mercredi 29 octobre 2008
La crise pourrait avoir raison du rapprochement de Brocade et Foundry.
Sous le soleil de CUDA ...
mardi 28 octobre 2008
Compte rendu du second VMUG France
Après un bref message de bienvenue de Sylvain Siou Lionel Cavalliere Lionel nous a décrit les défis à relever par les DSI aujourd'hui et exposé la nécessité de recourir à une meilleure infrastructure pour satisfaire ces besoins. Parmi les enjeux majeurs, celui du « provisionning », qui se traduit sur le terrain par le non respectdes délais lors de la mise en œuvre des applications, très souvent déployées en silo multi tiers. Cela rend le système d'information résistant aux changements et difficile à administrer. L'architecture de déploiement idéale étant celle qui offre de manière native la haute disponibilité, la sécurité, et l'évolutivité pour toutes les applications, et ce avec le TCO le + faible.
D'ailleurs, particulièrement dans un contexte de déploiement d'architecture applicatives multi-tiers orientées services, les offres ne sont pas toujours très claires et très homogènes ; l'absorption des pics de charge ponctuels se traduit souvent par la nécessité de « surdimensionner » le système d'information. La réponse de VMware à ce problème consiste à délivrer au travers du VDC-OS, l'aptitude à fédérer l'ensemble des ressources internes du DataCenter («élasticité » du système d'information), mais aussi de pouvoir aussi recourir à des ressources externes pour faire de la capacité à la demande. C Un exemple d'utilisation démontré par British Telecom Services consiste à déplacer ses serveurs virtuels dans l'ensemble de ses datacenters sur les cinq continents en cohésion avec l'activité diurne de ses équipes techniques. Un autre enjeu de l'approche doit être la capacité à couvrir le plus large spectre possible des OS du marché. VMware confirme son approche dans le domaine en étendant plus encore sa matrice de compatibilité, et les fonctionnalités natives de la future version de son hyperviseur « ESX Server », tout en assurant la continuité avec l'existant.
L'hyperviseur confirme ainsi sa position comme brique essentielle de l'architecture, permettant de briser les dépendances entre les applications et le matériel, en banalisant la plate forme serveur et la transformant en simple brique de contribution à des pools de ressources. L'approche va être dorénavant étendue aux ressources de stockage et réseaux, permettant ainsi de fédérer l'ensemble des ressources du datacenter au sein de pools étendus (vCompute, vStorage et vNetwork) mis à disposition des VMs, rassemblés sous la nomenclature « Infrastructure vServices ». Les services natifs fournis à toute application virtualisée (sans aucune modification) : Haute Disponibilité, Sécurité et Extensibilité font partie des « Application vServices ». Tout ces services seront accessibles au sein des Datacenters virtuels et entre ces mêmes Datacenters séparés géographiquement et ce quel que soit le lien. Point sur la future version de VMware Infrastructure : Elle est au stade de béta 2, et est actuellement testé par plus de 1500 comptes.
Les points ci-dessous font partie des fonctionnalités présentes dans cette version béta. ATTENTION, toutefois, certaines de ces dernières pourraient ne pas être retenues dans la version finale :
Le serveur VirtualCenter (renommé vCenter) enfin disponible sous Linux
Support étendu à 128 cœurs physiques et 512 GB de RAM par serveur physique,
Support étendu à 8 vCPUs et 256 GB de RAM par VM,
Les ressources CPU et mémoire seront modifiable à chaud (« plug and play ») dans les VMs
Bande Passante LAN extensible jusqu'à 40 Gb/s pour les VMs
Optimisation des I/O stockage au niveau des VMs : passage de 100K IOPS à 200K IOPS de la bande passante
Un Cluster DRS pourra supporter 64 TB et 64 nœuds par cluster
« Thin provisionning » logiciel sera intégré et pourra s'appuyer sur celui du hardware de stockage. Bien entendu, les alertes liées au remplissage trop important seront gérées.
Support des Clones liés
Apparition des Distributed Virtual Switches (DVS), switchs virtuels définis au niveau global (valable pour un datacenter)
Support des PVLAN sera possible au sein de ces vSwitch
Les statistiques d'utilisation réseaux seront persistantes en cas de migration « Vmotion » entre serveurs.
Management pro-actif de la performance applicative (SLA) grâce à vCenter AppSpeed
Disponibilité d'un nouvel outil de sauvegarde maison « vCenter Data Recovery » fait son apparition
VMware Fault Tolerance: tolérance de panne au niveau des VMs. Une shadow VM totalement répliquée peut « prendre la main » immédiatement en cas de problème sur la première sans aucune perte d'instruction. L'overhead associé serait de -10% de performance pour la VM. Cette tolérance de panne ne sera possible qu'au sein d'une même ferme.
vCenter Capacity IQ, outil d'analyse de tendance et de mise en place de scenarios pour maitriser l'évolution de l'utilisation des ressources : profilage de VM ...
vCenter chargeback, outil de facturation au sein des datacenters virtuels
Je ne reviens pas sur VMsafe ...
VDI devient VMware View Ensuite Alexandre Hugla nous a présenté le produit SRM et a effectué une démonstration « live » sur une plate-forme VDI. Les remarques de l'assistance ont mis en évidence que le « failback » n'était pas encore implémenté, et que pour l'instant la protection ne couvre qu'un site vers un autre (pas de configuration étoile/cascade pour l'instant). Lionel a indiqué qu'un prochain update était planifié, implémentant le support des datastores NFS. Les éléments évoqués ci-dessus faisant déjà partie des roadmaps produits. A noter que le mode de licensing est à la CPU physique (dans les clusters tournant des VMs protégées) et que la solution se base sur une instance de Virtual Center par site. Christian Chevalier à conclu cette rencontre en passant le message à l'ensemble des membres du VMUG de ne surtout pas hésiter à contacter l'équipe VMware France pour témoigner.
Le grand racket au niveau planétaire ou l'art de se faire du fric sur le dos des autres
Voyez plutôt, c'est édifiant :
Gilbert Kallenborn, 01net., le 27/10/2008 à 18h00
Le gestionnaire des noms de domaine, l'Icann, publie enfin les détails sur la procédure d'attribution des nouveaux suffixes de l'Internet. Les frais de dossiers s'élèveront à 185 000 dollars.
Vendredi dernier, l'Icann a publié une première version du guide de procédure pour les candidats aux nouvelles extensions génériques de noms de domaine (.dupond, .pepsi, etc.), également appelées gTLD (Generic Top Level Domain). Organisé en six chapitres, l'ouvrage, qui n'est pour l'instant qu'une ébauche, précise la manière dont ces suffixes seront octroyés et le coût que cela représente. Ainsi, seules les sociétés pourront déposer une de candidature. Celle-ci devra être accompagnée d'un chèque de 185 000 dollars (environ 147 000 euros) pour les frais de dossier. Par la suite, l'heureux détenteur d'une extension devra s'acquitter d'un droit annuel s'élevant à 5 % du chiffre d'affaires engendré par la vente des noms de domaine fondés sur l'extension détenue, avec un minimum de 75 000 dollars par an (soit 52 500 euros par an). Vous avez dit cher ? Un premier appel à candidatures en 2009« Certes, ce n'est pas donné. Mais il faut voir que cette somme permettra de gérer un domaine de premier niveau, avec tous les privilèges que cela induit en termes de sécurité et de visibilité, explique Stéphane Van Gelder, directeur général du bureau d'enregistrement Indom. Par ailleurs, l'Icann, qui est un organisme à but non lucratif, souligne que les sommes ne serviront qu'à couvrir les coûts de fonctionnement. Rien que l'élaboration du nouveau programme d'attribution a déjà coûté 12,6 millions de dollars. » Il est vrai que la procédure d'attribution des nouveaux suffixes du Web est loin d'être simple. L'Icann compte organiser un cycle d'appel à candidatures, une fois par an, qui durera 45 jours. Le premier cycle devrait démarrer au second semestre 2009. Une fois l'appel à candidatures clos, les dossiers seront examinés un à un. L'Icann inspectera d'abord les éléments techniques, administratifs et financiers du dossier, analysera ensuite les risques de redondance ou de confusion avec des noms existants, puis jugera de l'utilité des dossiers pour la communauté Internet. Quand deux dossiers de qualités identiques seront en concurrence féroce sur un même nom, l'Icann l'attribuera au plus offrant. Le droit de faire appelAprès cette période d'examen, les projets retenus seront publiés sur le Web de l'Icann afin que certains groupes puissent faire appel. Ainsi, les détenteurs d'une extension pourront le faire s'ils estiment qu'un dossier va créer une confusion pour les internautes (par exemple, .pepssi et .pepsi). Les détenteurs d'une marque pourront s'opposer à un dossier pour des raisons de droit de propriété intellectuelle. Les communautés implicitement visées par une extension pourront également faire appel, si elles pensent être exclues du projet d'extension. Exemple : un constructeur automobile pourra retoquer le .voiture de son concurrent s'il n'a pas été consulté. Enfin, il sera possible de faire appel en invoquant des raisons morales et d'ordre public, par exemple pour interdire le .nazi ou le .porno. Dans ce dernier cas, on ne sait pas encore clairement qui aura le droit de contester la légitimité d'un dossier, mais il est probable que ce seront des représentants gouvernementaux et/ou des organismes d'utilité publique. Une libéralisation pour les richesLes derniers détails de la procédure d'attribution seront fixés d'ici à la fin de l'année, à l'issue de la prochaine réunion de l'Icann au Caire, début novembre. Il ne faudra pas s'attendre à une ruée sur les extensions de noms de domaine. L'Icann table sur 500 dossiers de candidature en 2009. En effet, seules les sociétés les plus fortunées sont véritablement concernées. En plus des frais de dossier et des droits annuels, il faut prévoir le coût relatif à la gestion technique et administrative d'un nom de domaine. « D'une certaine manière, chaque détenteur devient un Afnic à lui tout seul, et il faudra qu'il dispose des moyens qui vont avec. Au total, il faudra prévoir un budget de 700 000 euros pour se lancer », estime Jean-François Poussard, responsable des noms de domaine au MailClub. Evidemment, les entreprises intéressées ne vont pas s'improviser hébergeur ou bureau d'enregistrement. La plupart d'entre elles feront appel à des prestataires pour accéder au septième ciel de l'Internet
samedi 25 octobre 2008
DS, desmo inside ....
vendredi 24 octobre 2008
La pensée du jour ....
Virtualisation - Olivier Parcollet 10-10-2008
« Ce sont les utilisateurs qui ont donné le « La » de la virtualisation vis-à-vis des éditeurs. »Olivier Parcollet, DSI adjoint, Setao, Conférence IDC Infrastructures 2008, 25 septembre 2008
Ce soir c'était Jeudi de l'ADIRC
Il s'en est brillament sorti !
jeudi 23 octobre 2008
IP Convergence ....
2eme réunion VMUG France
A noter la présence de Joshua & Demz dans la salle ....Devinez quoi ? Ils sont sur la photo mais où ?
lundi 20 octobre 2008
Le compte bancaire de Nicolas Sarkozy piraté ...
vendredi 17 octobre 2008
Le n'importe quoi de la semaine : Microsoft voudrait faire démarrer Windows plus vite
Alors moi, si Micro$oft m'interroge, je demanderais bien qu'on supprime l'interface à icônes au profit d'une IHM ASCII en mode texte vert sur fond noir avec un prompt $, qui supporterait VI, BASH et permettrait d'exécuter des batchs C Shell avec Cron ....
En plus ça serait green au sens propre comme au sens figuré !
jeudi 16 octobre 2008
DS came back from London ...
Ah si, il y avait bien un Nexus 5K posé sur une étagère chez Cisco !
Sinon, l'after avec les gens de Pillar a été comme il se doit très agréable : réception à un coktail, remise d'un cadeau par Mike Workman, dîner en ville, et fin de soirée au bar - mon dieu qu'ils sont bruyant, mais aussi très sympas ces anglais ! -
Au vu du nombre de Porsches et d'Audis dans les rues, on ne croirait pas qu'il y a la crise chez eux. Tout ceci s'est conclu dans la bonne humeur avec quelques échanges entre clients, futurs clients et membres de l'équipe Pillar Data.
mardi 14 octobre 2008
Storage Expo - London 2008
C'est à l'invitation de Pillar Data Systems que je serai sur l'un des plus grands salons dédié au stockage. Je pense que je vais y voir beaucoup de choses intéressantes. N'ayez craintes, je ne quitte jamais mon Nikon et je publierai quelques clichés.
lundi 13 octobre 2008
Première baie Pillar opérationnelle.
Nous avons même eu le temps de mettre en oeuvre Axiom Path Manager (APM) qui permet de faire du load balancing et de la redondance active active sur nos carte FC bi ports.
Un petit bench nous à permis de constater un débit de 400Mo/s sur un port sous windows , ce qui confirme les tests que j'avais réalisé avec la machine de prêt.
Je commence la migration des images ESX3.5 avec Storage VMotion dès ce soir. En ces temps troublés, c'est vraiment un plaisir que de bosser avec du matériel sans histoire....
Sous Linux, c'est pas mal non plus :
hdparm -Tt /dev/mapper/2000b080004002342
/dev/mapper/2000b080004002342: Timing cached reads: 9888 MB in 2.00 seconds = 4944.75 MB/sec Timing buffered disk reads: 2984 MB in 3.00 seconds = 994.16 MB/sec ...Ben oui, ça déménage quand même un peu :)
PS : VMware a racheté Blue Lane, j'en reparlerai dans un autre Post.
samedi 11 octobre 2008
Les entreprises préfèreraient déjà SEVEN à VISTA ...
« lancez Vista, et laissez le charme agir »La rédaction , 01 Informatique (n° 1896), le 16/03/2007 à 00h00
Le marché informatique retenait son souffle depuis des mois, dans l'attente de Windows Vista. Pour bien « ferrer » ses chers utilisateurs et décideurs, l'éditeur a fait appel à une séduisante journaliste vantant les charmes de son nouveau produit à une heure de grande écoute sur une chaîne de télévision nationale. Rien de moins...
Toutefois, sans douter de la productivité que nous tirerons de Vista, il est de coutume chez nous, comme dans nombre de services informatiques, de tester une nouveauté, afin de valider son fonctionnement au sein du système d'information. C'est dans ce contexte que je me suis lancé. Sous contrat Select, je pensais qu'obtenir le produit ne serait qu'une formalité. Et fus fort déçu de ne recevoir que les CD de mise à jour, et non la version « bootable » , impossible à avoir pour l'heure avec notre contrat. Partisan de la réinstallation totale, j'ai dû commander une licence complète.
Le produit enfin entre les mains, j'ai pu mettre le DVD dans le lecteur et allumer mon PC. Une fois la « product key » entrée, je me retrouve devant un écran m'indiquant n'avoir trouvé aucun disque compatible, et me proposant de récupérer le pilote sur l'un des périphériques de stockage reconnus, y compris une clé USB. Un vrai plus.
Utilisateurs d'Office 2000, passez votre chemin
J'écume le site du constructeur de la carte mère, celui des disques durs, les forums : rien n'indique l'existence d'un quelconque pilote à installer. Après plusieurs essais, je finis par connaître la « product key » par coeur. Je me décide à installer Vista selon une configuration ultrabasique. Je débranche, entre autres, le second disque dur. Miracle, je vois enfin mon premier disque ! Il me faudra tout de même insister trois fois pour créer une partition installable. Cette étape franchie, la mise en place du système d'exploitation ne prendra que vingt minutes. Ouf ! Me voilà donc promu membre de la confrérie des utilisateurs de Vista.
Ayant récupéré le pilote de ma carte vidéo haut de gamme sur le site de Nvidia, je goûte aux joies de l'interface 3D tant plébiscitée. Bien qu'un peu gadget, il faut reconnaître qu'elle est bluffante. Mais ce plaisir sera éphémère : au bout de quelques minutes, apparaît un joli écran bleu, un « reboot » , et des messages sibyllins m'expliquent que le système a relancé le pilote vidéo, qui ne fonctionne pas correctement. Je me résous à installer une carte ATI bas de gamme. Et là, plus de problème.
Passons à la productivité. Constatant qu'un nouveau logiciel de synchronisation est fourni, je branche mon smartphone Qtek. Peine perdue : je risquerais d'en perdre tout le contenu ! L'outil de messagerie d'origine IBM agira de manière erratique. Quant aux utilisateurs d'Office 2000, encore largement employé chez nous, qu'ils passent leur chemin. En revanche, Open Office 2.0 s'est installé sans encombre. Je contacte en urgence mes fournisseurs de machines pour savoir s'ils restent en mesure de fournir des configurations sous XP : réponse négative.
En conclusion, il nous faudra redoubler d'attention lors du déploiement de Vista, et passer plus de temps à valider les configurations. Mais nous devrons surtout préparer un bon argumentaire pour convaincre nos directeurs financiers que cette migration, plus que les précédentes, passera par un changement de tout le parc utilisateur.
mercredi 8 octobre 2008
Aujourd'hui, c'était VMware Forum ...
mardi 7 octobre 2008
Le père noël est en avance cette année ....
Cette journée est de celles qui commencent bien. Ce matin, un bô camion m'a livré mes deux nouvelles aires de stockage AXIOM Pillar Data. Donc, aujourd'hui c'est atelier mécano entre 2 réunions. J'espère pouvoir démarrer les bébètes ce soir. Donc, le DS est très :) aujourd'hui.
lundi 6 octobre 2008
A propos de l'article vu dans Virtuanews : Zane Adam, Microsoft : "Je n'aimerais pas être à la place de VMware aujourd'hui"
Zane Adam, Microsoft : "Je n'aimerais pas être à la place de VMware aujourd'hui" il vaut mieux en rire qu'en pleurer. La stratégie Mico$oft n'a pas variée : faire payer les utilisateurs de bout en bout. Cette entreprise était reine jusqu'à ce que les clients imposent cette vague de fond qu'est la virtualisation. Pourquoi ? Et bien si nous clients avons virtualisé c'est d'abord pour péréniser nos plate-formes entre autre NT4 que la sphère Wintel nous poussait à changer tous les quatre ans en faisant fi de nos contraintes, quand aux gains financiers liés à la souplesse et la simplicité d'administration, notamment en terme de sauvegarde, ils sont apparu rapidement et naturellement. En effet, windows est devenu fiable, rapide à démarrer, facile à réparer (en revenant en arrière) et flexible. Bref, Micro$oft n'ayant rien vu venir n'a ni anticipé, ni rattrapé les besoins des utilisateurs de ses produits à l'image de Vista. Pourquoi, nous clients, utilisons-nous HA DRS VMOTION ? Parce que c'est venu naturellement du fait que ces méncanismes étaient fiables, performants et ont fonctionné du premier coup. Aujourd'hui, un service informatique doit une fière chandelle à VMware car il peut faire plus avec moins et rendre l'informatique 'non-stop' et fiable. Tous les partenaires seraient avec Micro$oft, Micro$oft n'arriverait-il plus à lire une stratégie marketing ? L'entreprise étant incontournable, il est diffcile pour les constructeurs de ne pas l' intégrer dans son offre, celà ne veut pas non plus dire que les clients adopterons, même si l'achat est forcé. Quand à critiquer le modèle VMware, je serais tenté de dire qu'au moins, VMware en a un et cherche à le faire évoluer. Micro$oft, lui, en est en panne et s'en cherche un depuis le lancement de XP. un bel exemple à ne pas suivre que le fiasco des moteurs de recherche Internet n'est-ce pas ? C'est quand même dommage, Micro$oft est encore en retard d'un wagon : il y aurait une chance de rattraper le marché du poste de travail virtualisé avec l'excellent AppV, ex-Softgrid, une solution poste de travail performante, mais elle est complêtement occultée par le battage médiatique autour de Hyper-V.
Bref quand-est-ce que cette entreprise va s'intéresser aux vrais besoins de ses clients ?
dimanche 5 octobre 2008
La guerre ISCSI vs FCOE n'aura pas lieu
Lors d'une conversation avec une journaliste spécialisée dans le stockage et la virtualisation - elle se reconnaîtra - nous évoquions le fait que j'envisageais de mettre en place des SANs Fiber Channel Over Ethernet au sein de mon entreprise en 2009. Me demandant si j'abandonnais ISCSI, elle me rapportait avoir entendu que certains voyait déjà ce dernier mourir au profit de FCOE..J'avoue ne pas du tout partager cet avis. Compte tenu de son faible coût de mise en oeuvre, ISCSI consitue la pierre angulaire du SAN du pauvre certe, mais pas seulement. ... ISCSI est une encapsulation standardisée (rfc 3720) du protocole SCSI dans TCP/IP tandis que FCOE est une trame Fiber Channel encapsulée dans une Jumbo frame à 2K sur du 10Gb Ethernet. ISCSI se situe au niveau 3 du protocole OSI et est donc routable alors que FCOE travaillant au niveau 2 ne l'est pas. Vous le comprenez donc : ISCSI est tout choisi pour interconnecter des SANs distants. Un autre point important à prendre en considération lors de la mise en oeuvre d'un SAN FCOE est la nécessaire refonte de l'infrastructure Ethernet en vue de la rendre déterministe. En effet, il faut s'affranchir du spanning tree par l'adoption de TRILL, TRansparent Interconnexion of Lots of Links, incluant un routage SPF (protocole Linkstate à l'image de OSPF ou NLSP mais de niveau 2) ainsi que du multipathing tout en supportant le protocole BCN, Backward Congestion Notification, permettant de provisionner la bande passante nécessaire de bout en bout sur le réseau. Tout celà à un coût comparé à ISCSI largement répandu, quasi gratuit, et compatble avec l'existant.
En fait, le sujet est ailleurs : ne serait-ce pas la convergence SAN/LAN qui provoquerait la mutation d'Ethernet la plus importante depuis l'invention du switch par Kalpana et Grand Junction ? (respectivement rachetés en 1994 et 1995 par Cisco et dont les produite ont été intégrés sous le nom Catalyst)
Une petite contrib sur le sujet à cette adresse http://www.forum-vmware.fr/forum/viewtopic.php?id=910
vendredi 3 octobre 2008
SETAO 100e client PILLAR EMEA
SETAO est le 100e client PILLAR DATA SYSTEM Europe du Sud.
Micro$oft installe une partie de sa R&D Internet en France
Serions-nous l'avenir du développement de l'Internet ? Ce serait un juste retour des choses puisque Mosaic est né au Cern quelque part entre Grenoble et Genève ....
jeudi 2 octobre 2008
Pénurie d'adresses IP en vue ... la Chine serait aux premières loges
La Chine, le pays laboratoire startup par excellence, ne disposerait plus que d'un stocke équivalent à 830 jours de fourniture d'adresses IP. L'urgence du pays à passer fissa en IP v6 n'en serait que plus grande. Pourtant, il y a quelques mois, j'entendais que les spécialistes de ce même pays désiraient vouloir mettre en oeuvre un IP v9 car le v6 ne serait pas suffisant.... Auraient-ils laissé tombé ? Il y a 10 ans déjà, cette pénurie d'adresses IP, qui allait bloquer tout Internet, était déjà en vogue. Il fallait se former au plus vite sur IP v6 tout en comprenant la RFC 1918 (adresses privées 10., 172.16-31., 192.168.) et le Port Adress Translation afin de connecter un nombre supérieur d'équipements à Internet à ce qu'il ne peut en supporter. Dors et déjà nous pouvons imaginer que nous sommes out depuis plusieurs années. Savent-ils tous ces gens que IP v6 est largement utilisé au sein de nos chers téléphones portables, à l'insu de notre plein gré, et que nombre de nos équipements sont dors et déjà compatibles ?
Bref, en pleine vague de virtualisation des serveurs et des équipements réseaux, on ne me retirera pas de l'idée que les constructeurs ont lancé ce buzz pour nous faire de nouveau cracher au bassinet afin de combler la baisse de vente de ports Ethernet qui se profile.
Va falloir prévenir la DAF et revoir notre schema directeur je vous le dis !
mercredi 1 octobre 2008
La Nasa a 50 ans : Bon anniversaire ma vieille !
Comme beaucoup de monde, je crois que l'on a tous rêvé de bosser chez eux.
Certe, comme astronaute ... mais la simple gestion de leur réseau informatique ou de leurs HPC me suffirait.
Un bô site à voir : http://www.nasa.gov/50th/favpic/index.html