mercredi 30 juin 2010
View : Expérience contre nature
Cisco sort son Ipad : le CIUS
dimanche 27 juin 2010
Week-end j'apprends à conduire ...
Pic et pic et colégram,
Bour et bour et ratatam,
Ams, tram, gram.
Ah ben, ... oui.... gram :)
Y'a pire comme monture V10, 530cv ...
samedi 26 juin 2010
C'est rouge, c'est pas virtuel, c'est pas Red Hat, c'est Ducat
Merci à mon ami Pascal M. de m'avoir signalé ce reportage sur la vie d'un Ducatiste convaincu. D'ailleurs, aujourd'hui j'ai fait 200 bornes jusqi'à la capitale avec ma ST3, j'ai donc statistiquement perdu au moins 10kg de pièces, 2 1/2 litres d'huile et donc gagné au moins 1 seconde pour le 0 à 100 ce qui m'a permis de combler partiellement le handicap de la passagère.
vendredi 25 juin 2010
RedHat réellement sans XEN ?
Quand à l'install, on est encore loin du tout intégré ou du bare metal façon ESXi / XenServer 5.5 .. RPM -ivh ou YUM de rigueur.
jeudi 24 juin 2010
Vu !!! Agrica choisit Pillar Data
En même temps quoi de mieux pour faire du VDI ?????
Félicitations et re-bienvenue au club Julien.
Bench Exchange sur les offres stockage du marché
Complete Microsoft tests handily - By Chris Mellor
Pillar Data and Xiotech are much better at providing storage for 8,000 Exchange 2007 users than the competition in terms of drive spindle needs and response latency.
Microsoft has encouraged its storage partners to run benchmarks at varying levels of Exchange user populations for both Exchange 2007 and 2010. We looked at the Exchange 2007 with 8,000 users level and saw results from Compellent, EMC, HP, IBM, Pillar and Xiotech. These results were compared on the basis of the number of drives used and the percentage storage capacity used by the database, as they met the Microsoft-specified test needs of supporting 8,000 users with a heavy workload of 0.48 IOPS/mailbox/sec.
Compellent put up a Storage Center v4.2 setup with 40 300GB, 15K, Fibre Channel drives - 37 for the database and 3 hot spares - and revealed that 63 per cent of the storage capacity was allocated to the Exchange database.
An EMC Celerra NS20 needed 48 drives and 31.7 per cent of the capacity was allocated to the database. HP furnished an EVA4400 with 46 drives and 49 per cent of their capacity used by the database. An IBM DS4700 Express needed 48 drives with 47 per cent of the space given over to the database. These three are roughly similar.
Pillar, choosing for some reason an 8,500 Exchange user level, put up an Axiom 600 with 78 drives. What was going on here? There were, in fact, only 26 hard disk drives: ponderous 7,200rpm, 500GB SATA ones at that. The other 52 drives were 50GB solid state drives. The consequence of this was that the Axiom ran three times faster than the targeted workload, at 1.63 IOPS/mailbox/sec, and its latency was, Pillar says, dramatically lower than the competition. The capacity used by the Exchange database was 85 per cent.
There was no NetApp result at the 8,000 user level, although NetApp had results across the 4,000-60,000 users range. 3PAR saved its efforts for the Exchange stratosphere level with 24,000, 48,000, and 96,000 user level runs.
Xiotech met the 8,000 user test requirements with an Emprise 5000 having just 20 spindles - 15,000rpm 326GB drives, and the percentage of the storage capacity used by the Exchange database was 94.7 per cent. That seems to be the most efficient storage of the group, at this user level, with Pillar's Axiom being the fastest. ®
mercredi 23 juin 2010
XenServer 5.6, l'avis du vExpert
L'installation de l'ensemble se déroule sans problème particulier en moins de 30min. Après avoir booté sur le CD de 474Mo et répondu aux traditionnelles questions adresse IP et hostname, le partitionnement et la configuration s'opèrent tout seuls. Il suffit juste ensuite d'installer XenCenter, d'y déclarer le host et le tour est joué.
Sympa l'activation du multipathing dans l'interface, par contre il faut passer le host en mode maintenance pour bénéficier des bienfaits de la chose ... La négotiation avec mon slammer (contrôleur) SAN Pillar se déroule sans problème.
J'aime bien les options Home Server pour définir sur quel host démarrer par défaut, celle de définition de priorité pour les vCPUs et puis le paramètre permettant d'augmenter la taille du cache.
Par contre c'est navrant toutes ces options disponibles uniquement dans la version payante dont on dispose parfois dans VMware ESXi version free ... quand on dit que Citrix est gratuit, il ne faut pas rêver. Dès le démarrage de Xencenter, on vous incite à passer à la version plus ... pardon payante qui va bien. Au passge, StorageLink fait aussi partie des options.
Le XEON Nehalem reconnu sans problème. Il ne faut pas oubllier d'activer sa license en ligne, même dans la version gratuite.Pas d'historisation des performances non plus dans la version gratuite ...
Les performances disque, pas mieux que vSphere ... Je dirais même moins bien sur les blocs inférieurs à 64Ko quand au débit il dépasse les 400 Mo/s dans le bas du tableau avec la même VM sous vSphere. La HBA est une Qlogic FC4 bi-canal.
.. . comparaison avec le même test réalisé sous vSphere 4.01 sur la même config matérielle (Sun X4170 24Go de ram, Qlogic 2 x 4FC, VM XP SP2 2Vcpu, 1Go de ram, Pillar AXIOM 600 3 briques de disques SATA)mardi 22 juin 2010
VDI déjà mort ?
Pourquoi avons-nous déjà virtualisés nos 92 applications sous APP-V ? Pour nous affranchir des lourdeurs du déploiement bien avant le VDI et bannir à tout jamais les images master.
Pourquoi le choix Pillar avec du SSD ? Pour largement supporter la charge liée aux IOSTORMs de la rentrée du matin et du provisionning de clones liés : 300 VMs provisionnées en 5 secondes quand même .... Essayez-donc chez vous pour voir :)
Le seul vrai problème, c'est la maîtrise du réseau et de ses performances.
lundi 21 juin 2010
Comparatif personnel des hyperviseurs du marché
Vous avez probablement noté que ces temps-ci mon activité virtuelle était un peu plus calme. Ce n'est pas réellement le cas dans le monde physique. Je me suis penché ses derniers jours, comme je le fais tous les ans, sur quelques solutions de virtualisation du marché que j'ai évalué et pour lesquelles j'ai vous ai synthétisé mes conclusions personnelles qui vont au-delà des aspects purement techniques.
Je soulignerai quelques points :
- Les surcoûts non négligeable des outils VMware en termes d'acquisition et de support qui peuvent être justifiés dans le cas de l'utilisation des fonctionnalités avancées, mais pas pour le tout venant
- La lourdeur voir la pesanteur de l'installation et du paramétrage de l'outil de supervision d'Hyper-V SCVMM qui peut aller jusqu'à 1 jour 1/2 lorsque l'on tatonne là ou Citrix ou VMware prennent au pire une quinzaine de minutes maxi
- L'usage encore très présent du CLI dans XEN et KVM notamment pour les snapshots ou l'utilisation de l'outil de sauvegarde inclus dans KVM.
- Je m'interroge personnellement sur l'avenir de la solution Novell face à l'accord très fort passé ces derniers jours avec VMware qui s'engage à utiliser largement SUSE.
- Pas possible de parler de Oracle VM 3 .... :)
- Le fait que si le support Oracle n'est pas garanti sur les outils Hyper-V et VMware, celà ne veut pas dire qu'il n'y ait pas support. Simplement Oracle précise que ce dernier sera assuré dans la mesure ou l'incident peut être reproduit sur une machine physique :
"If a problem is a known Oracle issue, Oracle support will recommend the appropriate solution on the native OS. If that solution does not work in the VMware virtualized environment, the customer will be referred to VMware for support. When the customer can demonstrate that the Oracle solution does not work when running on the native OS, Oracle will resume support, including logging a bug with Oracle Development for investigation if required."
Pour résumer, je dirais que si vous souhaitez assurer le coup, choisissez VMware, si vous n'avez pas forcément besoin de fonctionnalités avancées et que vous n'avez que de l'OS post W2K et Kernel 2.4.0 à virtualiser, XEN fera l'affaire. Même si KVM semble un bon produit, je trouve que l'on manque encore de recul.
dimanche 20 juin 2010
Telex : Clash en série chez les bleus
Séance culture 25 : Le korg Triton Pro X, c'est du lourd !
Nouvelle locataire à la maison
Maman Evita qui fait sa star
Papa Turandot le majestueux
... avec mes soeurs
vendredi 18 juin 2010
Des DMX à la SETAO ...
... pas de provenance EMC mais du leader dans le domaine de la radio numérique : Rhodes & Schwartz :) Un réseau radio numérique TETRA tel que celui-ci est le nec plus ultra et s'apparente en quelque sorte à un réseau GSM privé. Un DMX c'est le "cerveau" du système.
La bonne nouvelle est que nous allons pouvoir bénéficier d'une amélioration très sensible de la qualité de notre phonie.
Pour info, la radio est LE SYSTEME STRATEGIQUE de tout transporteur urbain. C'est le lien entre le conducteur et l'entreprise Si il ne fonctionne pas, tout le monde rentre au port.
Evolution des réseaux dans le Datacenter
jeudi 17 juin 2010
Travaux Cleo : Orléans mode gruyère ...
La rue Jeanne d'Arc en plein aménagement pour recevoir la plateforme du tramway. Dans une quinzaine de jours la ligne tram 1 sera interrompue pour permettre la mise en place du croisement des rails à l'intersection des deux lignes.
La surprise du jour : une cavité d'une quinzaine de mètres de profondeur s'est formée à proximité des rails de la première ligne.
Trafic interdit à cet endroit toute la matinée le temps de déverser quelques toupies de béton.
mercredi 16 juin 2010
Telex : View 4 et vSphere update 2 pas compatibles :
PCoIP connections to a virtual desktop fail
After upgrading VMware Tools, connections to a virtual desktop using PCoIP fail. This only affects View 4.0.x installations that use PCoIP. For the latest information about this issue, read the knowledge base article.
mardi 15 juin 2010
VMware, bientôt Novell inside ....
Bref, pendant ces quelques jours d'absence en apnée d'infos voici ce que j'ai retenu :
- SCO débouté face à Novell, IBM et Linux
- NFS 4.1 : NFS parallélisé
- vSphere SP2 avec un support renforcé des dernières plate-formes CPU Intel et AMD
- Accord VMware / Novell
L'alliance nouée cette semaine entre Novell et VMware va permettre au numéro un mondial de la virtualisation de distribuer gratuitement une licence de Suse Linux Entreprise Server avec chacune de ses licences vSphere. VMware va également baser l'ensemble de ses appliances logicielles sur Suse Linux. De quoi doper la distribution de Novell dans son combat avec Red Hat mais aussi abaisser sensiblement la facture système d'exploitation des entreprises.
Un nouveau partenariat noué entre VMware et Novell va se traduire par la migration progressive de l’ensemble des appliances virtuelles de VMware sur la distribution Novell SUSE Linux Enterprise Server (SLES). Il va aussi permettre à VMWare de distribuer gratuitement la distribution Suse Linux Entreprise Server avec son hyperviseur à ses clients. L’accord, annoncé aujourd'hui, devrait assurer une cohérence bienvenue entres les appliances virtuelles VMware et donner un coup de pouce à SUSE face à ses concurrents Red Hat et Ubuntu.
Selon les termes de l’accord, Chaque client de VMware pourra recevoir gratuitement une licence de SLES pour chaque achat de licence vSphere 4.0 ou 4.1 - cette dernière mise à jour est attendue durant l’été - effectué auprès de VMware ou d’un de ses revendeurs. L’offre n’est en revanche pas valide pour les achats effectués au travers d’un OEM sauf en cas de contrats de licences d’entreprises. Il faudra donc préalablement bien se renseigner auprès de son fournisseur pour savoir si l’offre SUSE est valide selon le mode d’achat. Les clients SUSE for VMware, bénéficieront comme tous les clients SUSE des correctifs et des mises à jour, mais seulement si leur contrat de support VMware est à jour. Ils pourront aussi, s'ils le souhaitent, souscrire une offre de support SUSE au travers de VMware à partir du 3ème trimestre 2010. VMware n'a pas précisé ce qu'il reversait à Novell pour distribuer SUSE gratuitement avec ses produits.
VMware distribue déjà plusieurs de ses produits sous la forme d’appliances comme vCenter CapacityIQ ou Update Manager. Des produits tels que la messagerie Zimbra devraient aussi à terme être packagés sous la forme d’apliances, explique Bogomil Balkansky, le vice-président du marketing produit deVMware. Selon ce dernier, «cet accord OEM nous donne un bon moyen de normaliser toutes les appliances virtuelles que VMware distribue». L’éditeur n’a en effet pas été systématique sur les distributions Linux qui sous-tendent ses appliances virtuelles, offrant certaines sur Ubuntu, par exemple, et d'autres sur Debian. Le passage à SLES sera progressif selon Balkansky : «Il n'y aura pas de big bang», a-t-il ajouté. "Il y a de fortes chances, que différents produits migreront selon leur propre calendrier».Novell SUSE Studio permet déjà de produire simplement des appliances SUSE pour VMware explique Mark Vaughn, un architecte d’entreprise pour un grand compte VMware. Dans sa propre entreprise, il a déjà migré vers OpenSUSE après des années d’utilisation de Red Hat. Vaughn invoque la qualité supérieure des pilotes matériels ainsi qu’une plus grand simplicité d’installation et d’administration. L'accord avec VMware pourrait ajouter un avantage supplémentaire : une facture logicielle nettement réduite.SAP : une des raisons majeures du choix de VMwareRed Hat est largement en tête du marché des distributions Linux avec une nette marge sur SUSE, ce qui pose la question de savoir pourquoi VMware a choisi Novell. Pour Balkansky, le principal atout de Novell était le large éventail de certifications logicielles sur SUSE et notamment celle de SAP. «SAP est une application prioritaire pour nous», explique-t-il. «Nous avons une très bonne relation avec SAP, et SUSE est la distribution Linux préférée pour SAP».
Une autre raison est sans doute que Red Hat dispose désormais de sa propre stratégie de virtualisation, qui le place directement en concurrence de VMware. Un autre problème est que les politiques d'octroi de licences Red Hat ne sont pas aussi favorables aux environnements virtualisés que celles de Novell, explique Vaughn. Selon lui, la stratégie de Red Hat en matière de virtualisation et sa politique de licences en environnements virtualisés amènent des plus en plus de grands comptes à s’intéresser à Novell.
«Notre objectif est d'être le plus interopérable et le plus performant des système d'exploitation Linux sur un large ensemble de plates-formes de virtualisation», explique Joe Wagner, le vice-président et responsable des alliances mondiales de Novell. «En s'associant avec VMware, nous atteignons tous ces points». L'accord Novell-VMware n'affecte pas l'engagement de Novell d’intégrer des capacités de virtualisation basées sur Xen et KVM, indique toutefois Wagner : «Notre stratégie est toujours de distribuer et de soutenir les environnements de virtualisation libres les plus populaires».
Il reste désormais à voir si la bénédiction de VMware aura un effet important sur les ventes de licences de SUSE. Une autre question à se poser est celle du rôle que pourrait avoir VMware dans la vente annoncée des actifs de Novell. VMware dispose déjà d’une plate-forme de virtualisation, d’une couche de middleware, de multiples outils d’administration et de ce qui est sans doute le meilleur serveur de messagerie libre du marché. Un mariage avec Novell lui apporterait les briques qui lui font aujourd’hui défaut, notamment une couche de système d’exploitation et de génération d’appliances, d’excellents outils de gestion du cycle de vie des applications ainsi que des briques de gestion des identités et de sécurité.Article dérivé d'un article en anglais d’Alex Barett, SearchServerVirtualization.com, et enrichi par la rédaction du MagIT
dimanche 6 juin 2010
Posts en mode pause pour une semaine
samedi 5 juin 2010
Coup de Coeur : Nouveaux regards sur les Transports Publics
Telex : Les vExperts 2010 ont été nommés
Un mail annonçant la bonne nouvelle est tombé ce matin sur ma messagerie.
Hello Olivier,
I am pleased to announce that you have been designated as a VMware vExpert 2010 and I invite you to participate in our program this year. This award is based on your advocacy of VMware solutions, your contributions to the community of VMware users, and your willingness to share your expertise with others.
.../...
2010 is shaping up to be an exciting year at VMware and in the world of virtualization. We had an exceptionally strong group of applicants for this year's program, and I'm very pleased to invite you to work with us in the vExpert program.
On behalf of everyone here at VMware, thank you.
Regards,
John Troyer
and the greater vExpert team
vendredi 4 juin 2010
Pourquoi utiliser NPIV dans vSphere ?
Comme vous le savez sûrement, pour éviter les mélangesn garantir la sécurité d'accès et scanner plus rapidement les nouveaux volumes, on a pour habitude dans le monde SAN de créer un zoning entre un serveur et les ressources de stockage auquel il a accès. Ce zoning peut se faire en mappant les ports physiques utilisé sur le switch SAN dans le cadre d'une configuration peu mouvante -zoning hard- ou en s'appuyant sur les WWN utilisés -zoning soft-, ce qui est plus permissif mais offre plus de souplesse.
Si vous n'utilisez pas NPIV, c'est le WWN des hôtes du CLUSTER DRS qui doivent être zonés sur les ressources SAN nécessaires aux VMs qu'ils hébergent. Avec NPIV, c'est la VM qui présentera son propre WWN virtuel à déclarer dans le zoning en lieu et place du WWN de la HBA physique de l'hôte. On parle alors de World Wide Port Name (WWPN).
Vous vous assurerez ainsi que seule la VM autorisée accédera au(x) LUN's) tout en accélérant significativement les performances et la gestion en sera facilitée puisque le WWPN ne changera jamais.
jeudi 3 juin 2010
Loi sur les blogs : l'arroseur arrosé
Vu sur Clubic.com
Manœuvre politique hasardeuse ou erreur de communication, le sénateur Jean-Louis Masson est désormais la risée d'une partie du Web. L'homme politique ex-UMP et désormais non-inscrit a commencé par faire parler de lui en introduisant un nouveau projet de loi visant les blogs. Le sénateur de la Moselle estime que le droit de réponse n'est pas appliqué sur Internet et a donc cherché à rendre les blogueurs responsables de leurs écrits, en levant leur anonymat.
Suite à cette proposition, la sphère politique a commenté cette position peu innovante et difficile à mettre en place. Même la majorité UMP n'a pas donné son aval en diffusant le lendemain de la proposition sa propre vision de l'Internet. Au détour d'un rapport initié par Jean-François Copé, la majorité a exposé deux visions contradictoires à savoir « assurer l'identification de l'internaute » tout en cherchant à « protéger son identité ». La position du sénateur Masson semblait politiquement mort-née.
Au delà de ce désaveu, un torrent de critiques s'est abattu sur le sénateur. Interrogé par RMC, il a tenu des propos qui montrent combien ses préoccupations sont éloignées du numérique. Ainsi il admet : « Twitter, je ne connais pas, je ne cherche pas à savoir. Deezer et l'iPad, cela ne m'intéresse pas non plus ». Il va même plus loin : « Je ne me sers, enfin ma secrétaire ne se sert d'Internet que pour envoyer… », coupé par le journaliste, il tente ensuite d'adoucir son propos. Jean-Louis Masson estime alors qu'il n'est pas nécessaire d'être un spécialiste ou un technicien pour avoir un avis sur le sujet.
Pourtant, si le sénateur Masson admet en partie son ignorance, il oublie également de se rappeler certains coups de règle sur les doigts. Alors élu local, Jean-Louis Masson était déjà au centre d'une polémique portant également sur… l'anonymat. L'Express sort des cartons un article évoquant les élections municipales de 2001 à Metz. On apprend alors qu'« il a fait rédiger en 1983 un faux tract auto-diffamant dont il a cherché à attribuer la paternité à Jean-Marie Rausch (également candidat de l'époque, ndr), avant que le pot aux roses ne soit découvert. Procédurier, difficilement contrôlable, il s'est fâché peu à peu avec tous les élus de la ville et, notamment, avec le premier d'entre eux. »
Désormais sénateur, Jean-Louis Masson s'attire donc logiquement la colère des internautes mais aussi de ses confrères politiques. Sa proposition de loi aurait peut-être du rester anonyme.
mardi 1 juin 2010
Travaux CLEO sur le Boulevard Marie Stuart à Orléans
La plateforme qui accueillera le nouveau tramway prend corps à l'est de l'agglomération.
Dévoiement aérien des câbles et préparation du terrain
Pose des 1ers rails sur la plateforme récemment coulée.
Tram ancienne génération vs nouvelle génération