samedi 31 octobre 2009

Salon International du Chat à Orleans

Comme déjà évoqué dans ce blog, nos Maine Coons ont participé aujourd'hui à leur premier concours félin. 580 chats concouraient. Eclipse et Elliot ont été notés 'Excellence I', mention attribuée aux chats se rapprochant de très près du standard de la race. Nous pouvons être fier de nos petits lynx.


Beaucoup de monde et beaucoup de cages

En attendant d'être jugé, il fallait poser devant le public

Notre voisin et copain Vasco, magnifique Maine Coon mâle de 5 ans
Eclipse qui fait sa fière

Un frère et une soeur Norvégien auxquels ressemble notre bel Enzo resté à la maison.

Le Bengal qui pourrait faire penser à un guépard apprisoisé

Voici à quoi devrait ressembler Elliot dans 1 an : un magnifique Red blotched Tabby de 9 kg. Il vient tout juste de fêter ses 3 mois.

Vu sur Larep.com - le site web du quotidien local 'La République du Centre" - un article qui résume bien l'état d'esprit d'un voisin éleveur : d'abord se faire plaisir en vivant avec ses chats.

Salon du chat : les stars se font les griffes - Publié le 31 octobre 2009 - 16:00 par Laurène Rouillon

« Regardez-moi dans les yeux », semblent dire les abyssins de Jean-Luc et Patricia, deux amoureux des félins qui prendront part, ce week-end, au salon orléanais du chat. Les amoureux des petits félins sont attendus au parc des expositions, ce week-end. Un rendez-vous incontournable pour les éleveurs et les passionnés qui, à l'image de Jean-Luc et Patricia, présentent leurs vedettes.

Jean-Luc Gay n'a jamais raté un Salon du chat à Orléans. Ce week-end, il ne dérogera pas à la règle. Lui, sa femme et ses chats seront au parc des expositions.

Dans leur maison sarannaise, cohabitent quatre abyssins, un exoctic shorthair et même un chien. Jean-Luc et Patricia se qualifient « d'éleveurs amateurs ». Pas question « d'aligner des cages comme des vendeurs de viande ». Ici, « c'est un élevage familial d'abyssins, on aime les animaux ». Les chats sont chez eux, ils grimpent aux rideaux, font la sieste sur la table, dorment avec le couple et sont câlinés à l'envi.
« Tout a commencé en 1979, se remémore l'éleveur, j'avais un chinchilla avec lequel je faisais des concours et, lors d'une expo, j'ai eu un coup de foudre pour un abyssin. » Après, tout est allé très vite. De concours en salons, Jean-Luc a « traversé toute la France et toute l'Europe pendant dix ans. J'étais sur les routes tous les week-ends avec mes chats, les concours m'ont même mené aux États-Unis et au Canada ». « Une période un peu folle ! » plaisante Patricia, qui se souvient d'une « pièce remplie de plusieurs centaines de trophées et de cocardes », dans leur ancienne maison.

Quelque 300 félins

Aujourd'hui, ces amoureux des chats ont arrêté de courir les concours à travers le monde pour s'occuper de leur élevage. Et c'est un travail qu'ils prennent très au sérieux. Patricia tient donc à ce que ses chatons « soient placés dans des familles qui vont bien s'en occuper, quitte à casser les prix ». Elle rencontre les futurs propriétaires et n'hésite pas, comme ç'a été le cas il y a quelques semaines, « à aller jusqu'en Belgique pour rencontrer les acquéreurs d'un de mes chatons ».

À quelques jours du salon orléanais, Jean-Luc, qui est, par ailleurs, vice-président de l'association féline des Pays-de-Loire, peaufine l'organisation de l'événement et prépare « El Gringo Pampa », son abyssin de 5 mois qui fera, ce week-end, ses premiers pas au salon d'Orléans, aux côtés de quelque 300 autres félins.

Salon du chat, au parc des expositions d'Orléans (RN 20 sud), ce week-end, de 10 heures à 18 h 30. Tarifs : de 3 à 5 € ; gratuit pour les moins de 5 ans.

vendredi 30 octobre 2009

Vu sur CiscoMag N°28, retour d'expérience sur le NEXUS 5000





Pour plus d'informations sur le Nexus 5000, je vous renvoie à mon article publié cet été :
http://ds45.blogspot.com/2009/08/howto-quest-ce-que-le-nexus-5000-en.html

IPv6 un protocole pour nous aider à passer au Green

Vu sur http://greenitblog.cisco-france.com/ - Posted on 30 octobre 2009 by Olivier Seznec

La mise en place de réseaux électriques intelligents qui permettent d’optimiser en temps réel (ou presque) les capacités de production à la demande est l’objectif du Smart Grid.
Cisco a produit une très belle vidéo disponible sur Youtube- mais seulement en anglais – qui présente en 4mn38 de manière très visuelle l’impact du Smart Grid dans notre environnement :

Au-delà de notre investissement dans la beauté des images, nous travaillons sur plusieurs initiatives afin de concevoir les solutions pour construire le réseau électrique intelligent.
D’abord, nous construisons l’architecture technique de communication du réseau. Nous avons dénombré plus de 300 protocoles de communication utilisés dans l’industrie. Cette diversité protocolaire pose un problème majeur pour un contrôle de bout en bout, non pas tant au niveau technique qu’au niveau opérationnel. En effet, s’il est toujours possible de construire des passerelles de communication, les déployer de manière massive, les configurer et les opérer pose un problème de coût tel que la rentabilité économique de l’opération peut s’en trouver menacée. Il faut donc minimiser le nombre de passerelles dans le réseau, d’où l’idée de standardiser autour d’IP les systèmes communiquants. Bien sûr, avec IP, il faut comprendre IPv6. Je n’insiste pas sur ce point et je vous encourage à consulter l’excellent blog animé par Jean-Marc Barozet pour creuser le sujet (http://ipv6blog.cisco-france.com/). Nous discutons avec les acteurs de l’industrie pour les aider à intégrer le modèle IPv6. L’annonce de presse relative à la création du Smart Grid Ecosystem en septembre ( http://newsroom.cisco.com/dlls/2009/prod_091709.html ) l’illustre. Nous avons rassemblé dans cet écosystème ouvert des acteurs industriels, technologiques, opérateurs et nous comptons aujourd’hui Accenture, AeroScout, Arcadian Networks, AREVA T&D, Cable&Wireless Worldwide, Capgemini, Coleman Technologies, EMC, Echelon, EnergyHub, GE, GridPoint, Infosys Technologies, Itron, Landis + Gyr, OATI, Oracle, OSIsoft, Pulse Energy, Proximetry, Science Applications International Corporation (SAIC), SecureLogix, Schneider Electric, Siemens, Skyline-ATS, Telvent, Verizon, Watteco, Wipro, and World Wide Technology, Inc.
Dans le même temps, nous aidons les acteurs industriels à intégrer techniquement IPv6 dans leurs systèmes. Ainsi nous avons rejoint l’Alliance Zigbee qui annonçait en avril dernier le support d’IPv6 dans leur modèle (communiqué de presse : « ZIGBEE ALLIANCE PLANS FURTHER INTEGRATION OF INTERNET PROTOCOL STANDARDS”, http://www.zigbee.org/News/AllianceNewsReleases/tabid/247/Default.aspx) . Et nous sommes co-fondateurs de l’alliance IPSO (IP for Smart Objects)( http://www.ipso-alliance.org/ ) au sein de laquelle nous avons développé un stack IPv6 léger (qui tourne avec 11,5ko de ROM et 1,7Ko de RAM). Ce stack est développé sur un code Open Source et est aujourd’hui utilisé par plusieurs industriels.
Nous nous sommes également engagés dans plusieurs expérimentations à travers le monde. En Allemagne avec Yellow Strom http://newsroom.cisco.com/dlls/2009/prod_100509e.html , aux Etats-Unis avec Duke Energy http://newsroom.cisco.com/dlls/2009/prod_060909e.html ou en Italie avec Enel http://newsroom.cisco.com/dlls/2009/prod_051809.html .
Et en France? L’ADEME a lancé un appel à manifestations d’intérêt sur les Réseaux et systèmes électriques intelligents intégrant les énergies renouvelables (http://www2.ademe.fr/servlet/getDoc?id=62669&cid=96&m=3&p1=1). Les réponses sont à retourner le 30 novembre 2009 et de nombreux acteurs de l’énergie travaillent actuellement sur leurs propositions.
A suivre…
Olivier.
PS : si le sujet vous intéresse, je vous encourage à visiter nos pages autour du Smartgrid ( http://www.cisco.com/go/smartgrid ) où vous trouverez de nombreux documents, livres blancs, vidéos, etc.

Un petit point sur Pillar Data avec Harry Zarrouk

Vu sur http://www.channelinsider.fr/

jeudi 29 octobre 2009

Update : HOWTO Comment configurer la réplication dans Falconstor NSSVA ?

Quelques questions m'ont été posées par mail concernant mes remarques sur les outils de réplication EMC.

Recover Point est l'outil utilisé par EMC pour fonctionner avec un SRA dans une infrastructure protégée par SRM. Or, Recover Point est un produit qui s'appuie sur rsync, outil de synchronisation bien connu des Linuxiens. Il est loin d'être l'équivalent de ce que font les produits Falconstor en matière de réplication ou de miroir synchrone qui utilisent des drivers dédiés développés en interne.

Je pense avoir une certaine expérience du produit, puisqu'avant son rachat, Recover Point s'appelait Kashya et j'ai eu le bonheur de l'utiliser en production pendant 3 années avec ses avantages et ses limites. En outre, il m'a permis de valider SRM bêta sur nos anciens NAS avant beaucoup de monde ...

J'ai été dubitatif de lire sur le blog du pourtant très compétent Shad Sakac que l'on pouvait s'appuyer sur ce type d'outil pour synchroniser des volumes NFS contenant des fichiers Oracle hébergeant eux-mêmes des tablespaces. Quid de la cohérence de la SGA ?????? ... et à quoi ça sert que Oracle crée son filesystem en cluster OCFS2 avec support de ASM ??
Au final, ça sent la sauvegarde base fermée tout ça. On est bien loin d'un vrai environnement de production H24.

Il arrive un moment où il faudrait quand même que le marketing, y compris sur Internet, revienne au fondamentaux de ce qu'attendent les clients dans la vrai vie plutôt que de leur proposer des usines à gaz inutilisables et dangereuses. Un PRA est un choix stratégique d'entreprise fait par une direction générale, pas de l'équipe IT qui veut se faire plaisir.

HOWTO : Comment configurer la réplication dans Falconstor NSSVA ?

Quelques officionados de mon modeste blog, rassurez-vous je n'envisage pas de créer un fan club, me demandent de bien vouloir détailler un peu plus la configuration du produit Falconstor NSSVA dont j'ai parlé il y a deux jours Je me propose donc d'y répondre ici. Je comprend tout l'intérêt que peut revêtir cette solution qui nous change de l'infâme tambouille (adieu Kashya, je t'aimais bien) que nous propose entre autre EMC pour faire (à peu près) la même chose. j'en vois qui se gausse au fond de la salle ... n'ayez crainte, IPSTOR supporte aussi le failback dans vCenter et est CERTIFIE Oracle et VMware :) ..... D'ailleurs, ne sont-ce pas des ouailles de Falcon qui ont été lâchés chez VMware pour les aider à réaliser SRM ????

Falconstor Network Storage Server Virtual Appliance (NSSVA), l'appliance de virtualisation de stockage intégrable directement dans un ESX, permet de très facilement mettre en place un plan de reprise d'activité informatique pour l'ensemble de vos VMs en dupliquant l'intégralité de ces dernières par exemple sur un site de backup distant. L'intérêt premier du produit est qu'il supporte n'importe quel stockage du marché. L'ensemble de la gamme NSS, physique ou virtuelle, est compatible avec l'outil de PRA de VMware appelé Site Recover Manager, qui permet d'aller encore au-delà en rejouant des scénarii permettant d'automatiser le redémarrage de votre production informatique basée sur VMware. Vous pouvez tester les scénarii, même en cours de fonctionnement nominal ce qui est un atout puisque comme vous le savez, le PRA est systématiquement rejoué au moins une fois par an quand on a le temps et bien sûr pas le jour ou l'on en a besoin ......

En terme de pré-requis, je vous recommande d'utiliser un host vSphere supportant VM-DirectPATH I/O, XEON génération Nehalem donc, permettant d'accéder directement aux périphériques de stockage FC, gage de performances.Sinon, il suffit de télécharger le produit à l'adresse http://www.falconstor.com/en/pages/?pn=Downloads et de déployer le fichier .OVF associé. on réserve ses 2000 mhz de CPU, on associe des LUNs de son stockage en RDM physique -pas virtuel- et le tour est joué. Bien entendu, les volumes SAN sources et cibles sont de même volumétrie :).

Un conseil : pour la réplication, comptez un espace d'au moins 8% en plus de la volumétrie à répliquer dédié à la zone tampon des transactions à rejouer (snapshots) sur le site distant.Dans l'exemple ici, j'ai déclaré un LUN de 2To, 1,8To hébergerons la volumétrie utile, 150Go seront dont dédiés aux snapshots.


Architecture de la maquette


On crée une ressource de stockage sur le site primaire
On utilise les 2To mis à disposition sur le SAN et déclaré dans la VM en tant que RDM physique.
Thin provisionning or not ? c'est vous qui voyez ....
Je déclare donc vouloir utiliser 1,85 To, le reste c'est pour les snapshots liés à la réplication.
Next

Next

On voit bien le SAN Pillar AXIOM 600, ça sent bon ... Il suffit cliquer sur Finish.

A présent, répliquons sur un homologue

... ben oui quoi, les snapshots

Ca tombe bien, on a gardé de l'espace libre

Next

Next

Next

C'est mieux de garder la prod en route même si on perd la réplication sur le second site vous trouvez pas ?

... Et Finish pour les snapshots.

Je choisis mon appliance homologue cible, ici la BKP

... la réplication se fera en continu

Ici, je n'ai pas besoin de gérer le débit attendu que le lien inter-site est en 2 x 10 Giga.

... ça va plus vite

Je ne transfert réellement que le blocs modifiés

Next

Nom du Volume source

... Finish

Quand réplique-t-on ?

Le volume source et le volume cibles sont liés.

Une petite vérification dans la GUI Falcon nous le confirme.

A présent partageons le volume répliqué via ISCSI

Next

Next

Déclarons le volume dans vSphere (Configuration/Storage)

@IP du Target Falcon contentant le volume à utiliser

Le volume est monté. On formate le volume en vmfs comme il se doit ....


Les données se dupliquent bien : 'Data Total' se vide régulièrement.

Et voilà, vous avez une infrastructure de stockage répliquée prête à accueillir Site Recovery Manager.

J'espère que vous aurez trouvé ce post utile.

Suite au post 'le futur du coeur de nos processeurs'

http://ds45.blogspot.com/2009/10/le-futur-des-coeurs-de-nos-ordinateurs.html#comments

Pascal a dit…

Et puis histoire de rajouter un thread suite à ma rencontre avec le dieu de l'informatique (qui a prononcé Bill Gates? alors que je parlais de Steve Vozniak (pour les incultes qui ont découvert l'informatique avec Windows 98, cherchez ce nom dans Wikipédia)), un lab teste actuellement le remplacement des connections cuivrées au sain des CPU par des fibres nerveuses humaines.Je rassure les âmes les plus sensibles: celle-ci ne sont pas prélevées sur les prisonniers de Guantanamo mais cultivées artificiellement dans des labs bio-moléculaires.Par conséquent si l'on arrive à associer les nanotubes de carbone offrant rigidité et vitesse de transmission élevée (sans parler de l'excellente gestion de température de notre ami le carbone), on risque de voir débouler une génération de CPU offrant des fréquences infernales. Par contre quid de la rapidité des liaisons vers le stockage qui demeurent le point de contention notamment? Une 2eme vie pour l'InfiniBand chez les constructeurs de stockage?

DS : Effectivement, mon cher Pascal, j'ai ouï dire qu'infiniband revenait à grand pas dans le stockage pour soutenir les débits de nouveaux disques notamment SSD, une manière comme une autre de connecter les disques directement sur le bus de données du proc :). Serait-ce aussi le cheval de bataille de Brocade pour contrer FCOE ?

Au demeurant, ça dû être un grand moment que cette rencontre avec Mister Apple 2 ....

Update : A lire un article intéressant de Yann Serra et Renaud Bonnet sur 01 N° 2013 à propos des SSD .....