Vu sur LEMONDE.FR avec "L'Est républicain" 09.03.09 11h00 • Mis à jour le 09.03.09 11h00
Ça sonne comme un épisode de Prison Break, mais ça se passe en Lorraine. Le quotidien Le Républicain lorrain révèle, lundi 9 mars, que les bureaux du groupe de BTP Eiffage, sur les hauteurs de Nancy, ont été visités le 27 février et des ordinateurs portables ont disparu. Rien que de très classique, si ce n'est que les disques durs de ces machines contenaient notamment les plans de la future prison de Maxéville, ainsi que des codes d'accès et d'autres données confidentielles
La livraison opérationnelle du site de 32 000 mètres carrés, prévue pour le mois de juin, pourrait être encore retardée du fait de ce cambriolage. D'autant que les bureaux de l'entreprise, situés dans un immeuble de l'OPAC qui abrite des logements et plusieurs autres sociétés, ont été les seuls à avoir été visités, bien qu'"aucune plaque n'indique qu'Eiffage est présente à cette adresse, a contrario des autres sociétés", selon le quotidien.
Optimep 4, la filiale d'Eiffage chargée du projet, a déménagé ses locaux et porté plainte. Les ministères de la justice et de l'intérieur se sont saisis de l'affaire, et une enquête est en cours. La construction du nouvel établissement pénitentiaire nancéien fait partie du programme dit des "13 200" (nouvelles places en détention), initié par la loi d’orientation et de programmation de la justice de 2002. Le centre pénitentiaire aura une capacité de 690 places, contre 275 pour la prison Charles-III de Nancy, aujourd'hui en usage.
Ça sonne comme un épisode de Prison Break, mais ça se passe en Lorraine. Le quotidien Le Républicain lorrain révèle, lundi 9 mars, que les bureaux du groupe de BTP Eiffage, sur les hauteurs de Nancy, ont été visités le 27 février et des ordinateurs portables ont disparu. Rien que de très classique, si ce n'est que les disques durs de ces machines contenaient notamment les plans de la future prison de Maxéville, ainsi que des codes d'accès et d'autres données confidentielles
La livraison opérationnelle du site de 32 000 mètres carrés, prévue pour le mois de juin, pourrait être encore retardée du fait de ce cambriolage. D'autant que les bureaux de l'entreprise, situés dans un immeuble de l'OPAC qui abrite des logements et plusieurs autres sociétés, ont été les seuls à avoir été visités, bien qu'"aucune plaque n'indique qu'Eiffage est présente à cette adresse, a contrario des autres sociétés", selon le quotidien.
Optimep 4, la filiale d'Eiffage chargée du projet, a déménagé ses locaux et porté plainte. Les ministères de la justice et de l'intérieur se sont saisis de l'affaire, et une enquête est en cours. La construction du nouvel établissement pénitentiaire nancéien fait partie du programme dit des "13 200" (nouvelles places en détention), initié par la loi d’orientation et de programmation de la justice de 2002. Le centre pénitentiaire aura une capacité de 690 places, contre 275 pour la prison Charles-III de Nancy, aujourd'hui en usage.
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