Il y a à peine six mois, lors du Salon Solutions Linux & Open Source 09, Kuassi Mensah, porte parole Oracle venu s’exprimer lors d’une table ronde sur la virtualisation aux côtés de Microsoft, Sun, et Red Hat, notamment, avait presque fait sourire l’audience. A cette époque, Oracle et sa vision de la virtualisation ne semblait pas pouvoir challenger le trio de tête, VMware, Citrix, Microsoft.
Depuis, de l’eau a coulé sous les VM. Oracle a racheté coup sur coup Virtual Iron (surnommé jusque là le VMware version Open Source) et Sun (rachat pas encore finalisé).
Lors de son show annuel Open World il y a une dizaine de jours, l’éditeur a reprécisé son intention d’être un acteur significatif dans le domaine, en dévoilant Oracle VM 2.2. C’est une première véritable étape vers une solution aboutie. Cette mouture, basée sur l’hyperviseur Xen 3.4 intègre les outils de virtualisation et de management issus de Virtual Iron. Heureux ou pas, les (nombreux) utilisateurs de Virtual Iron peuvent désormais, selon Oracle, facilement migrer vers Oracle VM. Oracle VM supporte aujourd’hui Oracle Enterprise Linux 4 et 5; RHEL 3, 4 et 5; Windows Server 2008 SP1, Windows Vista, Windows Server 2003, Windows XP Pro et Windows 2000. Un post sur le blog officiel de Oracle donne moults détails sur les nouveautés. Par ailleurs, le framework Oracle VM Storage Connect, annoncé également lors de Open World est un ensemble d’APIs qui permettent la gestion du stockage. C’est un équivalent du vStorage de VMware et du Storagelink de Citrix. La version finale n’est attendue qu’avec Oracle VM 3.0, annoncée pour le premier semestre 2010.
Ralliement en masse : Et c’est là que la donne change. Oracle VM Storage Connect a suscité un bon retour de l’industrie du stockage et de la sauvegarde. HDS, HP, Netapp, Brocade, Compellent, EMC, Emulex, Falconstor, Fujitsu, IBM, Intel, LSI, Mellanox, NEC, Qlogic, Symantec, et bien évidemment Pillar ont tous annoncé lors de Open World leur compatibilité avec Oracle VM. Falconstor, par exemple, a rendu compatible avec Oracle VM sa solution de virtualisation du stockage NSS ( Network Storage Server), sa solution CDP (pour réaliser automatiquement et de manière transparente les processus de failover vers un site de reprise d’activité distant), son module ASD (Application Snapshot Director) et son module Hypertrac Backup Accelerator.
Depuis, de l’eau a coulé sous les VM. Oracle a racheté coup sur coup Virtual Iron (surnommé jusque là le VMware version Open Source) et Sun (rachat pas encore finalisé).
Lors de son show annuel Open World il y a une dizaine de jours, l’éditeur a reprécisé son intention d’être un acteur significatif dans le domaine, en dévoilant Oracle VM 2.2. C’est une première véritable étape vers une solution aboutie. Cette mouture, basée sur l’hyperviseur Xen 3.4 intègre les outils de virtualisation et de management issus de Virtual Iron. Heureux ou pas, les (nombreux) utilisateurs de Virtual Iron peuvent désormais, selon Oracle, facilement migrer vers Oracle VM. Oracle VM supporte aujourd’hui Oracle Enterprise Linux 4 et 5; RHEL 3, 4 et 5; Windows Server 2008 SP1, Windows Vista, Windows Server 2003, Windows XP Pro et Windows 2000. Un post sur le blog officiel de Oracle donne moults détails sur les nouveautés. Par ailleurs, le framework Oracle VM Storage Connect, annoncé également lors de Open World est un ensemble d’APIs qui permettent la gestion du stockage. C’est un équivalent du vStorage de VMware et du Storagelink de Citrix. La version finale n’est attendue qu’avec Oracle VM 3.0, annoncée pour le premier semestre 2010.
Ralliement en masse : Et c’est là que la donne change. Oracle VM Storage Connect a suscité un bon retour de l’industrie du stockage et de la sauvegarde. HDS, HP, Netapp, Brocade, Compellent, EMC, Emulex, Falconstor, Fujitsu, IBM, Intel, LSI, Mellanox, NEC, Qlogic, Symantec, et bien évidemment Pillar ont tous annoncé lors de Open World leur compatibilité avec Oracle VM. Falconstor, par exemple, a rendu compatible avec Oracle VM sa solution de virtualisation du stockage NSS ( Network Storage Server), sa solution CDP (pour réaliser automatiquement et de manière transparente les processus de failover vers un site de reprise d’activité distant), son module ASD (Application Snapshot Director) et son module Hypertrac Backup Accelerator.
... AH BON ?
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