Orange veut m’imposer des pénalités et lorsque j’évoque l’illégalité de leur démarche, ils me signifient que si je ne respecte pas cette demande de leur part, je serai fiché par eux et donc dans l’impossibilité de souscrire un autre contrat par ailleurs. » Pierre, Essonne.
« Le téléphone de votre correspondant n'est pas disponible pour le moment, veuillez rappeler ultérieurement »
Théoriquement, il est possible de résilier son forfait et tout pourrait bien se passer, encore faut-il réussir à avoir le service adéquat au téléphone... et que l'opérateur ne soit pas aux abonnés absents !
•« Abonné chez Orange pour mon forfait mobile, j’ai effectué les démarches nécessaires pour résilier mon abonnement dans le cadre légal de la hausse de la TVA. J’ai envoyé une lettre avec AR et je les ai appelés à de très nombreuses reprises : aucune confirmation ni prise en charge de ma demande, que dois-je faire de plus ? » Sandrine, Oise.
•« Tout a commencé assez simplement (trop peut-être), puisqu’il m’a suffi d’appeler mon opérateur pour demander la résiliation de mon contrat. L’aimable hôtesse a enregistré sans discussions ma demande et m’a informé qu’elle la transmettait au service résiliation ; ce dernier me rappellerait pour finaliser ma résiliation. Le seul problème est que j’ai fait ma demande par téléphone le 19 janvier et qu’à ce jour [27 janvier 2011] je n’ai toujours pas été rappelé, cela malgré deux autres appels de ma part. Toujours la même réponse : “On va vous rappeler”… » Seghir, Saint-Étienne.
C'est à vous, n'hésitez pas à nous faire part de vos différentes situations, nous publierons une actualité avec les plus cocasses...
Il y a quelques jours l'UFC-Que choisir avait dressé un premier bilan sur le comportement des différents opérateurs face à la hausse de la TVA. Ils avaient pour cela mis en place un observatoire afin de recueillir les témoignages des utilisateurs. Au-delà des données statistiques, ils ont également publié un petit florilège des meilleures (ou des pires c'est selon) excuses des opérateurs.
Parmi tous les témoignages reçus par nos confrères, nous en avons sélectionné quelques-uns, mais vous pouvez retrouver l'intégralité des messages sur cette page. N'hésitez pas à nous faire part de vos expériences dans ce domaine à travers les commentaires...
Portabilité du numéro et déblocage du téléphone : une dernière facture pour la route ?
Le sujet qui semble revenir régulièrement c'est la facturation de frais sur la portabilité du numéro ou pour débloquer votre téléphone. Pourtant, ceci devrait être fait gratuitement par les différents opérateurs.
•« J’ai résilié ma ligne mobile SFR suite à la hausse tarifaire, et cette résiliation sera effective le 1er février 2011. J’ai demandé suite à cette résiliation le désimlockage de mon téléphone portable. La dame que j’ai eue au téléphone m’a bien dit que c’était gratuit. Aujourd’hui, SFR me facture ce débloquage 64,99 euros. » Pierre, Nord.
•« D’après Orange, en résiliant mon forfait, “le numéro va avec”. Les mots de mon interlocutrice au téléphone : “Si vous partez avant le 21 novembre 2011, c’est sans votre numéro, ou alors vous payez les frais de résiliation anticipée malgré la TVA”. » Bernadette, Seine-et-Marne.
•« Orange m’accorde une résiliation gratuite, mais veut m’obliger à payer 800 euros pour effectuer la portabilité vers un autre opérateur... » Alric, Lyon.
Votre numéro est concerné ? Pas suffisamment pour résilier
Il semblerait aussi qu'il règne comme un petit vent de mauvaise foi du côté des opérateurs. Oui, le forfait augmente, mais comme vous n'avez pas de TV sur votre mobile et bien vous ne pouvez pas résilier, logique non ?
•« Dans un point accueil SFR d’un centre commercial, il m’a été répondu que mon mari ne pouvait pas résilier son abonnement, touché par l’augmentation de la TVA, du fait qu’il n’avait pas la télévision. La même réponse a été faite à son ami. » Jacqueline, Hauts-de-Seine.
•« J’ai reçu le courrier Orange me signifiant une augmentation du prix de mon forfait due à la hausse de TVA, j’ai téléphoné au serveur Orange et on me dit que mon numéro n’est soi-disant pas concerné par la hausse. Alors qu’il l’est ! » Patrick, Loir-et-Cher.
Tout va bien on s'occupe de tout... Reste à voir quand ?
Parfois, les différents services ne semblent pas tout à fait d'accord entre eux chez les opérateurs. Lorsqu'ils vous annoncent que tout va bien et que tout est réglé... la surprise arrive en même temps que votre facture...
•« J’ai tenté de résilier mon abonnement SFR suite à la réception d’un courrier de leur part début janvier stipulant la future augmentation de mon forfait Illimythics ; une personne charmante m’a indiqué que tout était réglé et que j’allais recevoir un texto de confirmation de résiliation sans frais. Mais le lendemain, j’ai reçu un SMS qui m’indiquait la résiliation avec la notification de facturation de 5 mois contractuels restants ! J’ai alors annulé cette demande par téléphone. Mon interlocuteur m’a indiqué que c’était parce que j’avais fait la demande avant le 1er février et que je n’en avais pas le droit. » Antoine, Lyon.
Tu bluffes Martoni ! Nous retrouvons également le classique coup de bluff consistant à effrayer le client : « vous n'êtes pas content, nous avons de bons avocats, voyez ça avec eux ». Dans d'autres cas, c'est la menace d'être fiché (à la banque de France ou chez les opérateurs) qui semble être brandie.
•« Après plusieurs appels au service clients infructueux, une conseillère du service résiliation s’est permis de proférer des menaces. Je cite : “SFR a de très bons avocats, vous pouvez toujours contester la non-exonération de frais lors de la résiliation auprès de la Répression des fraudes et de l’UFC.” » Nour, Marseille.
•« Pour empêcher ma fille de les quitter, Orange lui a fait croire qu’elle était fichée à la Banque de France… » Maité, Yvelines.
•« Orange veut m’imposer des pénalités et lorsque j’évoque l’illégalité de leur démarche, ils me signifient que si je ne respecte pas cette demande de leur part, je serai fiché par eux et donc dans l’impossibilité de souscrire un autre contrat par ailleurs. » Pierre, Essonne.
« Le téléphone de votre correspondant n'est pas disponible pour le moment, veuillez rappeler ultérieurement »
Théoriquement, il est possible de résilier son forfait et tout pourrait bien se passer, encore faut-il réussir à avoir le service adéquat au téléphone... et que l'opérateur ne soit pas aux abonnés absents !
•« Abonné chez Orange pour mon forfait mobile, j’ai effectué les démarches nécessaires pour résilier mon abonnement dans le cadre légal de la hausse de la TVA. J’ai envoyé une lettre avec AR et je les ai appelés à de très nombreuses reprises : aucune confirmation ni prise en charge de ma demande, que dois-je faire de plus ? » Sandrine, Oise.
•« Tout a commencé assez simplement (trop peut-être), puisqu’il m’a suffi d’appeler mon opérateur pour demander la résiliation de mon contrat. L’aimable hôtesse a enregistré sans discussions ma demande et m’a informé qu’elle la transmettait au service résiliation ; ce dernier me rappellerait pour finaliser ma résiliation. Le seul problème est que j’ai fait ma demande par téléphone le 19 janvier et qu’à ce jour [27 janvier 2011] je n’ai toujours pas été rappelé, cela malgré deux autres appels de ma part. Toujours la même réponse : “On va vous rappeler”… » Seghir, Saint-Étienne.
C'est à vous, n'hésitez pas à nous faire part de vos différentes situations, nous publierons une actualité avec les plus cocasses...
mardi 8 février 2011
Quelques insolites à San francisco
Not today, Maybe tomorrow
Pas facile de retirer de l'argent
Entrée de Chinatown
dimanche 6 février 2011
Des nouvelles de Flocon le mini-coon
Et bien, en une semaine il a déjà énormément changé. Notre petit félin pèse à présent plus de 1Kg, a abandonné le lait maternel au profit des croquettes chatons et court comme un petit fou dans toute la pièce. Heureusement, il adore se faire crapouiller le bidou (N'est-ce pas kareen ??) les quatres pattes en l'air.
Quelques photos de San Francisco et alentours
Dimanche matin musical
Market street avec au fond l'Embarcadero
Le majestueux Golden Gate bridge
Les cabs
Plage à Santa Cruz
SF depuis Twin Peaks
Union Square
SF et Alcatraz depuis Sausalito
samedi 5 février 2011
Cisco UCS, où en est-on ?
Durant notre périple à la Silicon Valley, nous avons eu la chance de revoir Ed Bugnion en terres Cisco afin de faire un point sur UCS. Je rappelle à toute fins utiles que UCS signife Unified Computing System et constitue la gamme des serveurs blades fabriqués par Cisco. Alors, qu'ont-ils que les autres n'ont pas ? Et bien, dans UCS le système n'est pas consitué d'un chassis unique mais d'un ensemble de chassis gérés avec des extenders externes et s'appuyant sur le protocole unifié FCOE.
Ici les APIs ont été directement pensées en tant que web service, pas en tant que mutiples stacks aussi variées qu'indépendantes et compliquées à administrer. La relation entre les différents composants core et edge est nativement plug & play.
Les nombreux records de performances et de consolidation réalisé sur UCS prouvent la justesse du concept et ce n'est pas un hasard si le produit est utilisé par 2800 clients ce qui situe Cisco à la 3eme place mondiale des ventes de serveurs blades en à peine 18 mois ! Cisco propose une large gamme apte à répondre à tous les besoins tout en continuant d'étoffer sa gamme.
Au-delà des accords stratégiques passé avec les deux principaux acteurs stockage du marché et sans froisser les susceptibilités, nous autres clients Pillar sentons bien une très forte similitude dans la genèse, la remise en cause du modèle traditionnel, les gains de performances obtenus, et la facilité d'administration entre UCS et l'AXIOM. Un grand merci à Ed pour le temps qu'il nous a accordé dans son emploi du temps chargé.
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