FCOE : Intel s'y met aussi ....

Intel announces free unified networking technology that enables all data center traffic to run over a single cable using Intel 10GbE server adapters.

The consolidation of cabling equipment can help reduce global IT spending by $3 billion a year and the 400 million feet of global data center cabling saved is enough to wrap around the Earth three times.

Industry support of Intel Open FCoE, include Cisco*, Dell*, EMC*, NetApp*, Oracle* and Red Hat*

SANTA CLARA, Calif., Jan. 27, 2011 –Intel Corporation took a further step today to simplify the data center by introducing a free new technology that enables all data center traffic to run over a single cable using the Intel® 10 Gigabit Ethernet (10 GbE) Server Adapter X520 family.
Unified networking allows IT departments to create flexible superhighways in virtualized data centers by consolidating multiple data and storage networks onto a single 10GbE network. The consolidation of cabling equipment can help reduce global IT spending by $3 billion a year, and the 400 million feet of global data center cabling saved is enough to wrap around the Earth three times.
A simple and high-speed unified data center network is a cornerstone of Intel's Cloud 2015 vision and Open Data Center initiative, which were announced in October. Unified networking on 10GbE creates a simpler data center infrastructure that is easier to manage, yet can accommodate the heavy network traffic of the cloud.
"What's frustrating for IT managers is that most of the data center dollars are spent on infrastructure costs, not on innovation," said Kirk Skaugen, vice president and general manager, Data Center Group, Intel. "Expanding Intel Ethernet to include Open FCoE will help simplify the network and drive more of the IT budget toward innovation. We think IT departments can lower infrastructure costs by 29 percent, reduce power by almost 50 percent and cut cable costs by 80 percent by moving to a unified network."
Intel's Open FCoE integrates capabilities into the operating system to deliver full unified networking without the need for additional expensive, proprietary hardware. IT departments can use common management tools for server network and storage connectivity while integrating seamlessly with existing Fibre Channel environments.

"A unified fabric supports both compute and storage resources over a high-bandwidth transport to deliver greater data center efficiency, simplify management and can accelerate the deployment of virtualization and cloud-based services," said Soni Jiandani, vice president of marketing, Server Access and Virtualization Technology Group, Cisco. "The Cisco Nexus 10 Gigabit Ethernet switches and the Cisco Unified Computing System servers both support Intel's Open FCoE 10 Gigabit Ethernet adapters to provide our customers with greater choice for cost-effective, scalable unified fabric access."
Intel has worked closely with key industry leaders to certify and ensure a strong ecosystem of compatible solutions. Companies supporting the Open FCoE solution include Cisco*, Dell*, EMC*, NetApp*, Oracle* and Red Hat*.

"Server virtualization and converged storage networking, based on a shared 10 Gigabit Ethernet fabric, are key ingredients for a cost-effective infrastructure," said Paul Brown, vice president and general manager, Storage Networking Business, EMC. "Achieving EMC E-Lab qualification is a gold standard in our industry for server, networking and storage interoperability. The extensive work done to qualify and validate the Intel Ethernet Server Adapter X520 will give our customers confidence that the product will integrate seamlessly with the EMC Symmetrix VMAX and EMC VNX family of storage products."

"Open FCoE fits well with Dell's delivery of open, capable, and affordable solutions because it utilizes components in the operating system to simplify the deployment and operation of converged networks," said Brian Payne, executive director, PowerEdge Marketing Group, Dell.

The Intel Open FCoE software stack is available as a free upgrade on existing X520 family products.

Un peu de rigolade dans ce monde de buzz

Je vous invite à lire le dernier post de Mike Workman sur la dernière "méga ever" annonce EMC de ce mois : venant d'un vétérant du stockage, ça remet les choses en perspective non sans un brin de rigolade.

Back to SF day #1

De retour dans la Bay Area avec une dizaine de bons amis pour faire un peu de sniffing technologique, bencher et discuter roadmap. Oui, je sais, on sèche le Cisco Live! de Londre mais on va se rattrapper au siège mercredi prochain. Le temps est ici plutôt nuageux avec une température d'une dizaine de degré qui nous change du gel sur Paris. Au passage pas mal de têtes connues dans l'avion, notamment de VMware dont c'est le kick-off à Las-Vegas la semaine prochaine ...

Plug-In DELL pour vCenter

Pour les heureux possesseurs de serveurs Dell, le constructeur texan propose un plug-in bien sympathique pour piloter les machines de sa provenance directement depuis vCenter. Au menu gestion de la conformité, gestion des firmwares et des drivers, pilotage des cartes IDRAC, sauvegarde de la configuration des ESX(i) et déploiement automatisé sur un serveur vierge.

VMware annonce Go Pro

Vu sur Virtualization.info :

VMware has announced the general availability of VMware Go Pro, a web based cloud service (SaaS) designed for small and midsized businesses (SMBs). Go Pro will provide the functionalities of VMware Go, the free web management service for ESXi adding functionalities like Software License Management, Hardware Asset Management, Patch Deployment (in partnership with Shavlik Technologies) and email support.

Go Pro provides the following features:

- Installation and configuration of vSphere Hypervisor
- Initial vSphere Hypervisor setup, including Remote install and built-in hardware compatibility check functionality
- Create VMs, peform P2V, convert VMware Server VMs and installing pre-packaged virtual appliances
- Management and basic monitoring for vSphere hosts and VMs
- Patch Management
- Scanning for missing patches
- Deploying patches
- Software License Management
- Scanning, viewing, and reporting on installed software
- Hardware Asset Management
- Scanning, viewing and reporting on hardware assets
- Help Desk
- Create tickets, automatic email notifications, analyzing and reporting

Telex : disque de 3To en vue

Qu'on se le dise : le bon vieux disque mécanique n'est pas mort ! Hier Hitachi a annoncé l'ULTRASTAR 7K3000 un disque de classe entreprise d'une capacité de 3To brut avec un MTBF frôlant les 2 millions d'heures. Il peut être équipé d'une interface SATA ou SAS 6Gb/s.

Stockage : de nouveaux concepts qui sentent le réchauffé

J'ai lu avec attention aujourd'hui les articles de Christophe Bardy sur le MagIT faisant un point sur les technologies clés pour l'année 2011 et j'en arrive à la conclusion qu'il n'y a finalement rien de nouveau sous le soleil. Voyons de plus près.

Tout d'abord tout ce qui concerne le tiering automatique vous savez ce concept qui vise à déplacer les blocs de données les plus utilisés sur les disques les plus rapides : c'est vraiment l'art de mettre un pansement sur une jambe de bois. Expliquez-moi comment une baie de stockage saura quel est le fichier le plus importaht pour moi à l'instant ou je vous parle quand la méthode traditionnellement utilisée consiste à faire des analyses statistiques sur plusieurs heures : en gros c'est super, ma donnée sera sur le bon disque quand je n'en aurai plus besoin :( Ne parlons bien entendu pas de la consommation sur le backend de la baie d'autant plus vraie que par exemple sur un Compellent, le maître à penser en la matière, ce n'est qu'un faible volume de données qui est mis en mode data progression, jamais la totalité de la baie à moins de vouloir travailler à 150 IOPs comme votre PC de bureau. Le top du top, c'est quand même de voir le concept (mal transposé) utilisé avec une granularité inadéquate par les ténors du marché pour combler les lacunes de la conception antédiluvienne de leurs bécannes. Le seul que l'on puisse réellement remercier dans l'histoire c'est INTEL avec ses XEON 5600 qui offrent suffisamment de puissance....et dont le successeur arrive sous peu (Sandy Bridge). Aïe pour le retour sur investissement de dans 4ans, votre bécane est déjà morte-née.

Autre gros truc à la mode : la compression et la dédup. Ca c'est du lourd ! En fait, à peu près toutes les machines du marché ont du mal à faire une dédup sur du tier 1 sans impact notable sur l'accès aux données. On va donc vous vendre le fait que 80% de vos données seraient mortes et qu'on peut les dédupliquer à l'envie en toute quiétude, sauf que pour dédupliquer, votre contôleur de stockage devra bosser régulièrement plusieurs heures à 100% : il ne faut pas rêver, si ça marchait si bien, on ne vous filerait pas la license gratos. Je me demande juste à quoi ça sert quand on voit le prix dérisoire d'un disque SATA. Personnellement, je préfère qu'il passe en spin-off ou spin-down (arrêt ou baisse de la vitesse de rotation des plateaux) c'est nettement plus green. Ca tombe bien pour moi, Pillar l'apporte dans AXIOM One 5 avec les storage domains. Pour la vraie dédup qui marche, je fais confiance à Stornext de Quantum qui fait aussi accessoirement du 'vrai' HSM jusqu"à la bande si besoin est.

Et puis NFS, le soi-disant protocole fétiche pour le Cloud, alors-là on bat des records : vous avez déjà fait des montage NFS avec des liens WAN ?? Déjà en 1991, je trouvais que ça ramait sur un Sparc 1 sous SunOS 4 en Ethernet 10 Meg, appelez-moi con ! Ce que j'attends, c'est un VRAI nouveau protocole compatible browser internet que j'affublais du nom de CloudOS (j'aurais dû déposer le nom à l'INPI moi) en avril de l'année dernière, pas une ènieme mouture d'un truc vieux comme le monde. Youtube, ils ne font pas déjà dans la donnée destructurée et compressée ???? Ben oui, celui qui a la solution, c'est la couche 7 du modèle OSI, pas la couche 4 : c'est plus du côté de Microsoft, d'Oracle ou d'Apple que ça se passe.

Décidément, j'ai du mal à me faire intoxiquer par le marketing et "le best launch ever", probablement parce que je ne suis pas un lapin de 6 semaines mais un utilisateurs responsable des denniers qu'on lui confie à la recherche de vrais apports dans la vraie vie pour son entreprise.

HADOPI : Les comportements changent ... mais pas forcément dans le bon sens

Comme prévu, les prétendues vertus de la riposte graduée poussent le présumé coupable à trouver des parades. En voici l'illustration :

Vu sur le monde.fr

C'est l'un des constats qui émergent, en creux, du volumineux rapport rendu public, dimanche 23 janvier, par la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) sur les habitudes de consommation des contenus culturels en ligne : sanctionner le téléchargement illégal ne pourra passer par la seule surveillance des réseaux Peer-to-Peer (P2P). D'après ce sondage conduit pour l'Hadopi avant la mise en place de la "riposte graduée", il y a en France presque autant d'internautes téléchargeant illégalement via Megaupload ou Rapidshare (37 % des sondés qui affirment télécharger illégalement) que d'utilisateurs de P2P (42 % du même échantillon).

D'autres chiffres semblent confirmer cette tendance. D'après le cabinet d'études Comscore, 7,4 millions d'internautes français ont visité le site Megaupload, en novembre ; ils n'étaient que 350 000 visiteurs en août 2008. A l'échelle mondiale, l'outil Ad Planner, de Google, indique que le site de téléchargement direct a compté 72 millions de visiteurs uniques, et près de 600 millions de pages vues au mois de décembre. Quand à Megavideo, site de streaming (diffusion en continu), également propriété de Megaupload, ils réunirait au moins 50 millions de visiteurs (pour 370 millions de pages vues). Et d'après les données collectées par MarkMonitor, société spécialisée dans le droit d'auteur, les trois principaux sites de téléchargement ou de streaming que sont Rapidshare, Megaupload et Megavideo représenteraient 21 milliards de visites pour l'année 2010.

ÉVOLUTION DES PRATIQUES

En dépit de leur volume croissant de visites, l'Hadopi n'est pas techniquement en mesure de surveiller ces services. Basés à l'étranger, ils ne fonctionnent pas sur un mode décentralisé, comme le P2P, qui permet aux ayants droit de se connecter pour voir quelles sont les adresses IP qui téléchargent des fichiers. Seuls Megaupload ou Rapidshare, par exemple, savent qui télécharge quel fichier et à quel moment ; pour avoir accès à ces informations, les ayants droit devraient lancer des procédures juridiques longues et complexes, peu compatibles avec leur volonté de repérer massivement les internautes qui téléchargent illégalement.
Jusqu'à présent, l'Hadopi avait plutôt tendance à minimiser l'ampleur du phénomène. "Pour les ayants droit, la migration du piratage vers le 'direct download' n'est pas si massive que ce que l'on peut lire. TMG [la société qui procède au repérage des internautes pour le compte des ayants droit] n'a aucun problème pour trouver 70 000 IP par jour", notait Mireille Imbert-Quaretta, la présidente de la Commission de protection des droits de l'Hadopi, lors d'une conférence de presse le 12 janvier. L'étude menée par la Haute Autorité elle-même montre cependant que les repérages effectués par TMG ne constituent que la partie émergée de l'iceberg. De précédentes études, comme celle menée par le laboratoire M@rsouin, ou les observations des fournisseurs d'accès à Internet, tendent à accréditer l'idée selon laquelle les Français se tournent vers les services de téléchargement direct... pour échapper à l'Hadopi.

DES SERVICES LÉGAUX, DES UTILISATIONS ILLÉGALES

Faute de moyens de contrôle et de sanction, l'Hadopi tente donc de faire œuvre de pédagogie. La lettre recommandée, envoyée lors de la deuxième étape de la "riposte graduée", contient une allusion aux services de streaming, comme Megavideo. Ce courrier stipule que "les comportements volontaires de consultation, mises à disposition ou reproduction d'œuvres protégées par un droit d'auteur, appelés couramment 'piratage', constituent des délits de contrefaçon sanctionnés par les tribunaux". Or, si la mise à disposition et la reproduction constituent bien des délits de contrefaçon, la simple consultation n'est pas sanctionnée par la loi. Interrogée sur ce point par Numerama, Mireille Imbert-Quaretta explique que "les recommandations ont été prioritairement rédigées dans le souci d'être compréhensibles par ceux qui les recevront. La [Commission de protection des droits] a donc volontairement écarté tout ce qui pourrait apparaître comme une qualification juridique des faits (...) et privilégié un langage courant facilement accessible."

La pédagogie sera-t-elle suffisante ? Eric Walter, le secrétaire général de l'Hadopi, rappelle que cette étude "n'est en aucun cas une étude d'impact : elle a été lancée avant la mise en place de la réponse graduée". La Haute Autorité estime qu'avant de faire le bilan de son action, il faudra attendre. Au moins "18 mois de fonctionnement à plein régime", pour Mireille Imbert-Quaretta, soit 2013. Interrogé vendredi sur France Inter, Frédéric Mitterrand a lui estimé qu'il faudrait faire un premier bilan dans six mois.
Il semble que sur un point au moins, un effort de pédagogie soit nécessaire. L'étude montre que pour les internautes, la distinction entre services légaux et illégaux n'est pas toujours évidente : 30 % des sondés affirment ne pas savoir si les services payants qu'ils utilisent sont légaux ou illégaux. La distinction n'est en effet pas simple : l'abonné payant à Megaupload utilise un service qui est en soi légal (comme le Peer-to-Peer) mais l'utiliser pour télécharger des fichiers soumis au droit d'auteur est contraire à la loi.

C'est l'un des constats qui émergent, en creux, du volumineux rapport rendu public, dimanche 23 janvier, par la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi) sur les habitudes de consommation des contenus culturels en ligne : sanctionner le téléchargement illégal ne pourra passer par la seule surveillance des réseaux Peer-to-Peer (P2P). D'après ce sondage conduit pour l'Hadopi avant la mise en place de la "riposte graduée", il y a en France presque autant d'internautes téléchargeant illégalement via Megaupload ou Rapidshare (37 % des sondés qui affirment télécharger illégalement) que d'utilisateurs de P2P (42 % du même échantillon).

D'autres chiffres semblent confirmer cette tendance. D'après le cabinet d'études Comscore, 7,4 millions d'internautes français ont visité le site Megaupload, en novembre ; ils n'étaient que 350 000 visiteurs en août 2008. A l'échelle mondiale, l'outil Ad Planner, de Google, indique que le site de téléchargement direct a compté 72 millions de visiteurs uniques, et près de 600 millions de pages vues au mois de décembre. Quand à Megavideo, site de streaming (diffusion en continu), également propriété de Megaupload, ils réunirait au moins 50 millions de visiteurs (pour 370 millions de pages vues). Et d'après les données collectées par MarkMonitor, société spécialisée dans le droit d'auteur, les trois principaux sites de téléchargement ou de streaming que sont Rapidshare, Megaupload et Megavideo représenteraient 21 milliards de visites pour l'année 2010.

ÉVOLUTION DES PRATIQUES

En dépit de leur volume croissant de visites, l'Hadopi n'est pas techniquement en mesure de surveiller ces services. Basés à l'étranger, ils ne fonctionnent pas sur un mode décentralisé, comme le P2P, qui permet aux ayants droit de se connecter pour voir quelles sont les adresses IP qui téléchargent des fichiers. Seuls Megaupload ou Rapidshare, par exemple, savent qui télécharge quel fichier et à quel moment ; pour avoir accès à ces informations, les ayants droit devraient lancer des procédures juridiques longues et complexes, peu compatibles avec leur volonté de repérer massivement les internautes qui téléchargent illégalement.
Jusqu'à présent, l'Hadopi avait plutôt tendance à minimiser l'ampleur du phénomène. "Pour les ayants droit, la migration du piratage vers le 'direct download' n'est pas si massive que ce que l'on peut lire. TMG [la société qui procède au repérage des internautes pour le compte des ayants droit] n'a aucun problème pour trouver 70 000 IP par jour", notait Mireille Imbert-Quaretta, la présidente de la Commission de protection des droits de l'Hadopi, lors d'une conférence de presse le 12 janvier. L'étude menée par la Haute Autorité elle-même montre cependant que les repérages effectués par TMG ne constituent que la partie émergée de l'iceberg. De précédentes études, comme celle menée par le laboratoire M@rsouin, ou les observations des fournisseurs d'accès à Internet, tendent à accréditer l'idée selon laquelle les Français se tournent vers les services de téléchargement direct... pour échapper à l'Hadopi.

DES SERVICES LÉGAUX, DES UTILISATIONS ILLÉGALES

Faute de moyens de contrôle et de sanction, l'Hadopi tente donc de faire œuvre de pédagogie. La lettre recommandée, envoyée lors de la deuxième étape de la "riposte graduée", contient une allusion aux services de streaming, comme Megavideo. Ce courrier stipule que "les comportements volontaires de consultation, mises à disposition ou reproduction d'œuvres protégées par un droit d'auteur, appelés couramment 'piratage', constituent des délits de contrefaçon sanctionnés par les tribunaux".
Or, si la mise à disposition et la reproduction constituent bien des délits de contrefaçon, la simple consultation n'est pas sanctionnée par la loi. Interrogée sur ce point par Numerama, Mireille Imbert-Quaretta explique que "les recommandations ont été prioritairement rédigées dans le souci d'être compréhensibles par ceux qui les recevront. La [Commission de protection des droits] a donc volontairement écarté tout ce qui pourrait apparaître comme une qualification juridique des faits (...) et privilégié un langage courant facilement accessible."

La pédagogie sera-t-elle suffisante ? Eric Walter, le secrétaire général de l'Hadopi, rappelle que cette étude "n'est en aucun cas une étude d'impact : elle a été lancée avant la mise en place de la réponse graduée". La Haute Autorité estime qu'avant de faire le bilan de son action, il faudra attendre. Au moins "18 mois de fonctionnement à plein régime", pour Mireille Imbert-Quaretta, soit 2013. Interrogé vendredi sur France Inter, Frédéric Mitterrand a lui estimé qu'il faudrait faire un premier bilan dans six mois.
Il semble que sur un point au moins, un effort de pédagogie soit nécessaire. L'étude montre que pour les internautes, la distinction entre services légaux et illégaux n'est pas toujours évidente : 30 % des sondés affirment ne pas savoir si les services payants qu'ils utilisent sont légaux ou illégaux. La distinction n'est en effet pas simple : l'abonné payant à Megaupload utilise un service qui est en soi légal (comme le Peer-to-Peer) mais l'utiliser pour télécharger des fichiers soumis au droit d'auteur est contraire à la loi.

Etat des lieux sur la virtualisation, le point complet dans infranews

Un dossier multimédia préparé par Kareen Frascaria et son équipe pour savoir à quelle sauce se faire virtualiser.

(Cliquez sur l'image pour accéder au site)

Des nouvelles de bébé Flocon

Notre mini-coon pèse à présent 765g à plus de 5 semaines. Il explore la pièce, commence à grimper partout et joue le chat sauvage avec les souris en peluche et les balles en mousse qu'il promène dans sa petite gueule.

CLEO : Quelques insolites sur les chantiers ...

Pas près d'entrer dans le Parc pasteur

Ah ! Ok ....

On habille les arbres place Hallemagrand ...

Pietons : no way !

Garages à vélo design

Il faut jouer au passe-murailles

Les travaux, c'est reversant

La future plateforme provisoirement transformée en parking pour carrossier

Qui à la plus grande ?

Chacun son tour : Oracle dévoile son stockage à la fin du mois

Oracle limbers up for big storage surprise - By Chris Mellor • Posted in Storage, 20th January 2011 10:07 GMT

Oracle says it has a game-changing data centre storage announcement coming on 31 January.

There are no details, but there is a claim that new technology is involved. The background is straightforward: Sun used to resell HDS's USP-V high-end array as its 9990V and 9980V storage products.

When Oracle acquired Sun Larry E dropped this reselling deal, leaving Sun with a high-end storage hole that was not filled by its Sun 7000 open storage ZFS-using product. That is more of a mid-range offering.

It looks very much as if Oracle is going to fill that hole at the end of January.

EMC VNX : L'art du buzz

On nous rabat les oreilles depuis quelques semaines sur le web et surtout sur twitter avec la nouvelle annonce majeure d'EMC : la sortie d'une nouvelle gamme midrange au doux nom de VNX. Au menu SAS avec 8 boucles, SSD mais en volume maxi limité à 2,1To, une déclinaison de gamme pour coller au plus près de la segmentation NetAPP et il parait 1 Million d'IOPs ... Toutes ses infos se seraient retrouvées par 'inadvertance' sur le site communautaire d'EMC. Que reste-t-il donc à annoncer ? Plus d'infos sur le site du MagIT.

Update : plus d'infos encore sur le site de Shad ici, ici et là Au passage, la VNXe est une très bonne idée à un prix très agressif

Petit point sur CLEO

Avancement de la ligne sur le bd Marie-Stuart ouest.

On devine les contours du futur dépôt de St Jean de Braye

La ligne face à la TAO prend corps

Quelques subtilités pour maintenir les multitubulaires existantes ...

A l'inverse, de nouvelles se créent

Vue d'ensemble du chantier Bd Marie-Stuart depuis le site RVL

Zoom sur le chantier toujours depuis RVL (Nikon D300 + Sigma 70-300mm)

Pose des mousses de protection pour éviter la détérioration des rails par electrolyse

un coup de tourne-vis et ...


Point d'ancrage du rail avant assemblage

Ensuite, on procède à la mise en place des poteaux de LAC

Comme le témoignent les restes de cette station service place Mozart, le tram mange sur l'automobile en centre ville

FCOE : Cisco toujours en tête ....

Vu sur le blog d'Eric Debray

FCoE: Cisco prend la tête… Publié le janvier 17, 2011 par Eric Debray

L’enquête IT Brand Pulse portant sur les switchs FCoE a été conduite en octobre 2010 et publiée en novembre 2010. Elle mesure le leadership des constructeurs selon divers critères (marché, prix,performances, fiabilité, services et innovation).

Cisco apparait comme le mieux placé dans chaque catégorie et parvient même à se hisser en tête du classement devant Brocade en ce qui concerne les prix, ce qui n’était pas encore le cas en 2009. Cisco n’a pas la réputation d’être le mieux placé en matière de prix mais il faut reconnaitre que le Nexus 5000 a réussi ce pari.

Les limlites de l'offshore ...

Que dit votre contrat d'assurance ou de sous-traitance en cas de guerre civile déja ???

Vu sur le MagIT : Comment la crise en Tunisie contamine les opérateurs télécoms - Le 14 janvier 2011 (23:05) - par Reynald Fléchaux

Alors que la crise politique en Tunisie se cristallisait ce vendredi, les centres d'appel de Teleperformance, travaillant notamment pour Orange et SFR, ont commencé à être affectés par les événements. HP, qui possède un important centre de support francophone sur place, se veut lui rassurant.
Vendredi, alors que la crise politique s'amplifiait en Tunisie (ce qui a abouti dans la soirée à l'abdication du président Ben Ali, qui a quitté le pays), les services délocalisés dans le pays commençaient à être affectés par les événements. Selon le syndicat CFE-CGC & Unsa Télécoms, les opérateurs - à commencer par SFR et Orange qui ont confié une partie de leur support client à Teleperformance, qui opère notamment depuis le pays où il emploie pas moins de 4 000 personnes - ont commencé à être touchés ce vendredi 14 janvier par la révolte de la rue tunisienne contre le pouvoir et par les mesures prises par ce dernier. "Aujourd’hui la grève générale a obligé les centres d’appels à fermer en Tunisie, explique le syndicat. Dès lors les appels ont du être détournés vers d’autres sites en interne ou en externe. Pour autant l’accroissement de trafic sur ces centres d’appels entraîne une dégradation de la qualité. La part d’appels traités en Tunisie représente de 5 à 15 % du nombre d’appels total des opérateurs impactés".

Orange : 12 % des appels traités par Teleperformance... en Tunisie

En effet, si techniquement, le reroutage des appels vers d'autres centres est immédiat, encore faut-il que les centres censés accueillir les appels détournés soient capables d'absorber la surcharge. Ce qui compte tenu des volumes en jeu paraît illusoire. Comme l'illustre Sébastien Crozier, de la CFE-CGC & Unsa chez France Télécom-Orange, "en moyenne, Teleperformance assure 12 % du traitement des flux en provenance des clients Orange, dans le grand public et le bas du marché professionnel. Ces appels sont très majoritairement pris en charge par les centres de ce prestataire en Tunisie. Le couvre-feu et la grève générale ont fortement impacté les performances de ces centres d'appel aujourd'hui". Trouver une solution de remplacement sur de tels volumes en quelques heures paraît donc illusoire.

"Il en résulte pour les clients une augmentation du temps d’attente, voire à une non-réponse. Si la situation venait à perdurer, les mesures d’exception ne suffiraient plus à amortir la baisse de qualité, dès la semaine prochaine la situation deviendrait critique et des mesures de repositionnement durable des appels devraient s’opérer", écrit le syndicat, qui condamne de longue date les délocalisations de centres d'appels dans les pays à bas coût.

HP prêt à activer des plans de secours

Chez HP, qui possède un centre de support pour les clients francophones (contrats d'externalisation et maintenance serveurs) employant environ 500 personnes en banlieue de Tunis, la situation était elle aussi scrutée au jour le jour depuis la France. "Pour l'instant, la situation politique sur le terrain n'a pas de conséquence opérationnelle", explique Jean-Paul Alibert, qui se dit toutefois prêt à activer des plans de continuité conçus lors de l'épisode de grippe aviaire, notamment à basculer l'activité vers les trois autres centres francophones que possède le numéro un mondial de l'informatique. "Pour l'instant, ces mesures d'exception n'ont pas été activées, nous détaillait Jean-Paul Alibert, directeur général de la branche services technologiques de HP France, interrogé par téléphone vers 16h (soit avant le départ du président Ben Ali). Je n'arrive pas à croire que la Tunisie puisse sombrer dans le chaos". On en est pourtant tout proche.

Réflexions sur la gamme HP

Après le feuilleton de la dispute entre Dell et HP l'été dernier pour le rachat de 3Par, ayant vu ces derniers emporter la mise pour près de 2,5 M de $, je m'interroge de savoir comment vont merger les produits pour créer une gamme cohérente. D'un côté on a la vieillissante EVA pour laquelle HP a récemment investi afin d'en raffraichir la partie logicielle - avec un avenir incertain pour SVSP (virtualisation de stockage) tout en lorgnant sur Falconstor -, de l'autre les belles machines 3Par considérées en interne comme adressant le haut de gamme du mid-range et le high-end.

En soi, HP couvre à présent, avec quelques redondances, tous les segments de marché. Pour le bas de gamme les P4000 (ex-lefthand) y compris sous forme de virtual appliance (VSA), pour la moyenne gamme les p6000 (ex-EVA), les 3Par F-Class (faisant donc double emploi), pour le haut de gamme les T-Class et les USP-V/VSP ... pardon P9500. Ajoutons la partie X9000 (IBRIX) pour le NAS scalable prêt pour le cloud (classe Exanet, Isilon, Sonas ....). Bon, il y a du bloulot d'intégration, mais ce n'est pas insurmontable. Toutefois, HP ne serait-il pas fait avoir pour 3Par car si l'on y regarde de plus près, il semble que les contrôleurs de ces derniers ne s'appuient que sur du PCI-X ... vous connaissez-vous des cartes PCI-X supportant le FC 8Giga, le 10 giga Ethernet ou le FCOE ?? Ben non, il faut du PCI-Express, de plus l'ASIC maison ad-hoc n'est pas encore né.

Drôle de dilemne donc que d'avoir à faire cohabiter d'un côté la P6000 à l'architecture vieillissante qui a coûté de l'argent à raffraichir et de l'autre les 2 gammes 3Par apparemment plus performantes, ayant coûté beaucoup plus cher mais qui n'intégrent pas les dernières évolutions en matière de connectique tout en étant loin d'être green (prévoyez les disjo 32A).

Personnellement, j'aurai mis de côté 3Par, vendu de la P6000 pendant 18 mois le temps de sortir un produit convergent intégrant le meilleur des deux mondes ..... Comme quoi 3Par n'est peut-être pas encore le futur de l'architecture des EVAs pour les 10 prochaines années.

Telex : SFR dans le noir pendant 1 h ...

Plus d'Internet et les mobiles qui déraillent, en tout cas chez nous. A présent tout semble rentré dans l'ordre.

Update : Concernant les liaisons professionnelles SDSL, depuis 48h les connexions à certains sites sont lentes voir impossible : TF1.fr, Yahoo.com, VMware.com, Xerox.com, Apple.com ... Par contre ping et traceroute fonctionnent. Quelqu'un se serait-il mélangé les pinceaux dans la conf de l'IDS ????

Update 2 : 17 janvier, ça merdouille toujours .... A présent on nous parle d'un problèma avec le fournisseur de transit

Le home multimedia doperait-il la R&D sur la flash ?

Les besoins grandissant pour les appareils multimédia friands de vidéo et autres images ultra-HD à destination de Youtube et autre facebook poussent les constructeurs de cartes de stockage dans leurs retranchements. Ainsi deux petites annonces de Sandisk passées assez inaperçues ont attiré mon attention ces jours-ci :

- Une puce intégrant le contrôleur de stockage associé à une capacité de stockage de 64 Go SSD MLC.
- Une Compact flash pouvant stocker 128Go avec une honorable vitesse d'accès de 100Go/s

Avec une telle miniaturisation, si ça continue on aura bientôt le stockage de masse intégré dans la CPU. Conversation en 2013 : Tu as pris quoi toi comme proc ? Ben un XEON HOME 6256 MLC ...

Bébé flocon grandit ...

Des nouvelles du petit dernier. Notre Coon de 4 semaines se tient à présent sur ces pattes et devient très calin. Il fait plus de 525 g ce qui le situe dans la courbe haute de croissance habituelle de la race et à la vue de ses grosses pattounes, il va devenir un beau gros matou. La couleur des yeux n'est pas fixée et ne deviendra définitive qu'à 4 mois.

Travaux CLEO Orléans : le dépôt tramway prend forme

Update : voici la suite ...

Il est en cours de construction Bd Marie-Stuart à St Jean de Braye

Un zoom sur les tubes par où passerons les trams Citadis
Mise en place des poteaux de support de LAC (Ligne aérienne de contact) à l'entrée du dépôt.

Comment configurer une carte TOE Broadcom dans ESXi4.1 ?

vSphere 4.1 a introduit le support natif de certains accélérateurs ISCSI matériels appelés aussi Tcp Offload Engine (TOE). Le but est de décharger le processeur des basses besognes de gestion du protocole TCP/IP pour le stockage en les sous-traitant à des ASICs dédiés pour gagner en efficacité, efficacité allant de paire avec performances.

Cependant, si vous accédez à une HBA proprement dites dans l'interface vSphere, vous aurez droit au désagréable message suivant :

Pas d'affolement : il faut en fait paramétrer ISCSI au travers du driver logiciel, on parle d'initiateur software. auquel on va raccrocher la ou les cartes TOE.

Donc, comme d'habitude, on paramètre un VMKernel dédié au ISCSI

Il faut ensuite activer l'accès SSH dans la console d'ESXi pour passer quelques commandes en ligne :

Listons les vmnic connues :


~ # esxcfg-vmknic -l
Interface Port Group/DVPort IP Family IP Address Netmask Broadcast MAC Address MTU TSO MSS Enabled Type

vmk0 Management Network IPv4 X.X.X.X 255.255.255.0 X.X.X.255 84:2b:2b:f8:d7:ca 1500 65535 true STATIC

Ajoutons par exemple la carte configurée en tant que vmk1 :

~ # esxcli swiscsi nic add -n vmk1 -d vmhba37


Vérifions que l'ajout c'est bien déroulé :

~ # esxcli swiscsi vmnic list -d vmhba37
vmnic2
vmnic name: vmnic2
mac address: 84:2b:2b:f8:d7:ce
mac address settable: NO
maximum transfer rate: 1000
current transfer rate: 1000
maximum frame size: 9000

~ # esxcfg-vmknic -l
Interface Port Group/DVPort IP Family IP Address Netmask Broadcast MAC Address MTU TSO MSS Enabled Type
vmk0 Management Network IPv4 X.X.X.X 255.255..255.0 X.X.X.255 84:2b:2b:f8:d7:ca 1500 65535 true STATIC
vmk1 ISCSI2 IPv4 192.168.X.X 255.255.255.0 192.168.X.255 00:50:56:73:56:a8 9000 65535 true STATIC

Et voilà, le tour est joué.

Quand box dite évolution rime avec frais dits de gestion

Grand sujet à la mode que ces nouvelles box ADSL qui arrivent avec tout un tas de nouveaux services plus ou moins gratuits pour faire passer la pillule de l'augmentation d'une partie de la TVA de 5,5% à 19,6% et grapiller quelques euros de dîme en plus. Alors nous avons la Box avec le disque dur mais dont l'intégralité n'est utilisable qu'après versement de 5€ supplémentaires, le module FemToCell (relais de téléphonie mobile à la maison) à 199,00€ pour encore mieux profiter de son abonnement mobile et étendre gratos le réseau SFR pour en faire profiter les voisins et le top du top c'est les 40,00€ demandés pour "participer aux frais de gestion", ben voyons !! Je n'ai pourtant pas souvenir d'avoir vu baisser mon abonnement ADSL pour passer de 19,6% à 5,5% avec l'apparition du triple play .... Ayez la conscience tranquille : grâce à la nouvelle box vous êtes plus green, elle consomme 30% d'énergie en moins. Super ! Et l'ancienne ne constitue pas un déchet peut-être ?

Le seul truc que je trouve réellement intéressant et intelligent c'est l'offre légale de téléchargement à 4,99€ donnant accès à un large catalogue de titres de musiques, bien utile pour calmer les ados et leurs cochonneries de peer to peer.

Bienvenue donc dans ce nouveau monde de la nouvelle box plus mieux et de se logique de loose/win en faveur de l'opérateur.

Nouveaux processeurs Intel Sandy Bridge

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Nouveau concept : le SMS multiple selon Orange

Je me suis dit : tiens ? Tiens, certains ont abusé de la boisson au point de m'envoyer trois ou quatre fois leurs voeux par SMS. Et bien non, il semblerait que ce soit l'opérateur Orange qui ai bagotté. J'ose espérer que les messages ne sont pas facturés unitairement sous peine de voir la facture gonfler quelque peu ...

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