Vu sur nouvelobs.com - Cisco et la Nasa s'associent à la lutte contre le réchauffement
REUTERS | 15.12.2009 | 13:49 - Gerard Wynn, version française Jean-Philippe Lefief
COPENHAGUE (Reuters) - L'équipementier en télécommunications Cisco System et la Nasa ont lancé un projet destiné à vérifier la mise en oeuvre des engagements nationaux dans le cadre d'un futur accord de lutte contre le réchauffement.
La conférence de Copenhague, qui réunit depuis le 7 décembre 192 délégations, doit donner naissance à un tel accord, qui prendra le relais du protocole de Kyoto sur la réduction de émissions de gaz à effet de serre.
La vérification des promesses faites dans ce cadre demandera un nouveau dispositif technologique. C'est l'objet du Planetary Skin Institute, qui permettra aux secteurs public et privé, aux scientifiques et aux responsables politiques de partager leurs données et leurs analyses.
"Beaucoup d'informations sont disponibles, mais de façon très éparse, dans des milliers de formats et de lieux", a expliqué Juan Carlos Castilla-Rubio, au nom de Cisco.
"Il nous faut au moins 100 millions de dollars sur trois ans pour que cela fonctionne. Nous avons des promesses qui couvrent un peu plus de la moitié (et) nous espérons atteindre l'objectif le mois prochain", a-t-il précisé.
Le projet à but non lucratif doit notamment contribuer à l'amélioration de la mesure des émissions de gaz à effet de serre ou des capacités des puits de carbone, via le recours à des moyens satellitaires, par exemple. Cette mesure permettra aux pays tropicaux ayant des forêts primaires de fixer le montant des fonds qui pourraient leur être reversés au titre de ces puits de carbone dans le cadre d'un accord international. Le réseau sera constitué autour de sept centres installés en Afrique, au Brésil, en Inde, en Chine, au Japon, dans l'Union européenne et aux Etats-Unis.
"L'idée est d'être aussi ouvert que possible. Nous essayons de développer un environnement qui permette aux gens de coopérer et de partager", a ajouté Juan Carlos Castilla-Rubio.
REUTERS | 15.12.2009 | 13:49 - Gerard Wynn, version française Jean-Philippe Lefief
COPENHAGUE (Reuters) - L'équipementier en télécommunications Cisco System et la Nasa ont lancé un projet destiné à vérifier la mise en oeuvre des engagements nationaux dans le cadre d'un futur accord de lutte contre le réchauffement.
La conférence de Copenhague, qui réunit depuis le 7 décembre 192 délégations, doit donner naissance à un tel accord, qui prendra le relais du protocole de Kyoto sur la réduction de émissions de gaz à effet de serre.
La vérification des promesses faites dans ce cadre demandera un nouveau dispositif technologique. C'est l'objet du Planetary Skin Institute, qui permettra aux secteurs public et privé, aux scientifiques et aux responsables politiques de partager leurs données et leurs analyses.
"Beaucoup d'informations sont disponibles, mais de façon très éparse, dans des milliers de formats et de lieux", a expliqué Juan Carlos Castilla-Rubio, au nom de Cisco.
"Il nous faut au moins 100 millions de dollars sur trois ans pour que cela fonctionne. Nous avons des promesses qui couvrent un peu plus de la moitié (et) nous espérons atteindre l'objectif le mois prochain", a-t-il précisé.
Le projet à but non lucratif doit notamment contribuer à l'amélioration de la mesure des émissions de gaz à effet de serre ou des capacités des puits de carbone, via le recours à des moyens satellitaires, par exemple. Cette mesure permettra aux pays tropicaux ayant des forêts primaires de fixer le montant des fonds qui pourraient leur être reversés au titre de ces puits de carbone dans le cadre d'un accord international. Le réseau sera constitué autour de sept centres installés en Afrique, au Brésil, en Inde, en Chine, au Japon, dans l'Union européenne et aux Etats-Unis.
"L'idée est d'être aussi ouvert que possible. Nous essayons de développer un environnement qui permette aux gens de coopérer et de partager", a ajouté Juan Carlos Castilla-Rubio.
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