Nous voici de retour en 1981. Sequential Circuit a sorti sont mythique Prophet-5 il y a déjà plus de 3 ans et le pâle Oberheim OB-X ne fait pas le poids. La firme de Santa Monica décide de mettre au niveau de son concurrent direct : ce sera la naissance du fabuleux OB-Xa. Physiquement, ce synthé est très classe avec son clavier 5 octaves surmonté d'une classieuse façade bleu foncé, de boutons et de switchs noirs.
Cette machine à synthèse soustractive intégre par rapport à l'OB-X des toutes nouvelles puces Curtis CEM3320 plus stables, proposant du coup (enfin) des filtres 24db/octave et autorisant 4, 6 ou 8 voix de polyphonie (plus que les 5 du Prophet 5) en fonction du nombre de cartes oscillateurs présentes. Les oscillateurs hjustement sont au nombre de deux par voix, proposant deux formes d'ondes : dent de scie et pulse complétés par 3 LFOs. Ils sont autotunables (accordage automatique) après appui sur une touche ad-hoc. Un portamento polyphonique complète le tout. Le son est très proche de celui du Prophet 5, cependant il est à la fois plus punchy et surtout beaucoup plus "gras". Au passage, il est possible de splitter le clavier pour jouer deux sons différents pour la main gauche et la main droite, d'emplier deux sons sur l'ensemble du clavier, voir les 8 voix sur une seule touche pour en faire un super monophonique. Bref, c'est de la balle ! Par contre, nous sommes dans la période pré-MIDI, donc pas de prises DIN pour se connecter à vos machine récentes, ormi onéreuse midification réalisée à postériori. Alors sur quels morceaux connus peut-on entendre la bête ?
Evidemment sur l'album concerts en Chine de notre dieu des synthés Jean-Michel Jarre, l'inoubliable solo dans JUMP! de Van Halen, sur le très planant Midnight Summer Dream des Stranglers, le chorus de Don't go de Yazoo c'est encore lui et puis plus près de nous dans Last Train to Trenscentral de KLF.
Cette machine à synthèse soustractive intégre par rapport à l'OB-X des toutes nouvelles puces Curtis CEM3320 plus stables, proposant du coup (enfin) des filtres 24db/octave et autorisant 4, 6 ou 8 voix de polyphonie (plus que les 5 du Prophet 5) en fonction du nombre de cartes oscillateurs présentes. Les oscillateurs hjustement sont au nombre de deux par voix, proposant deux formes d'ondes : dent de scie et pulse complétés par 3 LFOs. Ils sont autotunables (accordage automatique) après appui sur une touche ad-hoc. Un portamento polyphonique complète le tout. Le son est très proche de celui du Prophet 5, cependant il est à la fois plus punchy et surtout beaucoup plus "gras". Au passage, il est possible de splitter le clavier pour jouer deux sons différents pour la main gauche et la main droite, d'emplier deux sons sur l'ensemble du clavier, voir les 8 voix sur une seule touche pour en faire un super monophonique. Bref, c'est de la balle ! Par contre, nous sommes dans la période pré-MIDI, donc pas de prises DIN pour se connecter à vos machine récentes, ormi onéreuse midification réalisée à postériori. Alors sur quels morceaux connus peut-on entendre la bête ?
Evidemment sur l'album concerts en Chine de notre dieu des synthés Jean-Michel Jarre, l'inoubliable solo dans JUMP! de Van Halen, sur le très planant Midnight Summer Dream des Stranglers, le chorus de Don't go de Yazoo c'est encore lui et puis plus près de nous dans Last Train to Trenscentral de KLF.
Bien sûr la machine est aujourd'hui rare et hors de prix - comptez 2 à 3k€ le bout- par contre n'hésitez pas à investir les 100,00€ pour acquérir l'une des plus belles émulations VSTi qui soit pour vous prendre pour Edouard Van Halen : le Virtual OP-X des suisses Sonic Projects.
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