mercredi 28 janvier 2009
La première newsletter de Forum-VMware dans les starting blocks ...
vendredi 23 janvier 2009
Cisco confirme son entrée sur le marché des serveurs
Cisco sur le marché des serveurs, en concurrent frontal d'IBM, HP ou Dell ? Cela fait déjà plusieurs mois que la rumeur va bon train outre-Atlantique. Et l'on comprend pourquoi : un nouvel entrant de la trempe du constructeur historique de routeurs pourrait profondément bouleverser la donne sur un marché que se partagent gentiment trois ou quatre grands acteurs depuis plusieurs années.
Cette fois-ci, la nouvelle est quasi-officielle même si aucun détail précis n'a été donné quant à la nature exacte des machines que l'américain est en train de construire. La confirmation est venue au travers d'un article du « New York Times », quotidien auquel Padmasree Warrior, directeur technique du groupe (chief technology officer), a accordé une interview. « Notre vision consiste à se poser la question suivante : comment faisons-nous pour virtualiser l'intégralité du datacenter ? Il ne s'agit pas d'un seul produit. Nous aurons bientôt une série de produits qui vont nous permettre de réaliser cette transition », a-t-il confié au journaliste du New York Times, tout en minimisant l'impact de ce lancement et en essayant de rester le plus flou possible.
Une collaboration avec VMware
Le même Padmasree Warrior a par ailleurs confirmé cette diversification du constructeur dans un billet, là encore très flou, posté sur la plate-forme de blog officielle de l'équipementier, et dans lequel il évoque un nouveau concept de Unified Computing. Le serveur en question intègrera vraisemblablement des fonctions de virtualisation sophistiquées et a été réalisé en collaboration avec VMware, majoritairement détenu par EMC, mais dont Cisco détient environ 2 % du capital.
Il se murmure également que la machine devrait être une lame, soit actuellement le format de serveurs le plus dynamique sur le marché et celui plébiscité dans les centres de calculs. On imagine volontiers que celle-ci puisse prendre place dans un châssis aux cotés des commutateurs en lames de l'américain ou aux côtés de lames de stockage (fournies pourquoi pas par EMC ?), comme le laisse supposer le terme Unified Computing. Les premières annonces concrètes sont attendues en mars 2009.
ATTENTION : VIRTUANEWS MIGRE !
Un premier article sur View3 : http://virtuanews.wordpress.com/2009/01/22/exclusif-premiers-retours-sur-vmware-view-3-2-clients-temoignent/
jeudi 22 janvier 2009
Bénéfices en 11% de baisse = 5000 employés remerciés ...
Coup de tonnerre dans l’édition logicielle et, au-delà, dans tout le secteur : Microsoft licencie massivement (plus de 5 % de ses effectifs), invoquant la crise la plus importante à laquelle il ait eut à faire face. Reste une entreprise aux profits immenses qui se sépare de 5 000 salariés après avoir passé des mois à promettre un avenir radieux, autour du Cloud Computing et de Windows 7 notamment.
Toute petite croissance... et grosse conséquence pour Microsoft, qui publie ses résultats pour le compte de son 2ème trimestre fiscal. Le chiffre d’affaires a péniblement atteint 16,63 milliards de dollars, soit une légère croissance de 2 %. C’est « 900 millions de dollars de moins que ce qui était prévu », si l’on en croit la lettre envoyée aux employés du groupe par Steve Ballmer lui-même.
Surtout le bénéfice est en très net recul (- 11 %) tout en se montant tout de même à 4,17 milliards de dollars. Première conséquence, mais de taille : le numéro un mondial de l’édition logicielle procède pour la première fois de son histoire à une vague massive de licenciements qui portera au total sur 5 000 postes - soit plus de 5 % des effectifs - sur 18 mois, dont 1 400 avec effet immédiat. De nombreux services sont concernés : la R&D, le marketing, les forces de vente, les services administratifs et juridiques, les RH et – également – les services informatiques. L’objectif, selon le communiqué de Microsoft, est de réduire les dépenses opérationnelles annuelles de 1,5 milliards de dollars. Selon Steve Ballmer, au cours du trimestre qui vient de s’écouler, « les dépenses ont déjà été réduites de 600 millions de dollars » des suites du plan d'économies annoncé à l'automne.
Des licenciements pour les actionnaires ?
Si l’on se réfère aux rumeurs persistantes qui circulaient depuis plusieurs semaines, faisant état de suppressions de postes se montant à 10 000 voire 15 000 personnes, on peut conclure que l’éditeur a limité les dégâts. Reste qu’il s’agit là d’une grande première pour une entreprise ayant accumulé des bénéfices colossaux et dont les fondamentaux demeurent extrêmement confortables, avec une marge nette de tout de même 25 % !
On se trouve donc confronté à des licenciements "boursiers" censés conforter les actionnaires dans la capacité de la direction à maîtriser ses coûts en temps de crise. Même si Microsoft voit ses ventes de logiciels pour PC chuter de 8 % - en rapport avec la récession qui frappe ce secteur –, les autres activités progressent. De 15 % pour la branche serveurs et outils de développement, de 3 % pour la division produits électroniques grand public (dont la Xbox). La ventilation exacte devrait être communiquée plus tard dans la journée, alors que Steve Ballmer doit commenter les résultats auprès des analystes.
Le poste de travail : talon d’Achille de Microsoft version 2009
La vente de logiciels pour le poste de travail devient donc le point faible de Microsoft. Et le plus inquiétant est que la crise n’est certainement pas la seule responsable du recul de l’activité « logiciels pour postes clients ». L’effet Vista – l’OS tant décrié – n’est pas à négliger ,d’autant que la promesse d’un Windows 7 dans les bacs au tout début de 2010 n’est pas franchement faite pour doper les ventes. De la même manière, Microsoft a mis du temps à prendre la vague des netbooks, le seul segment porteur en 2008 sur les PC. Finalement un XP spécialement maintenu a fait l’affaire. Mais, sur ce segment, malgré le retour de Microsoft, Linux a marqué des points. De même, la montée en puissance sur le web de la suite OpenOffice ou encore de Firefox menace les positions du numéro un.
Des licenciements peu compatibles avec les annonces récentes
Pour l’avenir – notamment la fin de l’exercice au 30 juin 2009 –, Microsoft explique ne pas avoir de visibilité suffisante pour se risquer à la moindre projection. Une cécité qui rappelle celle d'Intel. Seuls les coûts donc semblent maîtrisés. Et ils devraient se monter à 27,4 milliards de dollars sur l’ensemble de l’exercice. Le problème, c’est que Microsoft a fait feu de tout bois à l’automne annonçant le calendrier pour Windows 7 – dont le lancement sera sûrement onéreux pour remonter la pente Vista –, mais également des investissements monstres dans les datacenters pour servir ses ambitions autour d’Azure, sa plate-forme de cloud computing, un marché où il veut jouer les premiers rôles. Sans compter la somme des autres développements. En Inde par exemple, Microsoft a inauguré le 12 août dernier le 3ème bâtiment de son campus à Hyderabad, qui doit permettre de faire passer les effectifs locaux de 1 500 et 3 500 personnes. Officiellement aucun licenciement ne concerne le sous-continent.
Mais, en Inde ou ailleurs, avec ce qu’il prépare ou qu’il a promis, on se demande bien où Microsoft va pouvoir supprimer ses 5 000 postes sans rogner sur ses ambitions.
dimanche 18 janvier 2009
Dépôt de bilan pour Nortel
samedi 17 janvier 2009
View3, clone lié et Windows 7
mercredi 14 janvier 2009
Success Story Vcenter Site Recovery Manager
La SETAO est la première entreprise au monde à témoigner du succès de l’implémentation de la solution VMware vCenter Site Recovery Manager (SRM).
Edition du 14/01/2009 - par reseaux-telecoms.net
La SETAO a décidé de faire reposer son PRA sur une infrastructure virtualisée associée à un outil spécialisé gérant le basculement en cas de défaillance.
Début 2008, la SETAO s'est engagée dans une politique globale de refonte et de sécurisation de son système d'information reposant massivement sur la virtualisation. Il s'agissait de répondre en temps réel à tous les types de pannes. Olivier Parcollet, administrateur systèmes et réseaux au sein de la SETAO, avait déjà opté pour une infrastructure virtuelle. Il a décidé de la compléter par une solution de PRA capable d'automatiser le redémarrage, sur des serveurs distants, des machines virtuelles hébergées par un ou plusieurs serveurs défaillants. En avril 2008, la SETAO a testé plusieurs solutions pour finalement retenir vCenter SRM (Site Recovery Manager) de VMware. Ce choix a été lié à un souci d'homogénéité avec l'hyperviseur (ESX) déjà mis en oeuvre et au support immédiat de l'environnement de stockage existant. D'emblée, ce produit a ciblé 67 machines virtuelles, soit la totalité du parc. Il sécurise aujourd'hui toutes les applications métiers critiques parmi lesquelles figurent le site Internet, le SAE (Système d'aide à l'exploitation) et le système Mobi Trans (service d'horaires des tramways et bus par téléphone).Un basculement en seulement 12 minutesEn cas de panne, le basculement intervient en 12 minutes au lieu de 4 heures minimum avec une méthode traditionnelle. Quant aux pertes de données, elles sont estimées à moins de trois minutes. Dans un proche futur, la SETAO va investir dans la virtualisation de ses quelque 300 postes de travail pour simplifier et sécuriser encore plus son infrastructure. Dans ce contexte, les PC seront remplacés par des clients légers, avec l'espoir de réduire la consommation électrique globale.La SETAO en brefChargée des transports en commun, la SETAO exploite le tramway et le réseau de bus de l'agglomération d'Orléans. La société fait voyager plus de 100 000 voyageurs par jour et doit donc disposer d'un système informatique hautement disponible pour faciliter les conditions de transports des voyageurs et les informer en temps réel des conditions de trafic.
Claude Durand à la tête de la direction technique d'ARES
Dans un communiqué, la direction d’Arès annonce également qu’elle va déposer un plan de redressement dans les prochains jours. Début septembre, quelques précisions sur l’organisation d’un nouveau périmètre réduit à peau de chagrin en termes de revenus avaient été apportées. Des activités concernant un effectif de 1 300 salariés – sur plus de 2 000 avant le dépeçage - qu’Arès a structuré en trois pôles : IT Services (ITS), qui devient le cœur de la SSII ; Systèmes d'Informations Techniques (SIT), intégrateur de solutions de PLM et de CAO ; Intégration Solutions Applicatives (ISA), intégrateur de solutions de comptabilité et de logiciels RH.
Placée en redressement judiciaire au mois de juillet 2008, Arès avait en septembre vu la période d’observation prononcée par le tribunal de commerce d’Evry prorogée jusqu’au 21 janvier 2009.
Commentaire(s) - Par damiette
Une fois encore, la direction d'Ares joue les effets d'annonces en évitant d'évoquer l'essentiel !Ce qui intéresse les actionnaires c'est de savoir comment Ares compte continuer son activité avec 90ME de dettes, 100ME de C.A prévu pour 2008/2009 et encore 1100/1200 salariés. Comment en est-on arrivé à une telle situation en si peu de temps ?Les petits actionnaires du flottant ont décidé de se regrouper au sein d'une association en cours de création afin d'obtenir des réponses aux questions qu'ils se posent et de défendre leurs intérêts par tous moyens.L'AMF a déjà été saisie pour une demande d'enquête sur un éventuel délit d'initié et pour dénoncer les communiqués mensongers d'Ares envers ses actionnaires.
Les géants de la Silicon Valley financent l'investiture d'Obama
En direct de New Delhi, de Pékin et de San Francisco, nos chroniqueurs livrent chaque semaine leur regard amusé, admiratif ou critique sur la high-tech saveur locale.
Le 20 janvier prochain, Barak Obama deviendra le 44 e Président des États-Unis. Prestation de serment, bals, défilés et concerts devraient attirer au moins 1,5 million de spectateurs à Washington et coûter plusieurs dizaines de millions de dollars. Des frais partiellement couverts grâce aux dons généreux de nombreuses personnalités, tels Steven Spielberg, Magic Johnson ou Oprah Winfrey, mais aussi des grands noms de la Silicon Valley.
Contrairement aux investitures précédentes, sponsorisées par des entreprises, la prise de pouvoir d'Obama sera uniquement financée par des dons individuels, plafonnés à 50 000 dollars par personne. Parmi les fervents supporters du nouveau Président, on retrouve le PDG de Google, Eric Schmidt, le cofondateur du moteur de recherche, Larry Page, une des vice-présidentes, Marissa Mayer, le créateur de YouTube, Chad Hurley, ainsi que des anonymes travaillant chez Yahoo, Intel et Cisco. Pour 50 000 dollars, vous avez droit à une bonne place pour assister à la prestation de serment, au défilé et aux principaux bals.
La Silicon Valley semble avoir basculé dans le camp démocrate
Déjà, pour la campagne présidentielle, les entreprises de la Silicon Valley avaient mis la main au porte-monnaie : les vingt plus grandes d'entre elles, par le biais des dons de leurs employés, avaient donné près de 1,5 million de dollars pour Barack Obama, contre seulement 267 000 dollars pour McCain. Les cinq plus gros donateurs pour Obama étaient Google (485 961 dollars), Cisco Systems (149 078 dollars), Hewlett-Packard (148 047 dollars), Oracle (134 421 dollars), et Yahoo (100 276 dollars). John McCain a lui bénéficié du soutien financier de Cisco Systems (80 676 dollars), d'Oracle (36 586 dollars), d'Intel (29 663 dollars), de Sun Microsystems (21 500 dollars) et de Google (20 600 dollars).
Traditionnellement plus proche des idées libérales républicaines, la Silicon Valley semble avoir basculé cette fois dans le camp démocrate. Le site d'informations Cnet a même titré : « Où sont les Républicains de la Silicon Valley? ». Déçue du peu d'intérêt de l'administration Bush pour les nouvelles technologies, la région, très durement touchée par la crise actuelle, attend beaucoup du nouveau président. Parmi ses promesses de campagne, 150 milliards de dollars devraient être investis en dix ans dans la « green tech » et 10 milliards par an dans les biotechs et le haut-débit. Obama saura-t-il donner un nouveau souffle à la région ?
Après Pillar, Larry Ellison licencie chez Oracle ...
Le numéro un mondial des bases de données, spécialiste des logiciels d'infrastructures et des progiciels, a discrètement supprimé près de 1% de ses effectifs entre vendredi et lundi. Mais si l'on en croit les billets de blogs postés par plusieurs salariés d'Oracle, ce ne serait que le début d'une vague plus conséquente.
Selon Tim Klasell, un analyste financier en charge du suivi des technologies chez Thomas Weisel Partners, cité par nos confrères de Barron's, Oracle a procédé à des réductions de personnels dans ses équipes commerciales et marketing ainsi que dans ses équipes de Back-Office. Selon l'analyste, Oracle aurait réduit d'environ 3 à 4% le coût de ses fonctions marketing et commercial, et de 2% ses dépenses administratives. Une façon poétique - pour un analyste financier – d'annoncer que les licenciements touchent aussi le numéro un mondial des bases de données.
Dès vendredi, les sites d'emplois et les blogs américains ont commencé à se remplir de messages d'employés d'Oracle brutalement limogés et ce sans que la firme n'ait respecté les habituelles procédures d'avertissement californiennes (notamment le dispositif WARN). Les conditions d'indemnisations des salariés seraient particulièrement chiches avec un mois d'indemnité et un mois de couverture maladie pour les salariés d'Oracle (plus une semaine par année d'ancienneté), mais un peu meilleures pour les salariés venant de sociétés acquises par la firme depuis moins d'un an. Les ex-salariés de BEA bénéficient ainsi au minimum de 3 mois de salaire et de 3 mois de couverture maladie.
Au total un petit millier de salariés pourraient avoir fait les frais des dernières mesures d'économies de l'éditeur aux Etats-Unis. Ces estimations sont confirmées par un analyste, de la banque Cowen, selon lequel la première vague de licenciements effectuée en fin de semaine passée affecterait environ 1% des effectifs de la firme (qui compte environ 84000 salariés), et pour l'essentiel les effectifs américains.
Mais Oracle pourrait renforcer ses mesures d'économies si ses performances venaient à se dégrader; les licenciements pourrait alors s'étendre à l'international. Le Times of India rapporte ainsi qu'Oracle aurait supprimé 40 postes dans son centre de Bangalore, et certains salariés indiens évoquent sur des blogs des licenciements qui toucheraient jusqu'à 10 % des effectifs dans l'ensemble des sites indiens. Si ces rumeurs se confirmaient, les chiffres pourraient rapidement grimper : environ 30 % des 84000 salariés d'Oracles sont en effet basés en Inde.
Le chiffre de 10% est aussi évoqué sur des blogs américains par plusieurs salariés qui évoquent une vague à venir qui toucherait environ 10 % des effectifs mondiaux de la firme soit un peu plus de 8000 personnes. A ce jour, toutefois, rien ne vient officiellement confirmer cette rumeur et il faudra sans doute attendre les chiffres du troisième trimestre fiscal de la firme, dans un mois et demi, pour savoir dans quelle mesure la dégradation actuelles des conditions économiques affecte la firme...
dimanche 11 janvier 2009
User Case SETAO on Vmachine.de
http://www.vmachine.de/cms/index.php/en/case-studies/591
The company:
Responsible for urban transportation, SETAO operates the tram and bus network in the metropolitan area of Orleans. The company is traveling more than 100 000 passengers per day, and must therefore have a highly available system. In terms of computing resources, the company relies on a MAN 24-km optic-based Cisco, serving 60 access points and has 4 computers rooms spread over the city. On this network transits vehicles radio flows, billing system, CCTV surveillance with video recording of 14 days, flow management of electricity transformers, traffic lights...
To facilitate the transport of passengers and inform them with real time traffic conditions. To achieve that, the SETAO uses a support system operations (SAE): a specific business application. This fundamental tool is extremely powerful and can manage real-time traffic and bus tramways. It also serves to inform customers in real time in the 24 tram stations, 22 trams, 220 busses and on mobile phones.
What has happened we thought about virtualization world?
In 2004, eager to renew the hardware platform of its application, the SETAO, had to maintain the SAE's existing operating system Windows NT4. One option considered was to migrate to Windows 2000 but that requires recertification and recompilation of the application. The costs were estimated at 240.000,00 €. Finally, the solution was to virtualize the environment with VMware Workstation 4.5, the only solution on the market that supports Windows NT4. This solution was declined on all servers of the company, when renewing comes.
Secure information system
In 2006, the company acquired a backup library Quantum PX720 LTO III and software Netbackup 6.5, to renew his two ADIC SCALAR 100 and Arkeia.Network Backup. VMware Workstation was quickly replaced by VMware Server with 30 physical hosts running Linux. 67 virtual machines.A new problem occured :administration of a comprehensive and centralized all these VMs.
After a study of functional and financial plans, the company made the choice of Virtual Infrastructure 3.5 with VC, HA, DRS, VMOTION, VCB.hosted on two farms of servers based on dual Xeon quad-core and 32 GB of RAM. In 2008, to enable synchronous replication, storage, NFS and iSCSI-based, NAS Adaptec SNAP 18000 were replaced with two storage arrays Pillar Data Systems AXIOM 500 synchronous replicated with FalconStor NSS IPSTOR.
To respond fully to the issue of continuity of service, Site Recovery Manager tool was deployed in November. The future In order to give to the same performance features of redundancy of datacenters, View3 will be deployed to secure client environment in the first quarter of 2009.To prépare the future, the company plans to merge LAN and SAN flows on the same 10 Gigabit Ethernet media using Cisco VSS Catalyst switchs jointly NEXUS physical and virtual switchs with FCOE protocol A second tram line construction has started on end of 2008. It's planned to be operational in 2012. The MAN will extend to 40Km and desserved 120 access points. CCTV system will grow up to 500 cameras and storage up to 100 To.
The Practice - Practical tips : some issues encountered by Olivier Parcollet, IT co-manager, wants to share with you:
Initially, the SETAO had no Fiber Channel SAN. All connections were Gigabit Ethernet and IP. We choose to use the storage protocol ISCSI over 4K jumbo frames, maximum value common to all NICs 3Com, Broadcom, Intel and CISCO 6509 switches. See return of experiment (sorry in French) : http://www.indexel.net/1_6_4638__3_/2/9/1/Parier_sur_l_iSCSI_pour_optimiser_la_restauration_de_donnees.htm.
NFS optimization.
However, handling and management of virtual machines were fastidious. So we quickly used the NFS protocol of our NAS and we saw that we had better performances in terms of access. To further improve this mode, I recommend using the command /sbin/ hdparm -a (read ahead) 512 which is the number of cylinders disk read in advance. It could increase up to 50% a VM performance. During transition to VI Infrastructure 3, we used our NFS’s NAS again. All of the 67 VMs have been converted to VI3.5 with Converter in a weekend! The following Monday, users just saw an acceleration of applications, because they were worked on new machines with two quad-core CPUs.
Pillar Storage Architecture
The choice of Pillar Data was first on the architecture of the machine where each disk brick has two controllers, unlike other storage market. Over adding bricks, more the machine is powerful. Another fact is interesting: the use of 1MB wide stripe writes use in conjunction of the logic 1MB VMFS3 blocks overcome any contention of 24 GB RAM buffers. During our tests front of the NetApp FAS3120 and the EMC CX-4, the AXIOM 500 was the only machine that has allowed us to use up to saturation of the fiber and was the more energy efficient.
Better, and for information I have obtained 160MB/s throughput on a single slammer –the SAN Fabric - GBit Ethernet port with jumbo frames ! Finally, the use of the interface is very intuitive and does not require a storage specialist: A journalist friend of mine, Mrs. Virtuanews.fr her selves, was able to create a LUN in 3 minutes at first sight of the storage system....
The change to move to SAN Pillar has also conducted fairly simply. I created 4 LUNs on different Quality of Service levels: High, Low, Medium, archive 2TB each .. Then I selected, based on expected performance, the VMs for position in each disk’s classes of service to ensure the performance of disk access. I associated the VMware pools ad-hoc on VMware VI .. Then, Storage-VMotion allowed us to migrate the Virtual Machine files without any interruption. Replication between bays was also carried out without stopping production using the FalconStor appliances IPSTOR.
Except the bug of 3.5U2 of last summer, the only issue we had was during the implementation of Site Recovery Manager with the SRA FalconStor agent. SRA didn´t saw the LUNs to integrate protection group and generates an error. In WebEx and confcall to 1:00 AM with employees of FalconStor and people who have developed among VMware SRM, it was revealed that the PERL.EXE provided by Oracle, the database that we use for running SRM, and PERL.EXE provided by VMware came into conflict. The workaround was to move the PERL Oracle in Perl.old ...
Finally, we tried many fail-over simulations with SRM. The RPO was about 3 minutes and the total RTO about 7 minutes. The improvements I expect for future versions of SRM are protection one too many – as a star - and not one to one as actually, and a automatic fail back because the backup site becomes the production site in case of disaster. It’s not easy come back in the normal situation!
Ou si vous préférez, la version en allemand : Olivier Parcollet, SETAO - Beschreibung der Infrastruktur von SETAO, dem Betreiber des öffentlichen Verkehrs-Netzwerk in Orleans, Frankreich
Salesforce encore dans le noir ...
Salesforce.com en panne : faut-il remettre en cause le modèle Saas ? Vu dans Vunet.fr : http://www.vnunet.fr/news/salesforce_com_en_panne_faut_il_remettre_en_cause_le_modele_saas__-2029792
Après une sérieuse interruption du service de la plate-forme de services IT à la demande, des clients osent poser la question qui fâche. Salesforce.com, spécialiste de la gestion de la relation client (CRM) en mode Software as a Service, a subi une panne sérieuse dans la journée de mardi. 900 000 utilisateurs ont ainsi été privé de ce service durant une à trois heures selon les cas. Ce qui a provoqué la colère des clients concernés.
Mais cette longue interruption de services soulève de nouvelles questions, quant à la fiabilité du modèle de services informatiques à la demande. Selon Salesforce, cette panne a affecté toutes les zones entre 20H39 et 21H17 GMT le 6 janvier. "Un boîtier du coeur du réseau est tombé en panne à cause d'erreurs d'allocation mémoire", peut-on lire dans le document de report d'incident fourni par Salesforce. Elle a ainsi provoqué une vive inquiétude chez des clients américains. Un certain nombre d'entre eux se sont tournés vers la communauté de micro-blogging Twitter pour en savoir plus sur la panne. Le site Trust.salesforce.com de l'éditeur de la plate-forme ASP, qui était censée donner des informations sur l'état du système, était aussi tombé en rade. Des avis de clients mitigés : "Salesforce, ne me lâche pas au moment où j'ai le plus besoin de toi !" écrit un utilisateur Twitter. "Saleforces plante, Twitter/Google se fait hacker. Que va-t-il se passer ensuite ? Vais-je devoir revenir aux services téléphoniques et postaux?", se demande un autre utilisateur. "Salesforce à nouveau en panne aujourd'hui : encore un argument pour l'hébergement de logiciels en local", déclare un autre utilisateur.
D'autres utilisateurs étaient plus tolérants. "J'adore Salesforce.com ; j'utilise ce service depuis des années et il est rare qu'il tombe en panne, ce qui fait de cette journée une exception (mais je ne suis pas inquiet)", déclare un utilisateur. "Dans une autre vie, une panne de serveur aurait été mon problème. A présent, je peux laisser Salesforce s'occuper du sale boulot", argumente un autre.
"Salesforce.com a largement fait ses preuves en cas de soucis", estime Rob Bryant, consultant pour le cabinet Deloitte. "Mais à de rares occasions où les choses se passent mal, les responsables informatiques peuvent dormir sur leurs deux oreilles, en sachant que les ingénieurs senior les plus compétents s'attellent à résoudre le problème. Si une entreprise rencontrait le même problème en interne, la direction ne pourrait certainement pas contacter des experts IT aussi rapidement." Une confiance dans le SaaS revue à la baisse ?
Pour Steve Moyle, chief technology officer de lSecerno (sécurité et bases de données), cet incident pose quand même de sérieuses questions sur la confiance que l'on peut attribuer à Salesforce.com.
"Presque un million d'utilisateurs ayant sous-traité une fonction critique pour leur entreprise sont paralysés, et dans l'impossibilité d'accéder à leurs propres données client, ce qui affaiblit leur confiance dans le modèle", commente-t-il. "Les managers doivent s'assurer que toutes leurs données sont complètement protégées et sous contrôle, afin d'empêcher toute utilisation inappropriée de ces données.".
Salesforce.com a déclaré prendre "très au sérieux" les failles dans la performance du service, et a rappelé que toute nouvelle informations relative à cette panne sera immédiatement publiée sur Trust.salesforce.com.
jeudi 8 janvier 2009
Let's go to Windows 7
Message reçu pour les abonnés MSDN :
"Exclusif ! Windows 7 en version bêta—disponible pour les Abonnés TechNet Plus !Windows 7 a été développé pour faciliter et accélérer la gestion de vos tâches quotidiennes sur vos postes de travail en offrant aux utilisateurs finaux de nouvelles fonctionnalités. Quand Windows 7 sera disponible sur le marché, il offrira les caractéristiques essentielles de performance, de fiabilité et de sécurité attendues des utilisateurs - et sera en outre compatible avec les mêmes matériels, applications, pilotes et périphériques que Windows Vista. Windows 7 aura un système de navigation plus rapide et plus simple d’utilisation, une nouvelle barre des tâches et une interface utilisateur optimale permettant d’accéder facilement à toutes les ressources disponibles. Windows 7 facilitera également l'utilisation des systèmes audio-vidéo, et autres matériels en réseau, permettant de jouer de la musique, de regarder des vidéos et d’afficher des photos se trouvant sur les postes de travail Windows. Windows 7 offrira enfin de nombreuses options pour personnaliser les postes de travail selon le style, les habitudes et la personnalité de l'utilisateur.Téléchargez la version béta maintenant depuis le portail des avantages pour abonnés. "
mercredi 7 janvier 2009
La marrade de la semaine ... Mécékoidon le web deux point zéro ?
F. Lefebvre: “Le web 2.0 c’est heu… tout simplement… heu… le… l’internet d’aujourd’hui, c’est à dire… heu… le… le… ce que… enfin… ce sur quoi surfent tous les Français, moi comme les autres.”
J.J.Bourdin : “C’est à dire ?”
F. Lefebvre : “Ben, c’est à dire, heu… internet… d’aujourd’hui…”
J.J.Bourdin : “Oui, c’est à dire ?”
F. Lefebvre : “Ben, je sais pas ce que vous voulez me faire dire de particulier…”
J.J.Bourdin : “Facebook, MySpace : c’est les réseaux sociaux !”
F. Lefebvre : “Facebook ça est, par exemple, l’UMP, aujourd’hui on est en train de lancer plusieurs grosses opérations sur Facebook.”
En résumé : le web deux point zéro c'est ce sur quoi on surf agrémenté d'une grosse opération lancée sur Facebook.
mardi 6 janvier 2009
Neige, froid et record de consommation électrique
Ca me rappelle quand j'étais jeune, j'habitais en champagne du sud, pas loin du plateau de Langres où j'étais habitué au -30° l'hiver ...
samedi 3 janvier 2009
vendredi 2 janvier 2009
Free PC or Pay as usual not as what was used ...
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-un-brevet-pour-des-pc-payables-a-l-usage-27733.html
Dans un monde en crise à la recherche de green attitude, l'idée en soi n'est pas mauvaise. Toutefois, on peut douter des bonnes intentions de Micro$oft, l'entreprise qui est à l'initiative du dépôt de ce brevet. En effet, suite au fiasco de Vista, le système d'exploitation hitorique du PC à la maison qui constituait son fond de roulement commercial, d'une part, de google qui lui coupe l'herbe sous le pied pour l'utilisation d'applications payantes en mode hébergées d'autre part, on peut imaginer qu'elle est à la recherche de nouvelles sources de revenus .... qui accessoirement nous rendraient bien entendu captifs.
Alors, plutôt que de faire semblant, à l'image du minitel dans les années 80, pourquoi ne pas placer du VDI à la maison ? Imaginons qu'il prenne l'envie aux opérateurs Internet de nous proposer des terminaux wyse V10 en complément de l'offre triple play dans l'abonnement ADSL pour accéder à des clouds hébergés avec l'offre Windows AZURE http://www.microsoft.com/azure/default.mspx
Je ne sais pas vous, mais je suis sûr que j'y gagnerais en qualité de vie. N'avez-vous pas été vous aussi victimes de vos voisins, qui pretextant vous inviter à prendre l'apéro, en profitent pour jeter un nième coup d'oeil à leur PC VISTA qui délire.
jeudi 1 janvier 2009
Meilleurs voeux pour 2009
Pour le fun : voici la provenance des visiteurs réguliers de ce blog
586 provenant de France, 70 des Etats-Unis
Le temps moyen de consultation par visite est de 1"47
Pas mal pour un blog qui a 3 mois d'existence .... :)